Ladygunn vous connaissez ? Moi non, et pourtant ce magazine qui existe aussi en version papier, qui a des bureaux à New York, Los Angeles et Stockholm, et un magazine indépendant qui n’hésite pas à casser les clichés, à mettre en avant des personnalités qui font bouger les choses et reculer les limites.
C’est là que Tess Holliday intervient, avec non seulement de superbes photos mais tout un article que l’on peut retrouver sur la page d’accueil.
En effet, la belle est le symbole d’une industrie qui change doucement, de mentalités qui s’ouvre, et s’il fallait une preuve les 1,6m abonnés à son instagram sont une preuve éclatante de cette révolution.
Dans Ladygunn, elle parle du mot Fat (gras/gros), du mouvement « body acceptance », de son livre The Not So Subtle Art of Being A Fat Girl: Loving The Skin You’re In, de sa vie de maman, des conseils qu’elles donnent … bref de tous les hauts et bas et l’impact de sa taille dans sa vie.
« Je dois admettre que je vais avoir des mauvais jours, de temps un jour. Parfois je ne vais pas me sentir bien et c’est ok. Je besoin de ne pas avoir honte pour parler de ces moments et mes luttes«
Pour info la robe que porte Tess vient de Eloquii
« Je regrette que tout le monde ne soit pas un peu plus compatissant et accepte les gens différents d’eux. Malheureusement, ce n’est pas le cas encore… Mais … j’ai bon espoir. Vous devez l’avoir. Sinon, alors qu’avez-vous ? »
« Ils ne font pas de mode haut de gamme dans ma taille parce que la plupart des designers ne veulent pas voit leurs vêtements portés par des grosses… Essayez juste de regarder ces photos et me dire que des plus gros corps n’appartiennent pas à ce monde. «