« Pulpeuse assumée, truculante chanteuse, réincarnation de Janis Joplin, voluptueuses créatures des films de Fellini, reine du cool, au delà des modes, une originale déxomplexée qui revendique le devoir d’être soi-même » … rien que ça !
Mais qui est donc cette ronde qui arrive à faire parler d’elle, même dans The « magazine féminin de la mode, de la beauté et des défilés »?
Vous l’avez peu-être deviné, celle qui bouscule l’ordre établi en imposant son charisme, ses rondeurs et sa « normalité » c’est bien sur
Vogue nous dépeind une Beth emportant la foule avec elle, une aventurière qui osent poser nue, « tous bourrellets et poils sous les aisselles dehors« , une fille « hors norme » c’est le moins qu’on puisse dire qui se bat pour le droit à être soi, une fille VLR en somme !
Vogue nous raconte rapidement le parcours de Beth et le choc du succés énorme qui emporte le groupe.
On y retrouve aussi l’anecdote de la boutique Topshop pour laquelle le groupe Gossip à refusé de chanter car Beth n’y trouve aucun vêtement à sa taille.
Et quelques lignes sur le dure matraquage des tabloïds britaniques qui discutent inlasseblement le bout de gras (ha ha jeu de mot pourri) autour des rondeurs exotiques et « excessives » de celles qui est un alien aujourd’hui pour les adeptes rétrogrades du moule unique !