Bonjour ,
Je suis atteinte d'hyperréactivité bronchique et nasale, c'est à dire l'asthme SANS les crises, maiS AVEC gêne respiratoire par épisodes qui peuvent durer une sem
Je suis stabilisée depuis 2 ans je dirais , avec diminution et disparitions de symptomes.
Pour résumer l'enchainement infernal :
Nez bouché, mauvais sommeil, fatigue,premiers antihistaminiques, fatigue diurne, respiration par la bouche , hyperventilation, premiers stress de pression au boulot , insomnies, et le top du top RGO: reflux gastro oeusophagien , 4 coussins sous la tete pour espèrer dormir, somnifères et / ou anxiolytiques.
Quand on est à risquer de perdre son boulot, on prend les anxiolytiques.
Il se trouve que je faisais une sensibilité excessive à un collyre pour les yeux , l'AZOPT. Changer de collyre a diminué mes symptomes en moins de deux mois.
Une année, j'ai eu droit à la variante migraine de l'allergie. céphalées de tension sur une semaine , vu que je ne peux pas prendre d'ibuprofène ... ulcère
C'est là qu'un ORL m'a expliqué , que je ne devais jamais arrêter le NASONEX, même en période non pollinique.
Depuis, plus aucune migraine, plus de mal de tete sur x jours.
Mon traitemment qui marche
Xzyzall et Nasonex tous les jours, tout le temps .
Normalement , je devrais prendre le traitement de fond de l'asthme , mais ça s'est tellement calmé que la Ventoline me suffit désormais . Toutefois , si je repasse à 4 bouffées de ventoline par jour, je recommence le traitement de fond : QUVAR - qui évite les aphonies- tous les jours.
Niveau RGO, vu que j'ai pas mal fait le tour aussi ; je vous recommande la version comprimé du Gaviscon et ne pas le croquer comme ils disent mais le laisser fondre.
J'ai heureusement pu slalomer entre les obstacles de boulot et mon sevrage somnifères -anxiolytiques date d'aout dernier.
Mais si mes conditions de travail s'étaient maintenues ou empirées, je n'aurais même pas tenté le sevrage.
Il faut en fait voir un un pneumo et un allergologue. La ruse consitste à en trouver un qui fasse les deux.
Mais pour ce qui est de la diminution des symptomes , je témoigne du fait que ça arrive de façon "miraculeuse" , après des années de traitement, quand on n'y croit plus.
Je pense aussi qu'on s'habitue aux symptômes et à l'exclusion qu'ils entrainent ; et qu'avec l'habitude, une part de stress décroit , ce qui suffit à l'organisme pour entamer une pente ascendante , vers une guérison partielle , mais tellement cool en rapport.
J'y ai gagné une attention de chien de chasse, qui cherche le chèvrefeuille préalablement senti et pas encore vu, avec un bonheur sans nom. Oui, je sais c'est ridicule , c'est se satisfaire de peu, mais retrouver l'odorat simplement parce qu'on peut sortir dehors - j'ai passé pas mal d'étés cloitrée
![Sad :-(](./images/smilies/icon_sad.gif)
( - c'est l'éclate !
Ne perdez pas espoir