Coucou
Je n'attends pas d'eux qu'ils me portent. Quand j'ai utilisé le mot "piliers" ça voulait dire que ce sont eux les plus importants dans ma vie. Pas ce que soient eux qui me portent (NON)
Ca peut paraître exagéré pour certaines mais je le vis ainsi.
J'ai toujours puisé dans l'amour que je leur porte, la force de me battre.
Je ne veux ni ne souhaite pas que le rôle s'inverse, à savoir que je devienne la maman que l'on prenne en charge.
(J'ai tenu le rôle de la mère de ma mère de 13 à 20 ans et non merci)
Juste quand ça va mal avoir un peu d'intérêt. C'est là où ça fait mal justement de constater que mon dernier ne semble pas comprendre que je n'ai pas été bien du tout ...et que je n'y peux rien !
J' espérais juste un peu d'attention et pouvoir compter sur mon fils en cas de pépin.(lui seul était dispo quand j'ai fais mon malaise)
Pour mon mail, je le l'ai pas écrit dans le sens rappel de ce que j'ai fais pour eux. Je suis repartie de mon enfance où j'ai bossé tôt et ai expliqué à mon fils ce que j'ai fais et la façon dont j'ai vécu.
Dans le but de lui faire comprendre que oui, je suis un peu fatiguée.
Ce ne sont pas mes amis, ils ne le seront jamais, je ne me confie pas à eux, on parle de tout. Peut-être ai-je fais l'erreur de dévoiler que je suis capable de faiblesses.
Moi la maman toujours forte et capable de défoncer des murs, malade tout le temps; ça peut être déséquilibrant, je le conçois.
Pour ce qui est de la famille, je n'ai plus que mon frère qui vit dans le sud.
Les amis non, je n'en ai plus non plus.
Divorce, séparations, décès ...ont fait du ménage.
Ma vie sentimentale (inexistante)et sociale, je n'en parle jamais à mes enfants (sauf les recherches d'emploi) , je ne me plains pas de ma condition.
J'ai mis du temps à sortir de la dépression sévère suite au décès de ma fille, je vais mieux mais on ne reconstruit pas tout en 6 mois. (boulot, amis, amour...)
En résumé, je n'attends pas des sms d'eux tous les jours mais juste quand ça ne va pas du tout pouvoir compter sur eux.(pour mon grand et sa compagne pas de souci de ce côté)
J'aurais préféré ne pas avoir à dire "non ça ne va pas", phrase que je ne dis jamais. Du coup se pose la légitimité d'informer mes enfants sur ce qui va ou non au cours des discussions.
Je n'attends pas d'eux qu'ils me portent. Quand j'ai utilisé le mot "piliers" ça voulait dire que ce sont eux les plus importants dans ma vie. Pas ce que soient eux qui me portent (NON)
Ca peut paraître exagéré pour certaines mais je le vis ainsi.
J'ai toujours puisé dans l'amour que je leur porte, la force de me battre.
Je ne veux ni ne souhaite pas que le rôle s'inverse, à savoir que je devienne la maman que l'on prenne en charge.
(J'ai tenu le rôle de la mère de ma mère de 13 à 20 ans et non merci)
Juste quand ça va mal avoir un peu d'intérêt. C'est là où ça fait mal justement de constater que mon dernier ne semble pas comprendre que je n'ai pas été bien du tout ...et que je n'y peux rien !
J' espérais juste un peu d'attention et pouvoir compter sur mon fils en cas de pépin.(lui seul était dispo quand j'ai fais mon malaise)
Pour mon mail, je le l'ai pas écrit dans le sens rappel de ce que j'ai fais pour eux. Je suis repartie de mon enfance où j'ai bossé tôt et ai expliqué à mon fils ce que j'ai fais et la façon dont j'ai vécu.
Dans le but de lui faire comprendre que oui, je suis un peu fatiguée.
Ce ne sont pas mes amis, ils ne le seront jamais, je ne me confie pas à eux, on parle de tout. Peut-être ai-je fais l'erreur de dévoiler que je suis capable de faiblesses.
Moi la maman toujours forte et capable de défoncer des murs, malade tout le temps; ça peut être déséquilibrant, je le conçois.
Pour ce qui est de la famille, je n'ai plus que mon frère qui vit dans le sud.
Les amis non, je n'en ai plus non plus.
Divorce, séparations, décès ...ont fait du ménage.
Ma vie sentimentale (inexistante)et sociale, je n'en parle jamais à mes enfants (sauf les recherches d'emploi) , je ne me plains pas de ma condition.
J'ai mis du temps à sortir de la dépression sévère suite au décès de ma fille, je vais mieux mais on ne reconstruit pas tout en 6 mois. (boulot, amis, amour...)
En résumé, je n'attends pas des sms d'eux tous les jours mais juste quand ça ne va pas du tout pouvoir compter sur eux.(pour mon grand et sa compagne pas de souci de ce côté)
J'aurais préféré ne pas avoir à dire "non ça ne va pas", phrase que je ne dis jamais. Du coup se pose la légitimité d'informer mes enfants sur ce qui va ou non au cours des discussions.
« On dit souvent que le temps guérit toutes les blessures.Les blessures demeurent intactes. Avec le temps, notre esprit, afin de mieux se protéger, recouvre ses blessures de bandages et la douleur diminue, mais elle ne disparaît jamais. » Rose Kennedy.