Le post de Sabishoo sur l'évolution de la langue française m'a fait penser à un projet que j'ai mené l'année dernière sur de la poésie contemporaine, sur un livre qui s'appelle QUANT A JE. L'auteur Katalin Molnar triture le langage, la langue et particulièrement le français d'une manière assez déroutante.
Un extrait de notre com'
Quant à je (Kantaje) de Katalin Molnar, auteur d’origine hongroise, a retenu notre attention car elle est traversée par des problématiques propres à la poésie contemporaine. Inventive, drôle et décalée, cette œuvre est une proposition artistique très originale. L’écrivain nous propose un jeu ludique, composé de morceaux de textes hétérogènes que l’on peut assembler à sa guise. Ce livre, dont les entrées et sorties sont multiples, est truffé d’inventions stylistiques peu conventionnelles qui construisent une langue propre à l’auteur.
Un extrait de l'oeuvre
"Parce que dans la langue, il y a l’écrit sans parole, épui yalaparol sanlékri, épui donk, le français éjénial! pourça (bonne chose dans toute mauvaise chose il y a) car on peut séparer mais peuôssi mélanjé, épuidonk, pour atténuer le côté fumeux, ai aussi utilisé des langages qui, à mon sens sont joyeusement pas fumeux, méalor pa!fumeudutou, abaalorla! laputin! "
et enfin le lien : http://www.lelibraire.com/din/tit.php?Id=3081
Un extrait de notre com'
Quant à je (Kantaje) de Katalin Molnar, auteur d’origine hongroise, a retenu notre attention car elle est traversée par des problématiques propres à la poésie contemporaine. Inventive, drôle et décalée, cette œuvre est une proposition artistique très originale. L’écrivain nous propose un jeu ludique, composé de morceaux de textes hétérogènes que l’on peut assembler à sa guise. Ce livre, dont les entrées et sorties sont multiples, est truffé d’inventions stylistiques peu conventionnelles qui construisent une langue propre à l’auteur.
Un extrait de l'oeuvre
"Parce que dans la langue, il y a l’écrit sans parole, épui yalaparol sanlékri, épui donk, le français éjénial! pourça (bonne chose dans toute mauvaise chose il y a) car on peut séparer mais peuôssi mélanjé, épuidonk, pour atténuer le côté fumeux, ai aussi utilisé des langages qui, à mon sens sont joyeusement pas fumeux, méalor pa!fumeudutou, abaalorla! laputin! "
et enfin le lien : http://www.lelibraire.com/din/tit.php?Id=3081
Il est temps de vivre la vie que tu t'es imaginée.
Henry James
Henry James