grande_ourse a écrit :ah ben eux je peux te dire qu'il se la posent la question... on habite un coin très riche. Genre le copain qui va passer ses vacances de février au ski... au US, à faire de la dépose hélico. L'autre copain, il était à la Réunion, etc... Bien sûr, c'est pas la majorité, mais on voit toujours ceux qui ont mieux, pas ceux qui ont moins bien. Nous on part JAMAIS, on fait RIEN, parce que je ne peux pas (débordée, obligations pro, grands parents, priorité maison). Et si j'invoque quelques raisons objectives : tavaiskapasdivorcer. Prends ça dans les dents...

Cela marche parce que tu te laisses culpabiliser, au fond de toi, tu leur donnes raison, pas sur le fait que tu n'aurais pas du divorcer, mais que tu n'en fais pas assez pour eux. Mes parents, je peux te dire que nous n'étions pas leur priorité, ils avaient des problèmes qui les en ont empeché, on a jamais rien fait avec mes parents, ni vacances, ni rien. Pour autant, je n'ai pas souffert de cela, mais de leurs disputes et de l'alcoolisme de mon père.

Tu peux très bien entendre leur souffrance due à la séparation, mais tu n'as pas à te justifier de ta décision de séparation avec eux. Tu peux leur dire, je regrette que nos histoires d'adultes ait eu des répercussions sur votre vie, mais pour autant, cela fait partie de votre histoire familiale. J'essaie de faire au mieux et je vous aime, meme quand on se dispute.

on est les parents qu'on est et qu'on peut, de toute façon, les enfants auront besoin de "casser" le modèle familial à l'adolescence. Cela leur permet de se construire un identité propre, et passé ce cap, les relations s'apaisent, dans la plupart des cas. De toute façon,passé un certain âge on a plus de pouvoir sur nos enfants, il faut les lâcher en espérant que tout se passe au mieux.

Mes enfants n'ont pas connu de divorce, ni de mauvaise ambiance à la maison entre nous, pour autant mon fils ainé a été très mal pendant toute son adolescence. Il ne retournait pas son mal e^tre contre moi, mais contre lui, cela me rendait très malheureuse également et je me suis sentie coupable, mais je ne savais pas de quoi exactement. Ce n'est que récemment (il a 19 ans,) qu'il m'a parlé enfin de ce qui le rongeait pendant cette période en me disant qu'il regrettait de m'avoir laissé croire que cela pouvait venir de moi, mais qu'à cette période il était tellement mal qu'il avait mis un mur entre lui et les autres. Il va bien maintenant .

Donc arrête de culpabiliser, tu fais au mieux, comme beaucoup de mamans d'ailleurs.

A aucun moment je ne dis que cela est facile un divorce pour les enfants, attention, mais la vie fait que de toute façon nos enfants devront souffrir de quelque chose, faisons leur confiance de réussir à s'en sortir, on ne pourra pas toujours les aider, on ne controle pas tout, c'est d'ailleurs une des difficultés de l'adolescence je trouve, c'est qu'on ne peut plus grand chose, ils doivent se construire et faire leurs expériences sans nous.

Et des enfants qui ont plus de moyens, de vacances, de jeux, etc.. il y en a toujours, il y a aussi des enfants qui ont moins, donc bon, argument qui tombe très vite à l'eau.

grande_ourse a écrit :

ClauBreizhPolska a écrit :

grande_ourse a écrit :genre une bulle comment ?

une activité , des sorties sans eux ?

non

Je sais que c'est facile à dire mais c'est important d'avoir une soupape de sécurité .

Une copine ne serait-ce que pour aller prendre un café et papoter ?

grande_ourse a écrit :

Nila a écrit :A toi de t'imposer et de te faire respecter, non ? Au pire, tu demandes de l'aide.

Et tu ne peux pas dire à ton employeur que tu as une rdv médical important à prendre pr avoir un peu de souplesse d'horaire et de congé ?

Pas de solidarité entre collègues ? pas de bonne relation avec la hiérarchie ? Car il s'agit d'être humain ds un cas comme ça ...!

Et pr une fois, tu prépare à manger aux enfants en avance, tu leur fais signer une charte de bonne conduite durant ton absence chez le medecin.

Ils pourront comprendre, non ?

c'est mon remplaçant qui n'en a rien à braire. Lui s'absente pour un oui pour un non, vu qu'il n'a pas besoin de remplaçant. Si je me fais opérer il va déguster, deux mois sans moi, ah ah ah ! Pour les vacances scolaires il se les laisse imposer par son ex qui prévient au dernier moment à chaque fois... donc mon ex et moi, on fait en fonction de lui. Heureusement qu'on ne part jamais en vacances, car impossible de réserver quoi que ce soit...

C'est totalement anormal ! Que fait ton responsable ??? à lui de jouer son rôle !

ClauBreizhPolska a écrit :

grande_ourse a écrit :

ClauBreizhPolska a écrit :

grande_ourse a écrit :genre une bulle comment ?

une activité , des sorties sans eux ?

non

Je sais que c'est facile à dire mais c'est important d'avoir une soupape de sécurité .

Une copine ne serait-ce que pour aller prendre un café et papoter ?

oui, ce serait bien, mais non... mes rares copines sont soit loin, soi encore plus débordées que mio avec des enfants plus jeunes... hier j'ai fait un resto avec un ami (surtout pour l'écouter parler de ses soucis d'ailleurs) c'était la première fois que je faisais ça, je me sentais toute bizarre... mais c'était bien.

Nila a écrit :

grande_ourse a écrit :

Nila a écrit :A toi de t'imposer et de te faire respecter, non ? Au pire, tu demandes de l'aide.

Et tu ne peux pas dire à ton employeur que tu as une rdv médical important à prendre pr avoir un peu de souplesse d'horaire et de congé ?

Pas de solidarité entre collègues ? pas de bonne relation avec la hiérarchie ? Car il s'agit d'être humain ds un cas comme ça ...!

Et pr une fois, tu prépare à manger aux enfants en avance, tu leur fais signer une charte de bonne conduite durant ton absence chez le medecin.

Ils pourront comprendre, non ?

c'est mon remplaçant qui n'en a rien à braire. Lui s'absente pour un oui pour un non, vu qu'il n'a pas besoin de remplaçant. Si je me fais opérer il va déguster, deux mois sans moi, ah ah ah ! Pour les vacances scolaires il se les laisse imposer par son ex qui prévient au dernier moment à chaque fois... donc mon ex et moi, on fait en fonction de lui. Heureusement qu'on ne part jamais en vacances, car impossible de réserver quoi que ce soit...

C'est totalement anormal ! Que fait ton responsable ??? à lui de jouer son rôle !

ben il le couvre, c'est son pote... bien sûr que c'est anormal sinon y'aurait pas de pb...

saralou a écrit :

grande_ourse a écrit :ah ben eux je peux te dire qu'il se la posent la question... on habite un coin très riche. Genre le copain qui va passer ses vacances de février au ski... au US, à faire de la dépose hélico. L'autre copain, il était à la Réunion, etc... Bien sûr, c'est pas la majorité, mais on voit toujours ceux qui ont mieux, pas ceux qui ont moins bien. Nous on part JAMAIS, on fait RIEN, parce que je ne peux pas (débordée, obligations pro, grands parents, priorité maison). Et si j'invoque quelques raisons objectives : tavaiskapasdivorcer. Prends ça dans les dents...

Cela marche parce que tu te laisses culpabiliser, au fond de toi, tu leur donnes raison, pas sur le fait que tu n'aurais pas du divorcer, mais que tu n'en fais pas assez pour eux. Mes parents, je peux te dire que nous n'étions pas leur priorité, ils avaient des problèmes qui les en ont empeché, on a jamais rien fait avec mes parents, ni vacances, ni rien. Pour autant, je n'ai pas souffert de cela, mais de leurs disputes et de l'alcoolisme de mon père.

Tu peux très bien entendre leur souffrance due à la séparation, mais tu n'as pas à te justifier de ta décision de séparation avec eux. Tu peux leur dire, je regrette que nos histoires d'adultes ait eu des répercussions sur votre vie, mais pour autant, cela fait partie de votre histoire familiale. J'essaie de faire au mieux et je vous aime, meme quand on se dispute.

on est les parents qu'on est et qu'on peut, de toute façon, les enfants auront besoin de "casser" le modèle familial à l'adolescence. Cela leur permet de se construire un identité propre, et passé ce cap, les relations s'apaisent, dans la plupart des cas. De toute façon,passé un certain âge on a plus de pouvoir sur nos enfants, il faut les lâcher en espérant que tout se passe au mieux.

Mes enfants n'ont pas connu de divorce, ni de mauvaise ambiance à la maison entre nous, pour autant mon fils ainé a été très mal pendant toute son adolescence. Il ne retournait pas son mal e^tre contre moi, mais contre lui, cela me rendait très malheureuse également et je me suis sentie coupable, mais je ne savais pas de quoi exactement. Ce n'est que récemment (il a 19 ans,) qu'il m'a parlé enfin de ce qui le rongeait pendant cette période en me disant qu'il regrettait de m'avoir laissé croire que cela pouvait venir de moi, mais qu'à cette période il était tellement mal qu'il avait mis un mur entre lui et les autres. Il va bien maintenant .

Donc arrête de culpabiliser, tu fais au mieux, comme beaucoup de mamans d'ailleurs.

A aucun moment je ne dis que cela est facile un divorce pour les enfants, attention, mais la vie fait que de toute façon nos enfants devront souffrir de quelque chose, faisons leur confiance de réussir à s'en sortir, on ne pourra pas toujours les aider, on ne controle pas tout, c'est d'ailleurs une des difficultés de l'adolescence je trouve, c'est qu'on ne peut plus grand chose, ils doivent se construire et faire leurs expériences sans nous.

Et des enfants qui ont plus de moyens, de vacances, de jeux, etc.. il y en a toujours, il y a aussi des enfants qui ont moins, donc bon, argument qui tombe très vite à l'eau.

ça doit être la joie de l'enfant précoce. il ne casse pas le modèle familial, il casse le parent...

je leur parle comme tu le fais. RAF...

Comme le dit Saralou, Il ne faut pas forcément chercher de ton côté les problèmes de ton fils.
Et tu en as deux autres derrière qui ont besoin d'une maman en bonne santé.

grande_ourse a écrit :

Nila a écrit :

grande_ourse a écrit :

Nila a écrit :A toi de t'imposer et de te faire respecter, non ? Au pire, tu demandes de l'aide.

Et tu ne peux pas dire à ton employeur que tu as une rdv médical important à prendre pr avoir un peu de souplesse d'horaire et de congé ?

Pas de solidarité entre collègues ? pas de bonne relation avec la hiérarchie ? Car il s'agit d'être humain ds un cas comme ça ...!

Et pr une fois, tu prépare à manger aux enfants en avance, tu leur fais signer une charte de bonne conduite durant ton absence chez le medecin.

Ils pourront comprendre, non ?

c'est mon remplaçant qui n'en a rien à braire. Lui s'absente pour un oui pour un non, vu qu'il n'a pas besoin de remplaçant. Si je me fais opérer il va déguster, deux mois sans moi, ah ah ah ! Pour les vacances scolaires il se les laisse imposer par son ex qui prévient au dernier moment à chaque fois... donc mon ex et moi, on fait en fonction de lui. Heureusement qu'on ne part jamais en vacances, car impossible de réserver quoi que ce soit...

C'est totalement anormal ! Que fait ton responsable ??? à lui de jouer son rôle !

ben il le couvre, c'est son pote... bien sûr que c'est anormal sinon y'aurait pas de pb...

Ma responsable est devenue plus ou moins une copine mais ca ne m’empêche pas de voir avec les autres pour mes congés. je ss meme la moins bien lotie puisqu'elles ont toutes des enfants et pas moi.

ils sont amis de 20 ans et le chef est chef depuis un an et demi... je devrais être prioritaire car c lui le remplaçant, j'ai trois enfants, lui un. Donc oui, c'est totalement débile.

grande_ourse a écrit :

trashrap a écrit :

ClauBreizhPolska a écrit :Déjà tes gosses te doivent le respect, la chef c'est toi et pas eux.

Je ne suis pas d'accord là-dessus, mais c'est un autre débat...

Je continue à penser que c'est affrontement est une recherche de communication.

oui... et puis ? chez le psy, il n'a rien à me dire ; si je lui propose de prendre du temps avec lui, il a mieux à faire... je fais quoi ?

si son but c'est de me faire retourner chez son père, y'a pas de discussion, ça n'arrivera pas...

Ton fils, il a plein de frustration (de ce que je comprends pas toujours à raison), il a l'age où il ne supporte pas des différences entre sa vie réelle et sa rie rêvée ( genre celles des voisins où l'herbe est tjs plus verte) qu'il ressent comme des injustices insupportables, il le fait payer au parent présent en l'occurence toi.

C'est désolant la non implication du papa et pour ton fils je ne vois pas de solution rapide et facile , mais essaye au moins de ne pas te laisser convaincre que tout ça c'est de ta faute et que TU devrais donc combler tout ses manques car ce n'est pas vrai.

Et c'est vrai que ce n'est peut -être pas vital à soigner pour le moment ce que tu as, mais si je te prends la tête et que je suis désagréable ( c'est pas le but mais je ne m'y prends pas forcement bien), c'est peut être parceque je me dis qu'il vaut mieux un truc pas grave soigner maintenant que d'attendre que ça puisse devenir vraiment grave.

pas de souci Marie Ange. et ça ne peut pas devenir grave (si tu penses à devenir cancéreux) juste super chiant.

grande_ourse a écrit :pas de souci Marie Ange. et ça ne peut pas devenir grave (si tu penses à devenir cancéreux) juste super chiant.

je pensais plus a des hémorragies

marieange a écrit :

grande_ourse a écrit :pas de souci Marie Ange. et ça ne peut pas devenir grave (si tu penses à devenir cancéreux) juste super chiant.

je pensais plus a des hémorragies

c'est arrivé deux fois en un an...

grande_ourse a écrit :

saralou a écrit :

grande_ourse a écrit :ah ben eux je peux te dire qu'il se la posent la question... on habite un coin très riche. Genre le copain qui va passer ses vacances de février au ski... au US, à faire de la dépose hélico. L'autre copain, il était à la Réunion, etc... Bien sûr, c'est pas la majorité, mais on voit toujours ceux qui ont mieux, pas ceux qui ont moins bien. Nous on part JAMAIS, on fait RIEN, parce que je ne peux pas (débordée, obligations pro, grands parents, priorité maison). Et si j'invoque quelques raisons objectives : tavaiskapasdivorcer. Prends ça dans les dents...

Cela marche parce que tu te laisses culpabiliser, au fond de toi, tu leur donnes raison, pas sur le fait que tu n'aurais pas du divorcer, mais que tu n'en fais pas assez pour eux. Mes parents, je peux te dire que nous n'étions pas leur priorité, ils avaient des problèmes qui les en ont empeché, on a jamais rien fait avec mes parents, ni vacances, ni rien. Pour autant, je n'ai pas souffert de cela, mais de leurs disputes et de l'alcoolisme de mon père.

Tu peux très bien entendre leur souffrance due à la séparation, mais tu n'as pas à te justifier de ta décision de séparation avec eux. Tu peux leur dire, je regrette que nos histoires d'adultes ait eu des répercussions sur votre vie, mais pour autant, cela fait partie de votre histoire familiale. J'essaie de faire au mieux et je vous aime, meme quand on se dispute.

on est les parents qu'on est et qu'on peut, de toute façon, les enfants auront besoin de "casser" le modèle familial à l'adolescence. Cela leur permet de se construire un identité propre, et passé ce cap, les relations s'apaisent, dans la plupart des cas. De toute façon,passé un certain âge on a plus de pouvoir sur nos enfants, il faut les lâcher en espérant que tout se passe au mieux.

Mes enfants n'ont pas connu de divorce, ni de mauvaise ambiance à la maison entre nous, pour autant mon fils ainé a été très mal pendant toute son adolescence. Il ne retournait pas son mal e^tre contre moi, mais contre lui, cela me rendait très malheureuse également et je me suis sentie coupable, mais je ne savais pas de quoi exactement. Ce n'est que récemment (il a 19 ans,) qu'il m'a parlé enfin de ce qui le rongeait pendant cette période en me disant qu'il regrettait de m'avoir laissé croire que cela pouvait venir de moi, mais qu'à cette période il était tellement mal qu'il avait mis un mur entre lui et les autres. Il va bien maintenant .

Donc arrête de culpabiliser, tu fais au mieux, comme beaucoup de mamans d'ailleurs.

A aucun moment je ne dis que cela est facile un divorce pour les enfants, attention, mais la vie fait que de toute façon nos enfants devront souffrir de quelque chose, faisons leur confiance de réussir à s'en sortir, on ne pourra pas toujours les aider, on ne controle pas tout, c'est d'ailleurs une des difficultés de l'adolescence je trouve, c'est qu'on ne peut plus grand chose, ils doivent se construire et faire leurs expériences sans nous.

Et des enfants qui ont plus de moyens, de vacances, de jeux, etc.. il y en a toujours, il y a aussi des enfants qui ont moins, donc bon, argument qui tombe très vite à l'eau.

ça doit être la joie de l'enfant précoce. il ne casse pas le modèle familial, il casse le parent...

je leur parle comme tu le fais. RAF...

Bon mes neveux précoces également, un des deux cassait sa mère( et violemment tu peux me croire), à qui il reprochait d'avoir quitté son père également.

C'était un enfant très sensible, qui a eu une enfance et une adolescence difficile, ma soeur a toujours cru qu'il s'en sortirait, alors que le nombre de gens qui lui prédisait un avenir de voyou c'était affolant.

Il est aujourd'hui, un magnifique jeune homme, bien dans sa peau, qui est enfin dans un domaine qui lui plait à l'université, il fait son master. Il a une très bonne relation avec sa mère et son frère (à qui il souhaitait la mort régulièrement).

Connais-tu Jeanne Siaud-facchin , elle a écrit des livres intéressant sur le sujet.

Mes enfants sont HP, mais c'est vrai que cela n'est pas ressorti contre moi. Mais mon fils ainé a été suicidaire pendant plus de 3 ans et c'était très difficile également. mon second fils a eu des problèmes jeunes, des crises d'angoisse terribles, des phobies, des tocs.

C'est clair que ce qu'a vécut ma soeur (en étant seule, car divorcée) est terrible, son ainé lui crachait sa haine à la gueule.

On a parlé de tout cela avant noel, (il a 23 ans maintenant) et il m'a dit qu'il était très mal dans sa peau, convaincu que sa mère préférait son frère, qu'il ne savait pas quoi faire de sa vie et n'arrivait pas à maitriser ses émotions et ses angoisses.

Ce qui lui a fait le déclic c'est que vers 18 ans, il a été agressé dans un train par un désaxé qui s'était échappé d'un hopital psychiatrique. Il a cru mourir sous les coups et en meme temps il a pensé, je vais mourir et je n'aurai pas dit à ma mère et à mon frère que je les aime malgré tout ce que je leur dit.

Depuis ce moment là, ils ont pu recommencer à dialoguer et reconstruire une relation. Ma soeur ne doutait pas qu'il l'aimait quand meme, franchement je ne sais pas comment elle y arrivait, mais elle avait raison.

Je ne veux pas dériver en hs sur ce post, c'était juste une parenthèse. Tu as des soucis à devoir gérer plein de choses c'est clair, tu sauras un jour faire une priorité de tes problèmes gynéco je n'en doute pas.

marieange a écrit :Et c'est vrai que ce n'est peut -être pas vital à soigner pour le moment ce que tu as, mais si je te prends la tête et que je suis désagréable ( c'est pas le but mais je ne m'y prends pas forcement bien), c'est peut être parceque je me dis qu'il vaut mieux un truc pas grave soigner maintenant que d'attendre que ça puisse devenir vraiment grave.

On se dit que quand elle en aura marre de s'en prendre plein la tête, elle prendra le téléphone pour appeler l'hôpital !
Mais elle sait que c'est parce qu'on l'aime.


GO, quand tu seras tellement anémiée ou épuisée que tu tomberas dans les pommes et que l'ambulance viendra te chercher au boulot, ou dans la voiture pendant que tu conduits tes enfants à la musique, tu trouveras peut-être que c'est assez grave ?