En réponse à Poirier
Sauf que le priver de relations intimes c'est me priver aussi...
Et je dois avouer que plus il me blesse et plus j'ai été demandeuse sexuellement car je ressentais le besoin de vérifier qu'il me désirait toujours, qu'il m'aimait. C'est sûr que cela a pu provoquer une incompréhension pour lui car il m'a vu pleurer et après on fait l'amour.
Et puis je me dis que cesser les relations sexuelles et les baisers, en pleine crise conjugale, c'est peut-être ouvrir la porte à une opportunité, à une autre femme.
Pour les écrits, étant quelqu'un qui communique énormément, je l'ai fait également. Des lettres de 4 pages, où je disais mon ressenti, les blessures. J'avoue que j'ai parfois préféré écrire plutôt que de lui parler en face car je craignais de ne pouvoir m'exprimer correctement à cause des pleurs. Ecrire ces lettres m'avaient déjà déclenché de nombreuses larmes.
Il les a lu, les a rangé (je ne sais même pas où elles sont) et il ne m'en a jamais parlé, ni répondu. Passer plusieurs heures à rédiger ce que l'on ressent et n'avoir aucune réponse...
Je pense de plus en plus que la pause est inutile. C'est sa nature, réservé, maladroit. Je me dis en effet que soit je l'accepte et que de toute façon il ne changera pas soit je le quitte pour essayer d'être plus heureuse.
Par contre, je tiens à répondre à certains d'entre vous concernant le fait que je dois lui demander directement les choses plutôt que de les attendre, qu'il est incapable de deviner.
Je suis désolée mais je n'avais pas à lui demander de s'inquiéter pour ma vie s'il n'avait pas de nouvelles de moi durant 9 ou 10 heures pendant mon opération de la sleeve.
De même, pensez-vous que je devais lui demander de m'accompagner durant mon avortement, l'avortement de notre enfant ? N'est-ce pas logique qu'un mari accompagne sa femme durant ce moment particulièrement douloureux ? Durant cette periode, j'étais dans un état second, un vrai robot. Mon corps était présent mais pas mon esprit.
J'ai été blessée et il est vrai que je pourrais lui demander les choses directement afin de ne pas être déçue à nouveau mais voilà , je n'en ai pas la force, pas l'envie.
Sauf que le priver de relations intimes c'est me priver aussi...
Et je dois avouer que plus il me blesse et plus j'ai été demandeuse sexuellement car je ressentais le besoin de vérifier qu'il me désirait toujours, qu'il m'aimait. C'est sûr que cela a pu provoquer une incompréhension pour lui car il m'a vu pleurer et après on fait l'amour.
Et puis je me dis que cesser les relations sexuelles et les baisers, en pleine crise conjugale, c'est peut-être ouvrir la porte à une opportunité, à une autre femme.
Pour les écrits, étant quelqu'un qui communique énormément, je l'ai fait également. Des lettres de 4 pages, où je disais mon ressenti, les blessures. J'avoue que j'ai parfois préféré écrire plutôt que de lui parler en face car je craignais de ne pouvoir m'exprimer correctement à cause des pleurs. Ecrire ces lettres m'avaient déjà déclenché de nombreuses larmes.
Il les a lu, les a rangé (je ne sais même pas où elles sont) et il ne m'en a jamais parlé, ni répondu. Passer plusieurs heures à rédiger ce que l'on ressent et n'avoir aucune réponse...
Je pense de plus en plus que la pause est inutile. C'est sa nature, réservé, maladroit. Je me dis en effet que soit je l'accepte et que de toute façon il ne changera pas soit je le quitte pour essayer d'être plus heureuse.
Par contre, je tiens à répondre à certains d'entre vous concernant le fait que je dois lui demander directement les choses plutôt que de les attendre, qu'il est incapable de deviner.
Je suis désolée mais je n'avais pas à lui demander de s'inquiéter pour ma vie s'il n'avait pas de nouvelles de moi durant 9 ou 10 heures pendant mon opération de la sleeve.
De même, pensez-vous que je devais lui demander de m'accompagner durant mon avortement, l'avortement de notre enfant ? N'est-ce pas logique qu'un mari accompagne sa femme durant ce moment particulièrement douloureux ? Durant cette periode, j'étais dans un état second, un vrai robot. Mon corps était présent mais pas mon esprit.
J'ai été blessée et il est vrai que je pourrais lui demander les choses directement afin de ne pas être déçue à nouveau mais voilà , je n'en ai pas la force, pas l'envie.