Et bien Reinette, je ne te souhaite pas la bienvenue au club...
De mon côté, avant c'était, toujours chaud, et même de sacrées put*ins de suées au moindre ridicule effort, genre courir 10 m pour le bus.
Maintenant, c'est frilosité. Cependant contexte particulier : le froid, j'aime pas, c'est un fait.
Mais ce que je déteste le plus, et de fait, supporte le moins, c'est l'humidité. 3 jours de pluie/gris/brouillard, même en été, et je me pèle tout autant que par 2 degrés.
Alors que bon, zéro dégré en hiver, si y'a un beau soleil, je tolère (j'insiste sur « tolère »). L'effet psychologique du soleil sans doute.
En plus, vu la splendide teinte que prennent certains de me doigts en période froid-humide (et vu le patrimoine génétique), je pense avoir une forme très primaire de la maladie de Raynaud.
Bref, de mon côté, la frilosité, je vis avec dirons-nous. L'idée étant que si j'ai froid au réveil, je vais passer une sale journée parce que oignon ou pas je vais trainer cette sensation non-stop. En plus l'empilage de fringues, j'aime pas.
En revanche si j'arrive à me réveiller en étant « à bonne température » et à sauter illico dans des fringues pas trop gelées, y'a des chances que je sente moins le souci dans la journée, pour peu que je m'active un peu.
Pour le coucher, idem. Les pieds gelés... heureusement que j'ai pas de conjoint sans quoi il m'aurait sans doute répudié pour ça.
J'ai investi la semaine passée dans des petites bouillottes sans eau pour glisser dans mes poches, et pourquoi pas le soir avant dodo dans mes chaussettes (je vais tester en tout cas).
Bref, j'ai pour habitude de dire que c'est pas du sang qui coule dans mes veines mais de l'azote liquide.