Je pencherais quand même un peu du côté de Toad à priori.
De ce que je lis je ne crois pas que tu puisses dire que tu aies été battue par ton père quand même.
Attention ce n'est pas pour minimiser ta souffrance que je dis ça, c'est simplement pour
que les mots gardent leur sens, car c'est un premier pas vers la compréhension de l'autre.
(cela dit je ne connais pas ta vie hein, à toi de confirmer ou d'infirmer ce que je dis bien sûr)
La souffrance revêt bien des formes différentes, il n'est pas forcément nécessaire de prendre des coups pour la ressentir.
Ta relation me rappelle par plusieurs aspects celle que je peux avoir mon père.
Et pourtant c'est quelqu'un qui n'a absolument jamais levé la main sur moi.
Comme tu le dis il semble plutôt t'avoir transmis et fait porter ses propres angoisses existentielles.
Et c'est déjà énorme, ça suffit amplement pour pouvoir justifier une relation oppressante et toxique.
T'éloigner de lui physiquement te ferait respirer une bonne bouffée d'air pur et salvateur.
Ça te permettrait aussi de prendre du recul et d'avoir les idées plus claires pour réfléchir.
Ça éloignerait le problème, l'empêcherait d'avoir le dessus, le rendrait moins contraignant.
Mais par contre il n'y a pas d'illusions à se faire : ça ne le réglerait pas pour autant.
Un jour il faudra dialoguer, et il faudra assumer ses souffrances autant que ses propres erreurs.
Et au final probablement, il faudra pardonner. Ou pas. Ce sera à toi d'en décider en temps voulu.
Mais dans l'immédiat il n'y a que deux solutions : partir ou affronter.
Et si tu ne veux pas, ou ne peux pas, choisir l'une des deux concrètement, alors il faut prendre ton mal en patience.
Ce qui ne t'empêche pas par ailleurs de consulter un psy comme dit précédemment pour t'épauler dans cette épreuve.
De ce que je lis je ne crois pas que tu puisses dire que tu aies été battue par ton père quand même.
Attention ce n'est pas pour minimiser ta souffrance que je dis ça, c'est simplement pour
que les mots gardent leur sens, car c'est un premier pas vers la compréhension de l'autre.
(cela dit je ne connais pas ta vie hein, à toi de confirmer ou d'infirmer ce que je dis bien sûr)
La souffrance revêt bien des formes différentes, il n'est pas forcément nécessaire de prendre des coups pour la ressentir.
Ta relation me rappelle par plusieurs aspects celle que je peux avoir mon père.
Et pourtant c'est quelqu'un qui n'a absolument jamais levé la main sur moi.
Comme tu le dis il semble plutôt t'avoir transmis et fait porter ses propres angoisses existentielles.
Et c'est déjà énorme, ça suffit amplement pour pouvoir justifier une relation oppressante et toxique.
T'éloigner de lui physiquement te ferait respirer une bonne bouffée d'air pur et salvateur.
Ça te permettrait aussi de prendre du recul et d'avoir les idées plus claires pour réfléchir.
Ça éloignerait le problème, l'empêcherait d'avoir le dessus, le rendrait moins contraignant.
Mais par contre il n'y a pas d'illusions à se faire : ça ne le réglerait pas pour autant.
Un jour il faudra dialoguer, et il faudra assumer ses souffrances autant que ses propres erreurs.
Et au final probablement, il faudra pardonner. Ou pas. Ce sera à toi d'en décider en temps voulu.
Mais dans l'immédiat il n'y a que deux solutions : partir ou affronter.
Et si tu ne veux pas, ou ne peux pas, choisir l'une des deux concrètement, alors il faut prendre ton mal en patience.
Ce qui ne t'empêche pas par ailleurs de consulter un psy comme dit précédemment pour t'épauler dans cette épreuve.
The shadow proves the sunshine.