Le papa a également voulu être présent à mon accouchement. Je ne suis pas à l'aise avec mon corps non plus, mais la naissance de son fils c'était un moment magique pour lui aussi.
Lui aussi avait peur de voir "des choses", donc il est resté auprès de ma tête. Pour tout dire, il ne savait même pas s'il voulait couper le cordon ou pas (en même temps il a pas eu le choix vu que fiston avait deux tours de cordon autour du cou, c'est l'équipe qui l'a fait fissa).
Il avait peur de ce qu'il pouvait voir, et c'est vrai qu'il m'a vue en train de vraiment souffrir (accouchement pas terrible). Il est également tombé dans les pommes (pour la péri, alors qu'il a rien vu... une odeur paraît-il... Et maintenant on en ri.
Il y a aussi le fait que je l'avais briefé, quoi qu'il se passe, tu restes avec le bébé. Donc quand ils ont enfin sorti fiston (forceps... mon homme a rien vu, quand je lui posé des questions sur quelle forme ça a, il a jamais pu me répondre), ils l'ont emmené pour lui donner de l'oxygène. Le papa a suivi, et même si j'étais inquiète, j'étais plus tranquille.
Quand ils sont revenus avec le bout de chou, le papa était concentré sur moi et sur bébé, on m'a fait des soins (qui ont duré car quelques soucis), je m'en souviens pas franchement et le papa non plus (hypnotisé par son fils).
Et là , il est partant pour le prochain.
Ton ami se concentrera sur toi, sur t'aider à mettre votre enfant au monde. Préviens-le de ce qu'il risque de se passer, que même si tu l'insultes, c'est pas grave, c'est les hormones et la douleur... Mais dans ces moments-là crois-moi, il ne s'occupera pas de ce à quoi tu ressembles.
Après si tu es vraiment gênée, il ne faut pas te forcer car c'est déjà quelque chose de difficile que l'accouchement. Mais si lui y tient, et que tu aimerais quand même un soutien moral, laisse-toi convaincre.
Et parles-en à la personne qui te suit puisque tu es suivie. Tu peux également demandé au personnel de la maternité si le père peut rester sans rien voir, ils ont assez d'expérience pour te répondre sans problème.
J'ai fait un roman, non par pour te forcer à faire quelque chose dont tu ne veux pas, mais que tu y réfléchisses bien pour que tu ne regrettes rien plus tard. Et bon courage !
Lui aussi avait peur de voir "des choses", donc il est resté auprès de ma tête. Pour tout dire, il ne savait même pas s'il voulait couper le cordon ou pas (en même temps il a pas eu le choix vu que fiston avait deux tours de cordon autour du cou, c'est l'équipe qui l'a fait fissa).
Il avait peur de ce qu'il pouvait voir, et c'est vrai qu'il m'a vue en train de vraiment souffrir (accouchement pas terrible). Il est également tombé dans les pommes (pour la péri, alors qu'il a rien vu... une odeur paraît-il... Et maintenant on en ri.
Il y a aussi le fait que je l'avais briefé, quoi qu'il se passe, tu restes avec le bébé. Donc quand ils ont enfin sorti fiston (forceps... mon homme a rien vu, quand je lui posé des questions sur quelle forme ça a, il a jamais pu me répondre), ils l'ont emmené pour lui donner de l'oxygène. Le papa a suivi, et même si j'étais inquiète, j'étais plus tranquille.
Quand ils sont revenus avec le bout de chou, le papa était concentré sur moi et sur bébé, on m'a fait des soins (qui ont duré car quelques soucis), je m'en souviens pas franchement et le papa non plus (hypnotisé par son fils).
Et là , il est partant pour le prochain.
Ton ami se concentrera sur toi, sur t'aider à mettre votre enfant au monde. Préviens-le de ce qu'il risque de se passer, que même si tu l'insultes, c'est pas grave, c'est les hormones et la douleur... Mais dans ces moments-là crois-moi, il ne s'occupera pas de ce à quoi tu ressembles.
Après si tu es vraiment gênée, il ne faut pas te forcer car c'est déjà quelque chose de difficile que l'accouchement. Mais si lui y tient, et que tu aimerais quand même un soutien moral, laisse-toi convaincre.
Et parles-en à la personne qui te suit puisque tu es suivie. Tu peux également demandé au personnel de la maternité si le père peut rester sans rien voir, ils ont assez d'expérience pour te répondre sans problème.
J'ai fait un roman, non par pour te forcer à faire quelque chose dont tu ne veux pas, mais que tu y réfléchisses bien pour que tu ne regrettes rien plus tard. Et bon courage !