Benji843 a écrit :Les femmes arreter de pleurer vous etes rondes et alors? La terre toune toujours pour autant faites pas un drame alors qu il y en a pas lieu.
Affirmez vous et avancez il y a beaucoup de personnes qui trouvent les rondes plus jolie que les maigres...
De l'extérieur être gros-se semble toujours aisé, que ce soit au niveau de la perte ou de l'acceptation ;) " yaka, fokon "

Sinon se sentir inadapté(e) socialement bah y'a pas d'IMC pour ça en fait, ça n'arrive pas qu'aux gros.
Nous vivons sur la même planète mais pas dans le même monde.
Yuutsu a écrit : Je suis plutôt solitaire, mais j'ai quand même parfois besoin de voir des gens. Pas la foule, ouh là, surtout pas! Mais quelques potes de temps en temps. Or, du fait de mon super caractère asocial, je n'en ai pas des masses, de potes.
Et il faut dire ce qui est, ça me manque parfois, par périodes.
Mais tout à fait pareil, globalement je me retrouve dans un peu chacune de vous ! Et ça fait du bien dene pas se sentir seule dans ce cas là. Je ne supporte personne, personne n'est assez proche de mes idées pour être "digne" de ma confiance, alors je ne copine pas. J'évite toute situation qui m'énerve, voir j'envoi chier... J'ai accouchée en Août et pour exemple je ne supporte pas l'hypocrisie que génère un nouveau né, de personnes que l'on ne voit jamais, qui ne demande pas de vos nouvelles mais veulent soudain venir vous rendre visite pour voir la merveille.. non non et non


J'ai une chance c'est que mon mari est tout pareil que moi, alors on est seuls mais à deux lol et ça nous va très bien. Personne ne nous comprend, on s'en ai prit plein la gueule depuis le début que nous sommes ensemble de part notre mode de vie, nous avons deux couples d'amis que nous voyons genre 3 ou 4 fois par an et basta. Même de notre propre famille nous avons reçu des critiques mais bordel on ne peut pas vivre comme on l'entend ? Du temps que l'on ne fait de mal à personne !!


Notre plus grand rêve est d'aller vivre dans l'est de la France, coupé de nos "amis" de nos "proches" et être tranquils à avoir les obligations de conventions sociales et familiales qu'une à deux fois par an...

Nous préférons être chez nous, on a pratiquement toujours envie d'annuler que ce soit les courses ou aller chez quelqu'un !

En tout cas je vous comprends, et je ne peux être plus tranquille étant donné qu'en se moment je suis en congé maternité puis parental, alors hormis les visites "obligatoires" de la famille proche pour voir le petit je suis seule toute la journée !!
FC à C4, C8 et C12.

Bb1 à C15. Né le 14 Août 2015.
Exacte copié collé ouais biensur ;)
Va faire ta recherche sur tout le site et trouve moi deux fois cette meme phrase ecrite anterieurement :D
Benji843 a écrit :Les femmes arreter de pleurer vous etes rondes et alors? La terre toune toujours pour autant faites pas un drame alors qu il y en a pas lieu.
Affirmez vous et avancez il y a beaucoup de personnes qui trouvent les rondes plus jolie que les maigres...
Ce sujet n'a strictement, mais alors vraiment, rien à voir avec le physique ....

Maintenant, s'agissant d'un souci qui me tient particulièrement à coeur, je te saurais gré de ne pas le troller. Je t'en remercie par avance.



Merci Gallalielle de ton témoignage, grossissant (sans mauvais jeu de mot :lol:) les rangs des ourses patentées. Du coup, est-ce que les relations amicales te manquent parfois ou ton cocon avec ton homme et bébé te convient parfaitement ?

Fanny, ta technique n'est pas idiote du tout. Surtout si elle t'aide !
C'est juste que ... faut avoir suffisamment d'amis pour pouvoir l'appliquer :lol:

Au début de ce post, je disais avoir une meilleure amie habitant à 2h de route et un couple d'amis ici mais au final je crois que je n'ai que ma meilleure amie. Le sentiment d'isolement est donc assez fort par moment. J'aimerais avoir davantage d'amis mais je ne fais rien pour le provoquer (souhait de préserver ma zone de confort / solitude, flemme d'entretenir l'amitié derrière, peur de la fusion). Si j'avais davantage d'amis, je crois que rien que le fait de savoir que je ne suis pas isolée, c'est à dire, savoir que j'ai des amis mais sans les voir, me "rassurerait".
Dans le genre compliquée ...
Ma BAV : Les soldes toute l'année dans ma BAV ! - 30% sur le 2ème article acheté, - 40% sur le 3ème article, etc !!
Pas d'échanges
Une partie des réponses est dans vos questions ^^

Qu'est-ce qu'être "Inadapté/e socialement"?....

Les "symptomes" que vous décrivez vous donnent l'impression d'avoir du mal à prendre la societé telle qu'elle est, ou telle qu'elle voudrait que vous soyez... mais plus surement telle que vous imaginez qu'elle voudrait que vous soyez! (Wahouuu si si la syntaxe se tient, même si c'est alambiqué :) )

Certains/aines le vivent bien, d'autres beaucoup moins, faisant apparaitre la crainte d'un isolement étouffant. Mais qu'attendez-vous des autres et de leurs "coutûmes"?

Vos amis, votre famille, vos collègues, veulent-ils vous changer, ou bien vous accepter tels que vous êtes? Et savent-ils comme vous êtes pour pouvoir vous accepter?

L'épanouissement personnel passe pour certains par une ouverture aux autres... mais ça n'est pas une géneralité, on peut vivre dans un coccon réduit (mari/femme, enfant(s))... libre à chacun, mais n'est ce pas déja un signe que l'on n'est pas si inadapté que ça?

Je crois surtout qu'on est heureux et épanoui dans le cerle qu'on s'est crée et donc qui nous convient, lorsque arrivent les interrogations, c'est qu'une partie de l'équation commence à fléchir. Alors seulement on peut se poser des questions, mais sans ça, quel interêt ^^

Au risque de larguer un poncif aussi gros que moi, les psys ne sont pas prêt d'être au chomage ;)
Quand le sage montre la lune, l'idiot regarde le bout du doigt...
Je ne troll pas.
Je pourrais troller mais je ne le fais pas.
Ce que j ai dit est tout a fait en adequation avec le theme abordé ici "le sentiment d etre inadaptée socialement" et en vu du site par la meme occasion.
Allez Mot compte double :)
Mais je pourrais tout aussi troller et vous en faire evidement une jolie demonstration en pratique :) pourquoi pas :D
Promethe, va falloir que tu recommences à exercer ton métier de psy car on sent que ça te manque :lol:
Comme d'hab, comme tu parles en langage psy, j'ai du mal à voir où tu veux en venir concrètement :lol: :lol:

En gros, si on se sent épanoui dans notre mode de vie en mode ours, inutile de se mettre la rate au court bouillon. Mais si on en souffre, il faut se poser la question de savoir ce qu'on attend de l'autre et pourquoi on en a peur ?

J'ai bon ?
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StefaniaW a écrit : Merci Gallalielle de ton témoignage, grossissant (sans mauvais jeu de mot :lol:) les rangs des ourses patentées. Du coup, est-ce que les relations amicales te manquent parfois ou ton cocon avec ton homme et bébé te convient parfaitement ?
C'est vrai que ça me manque speuvent, surtout ces derniers temps à être seule avec bébé de 7h à 19h !!
FC à C4, C8 et C12.

Bb1 à C15. Né le 14 Août 2015.
Je vais faire simple... oui Stefania! ;)

L'idéal serait de chercher quand tous les voyants sont au vert,sauf que ça aurait l'effet inverse, apporter une anxiété inutile.
Alors autant en profiter dans ces périodes, vivre et profiter, et se retourner le cerveau quand justement celui ci se met en mode "ça peut pas continuer ainsi " :)
Quand le sage montre la lune, l'idiot regarde le bout du doigt...
Peut-être qu'il y a une culpabilité à n'être pas dans la norme ? Quelque chose du type "qu'est-ce qui cloche chez moi pour que je sois pas capable de ? "

Je me retrouve oh combien dans ce qui est écrit précédemment. Du moins pour tout ce qui concerne les événements sociaux. Que ce soit pour un mariage, une fête au boulot, un événement incontournable, j'essaye de cibler un ou une bavard(e) impénitent(e) à qui je n'aurais pas besoin de faire la conversation, juste à opiner de temps en temps. Les temps de formation avec des inconnus sont pour moi un cauchemar, et je fuis la pause de midi. Il y a je crois un terme anglais "le small talk", qui signifie savoir parler de la pluie et du beau temps, de l'insignifiant. Ben moi je sais pas :D Soit je me tais soit... je me tais :D

Maintenant je me dis que je suis faite ainsi, et qu'après tout il faut aussi des silencieux dans un groupe. Même si très souvent je mets autrui mal à l'aise. Mais je crois que c'est ma gêne qui est communicative. Pas forcément mes silences.

Au début de notre relation je demandais à mon époux si ça le gênait. Il m'a dit "au contraire. ça repose" Et voilà comment on se repose de compagnie depuis plus de 10 ans :D Par contre... nos fils sont des bavards :D

Sur un point je ne rejoins pas l'ensemble : j'ai peu d'amies. Je le regrette. Je pense que mon incapacité sociale me fait passer à côté de belles rencontres. Mais j'ai de vraies amies. Juste on se voit à deux. On se raconte nos vies, on fait du "big talk" :D on se confie, on échange des conseils, et puis chacune poursuit sa route.
"Le même qui, honteux d’être un sans-coeur trop occupé de soi, aimerait s’oublier comme, quelque part, on oublie son parapluie."
Michel Leiris
Pomdereinette a écrit :Peut-être qu'il y a une culpabilité à n'être pas dans la norme ? Quelque chose du type "qu'est-ce qui cloche chez moi pour que je sois pas capable de ? "
Je ne l'avais pas vu comme cela mais très certainement si !
Si les filles ayant participé à ce sujet se ressemblons autant, il y a des chances pour qu'on ne soit pas les seules au monde :lol: Et il vrai que ce n'est pas ce qu'il y a de plus "swag" (bien la première fois que je trouve à le caser celui-là tiens ^^) dans la société d'aujourd'hui. Alors, en rajoutant un zest de manque de confiance, il se pourrait qu'on n'ose pas s'affirmer telle que l'on est, ourse notoire, par peur de ne pas être intégrée au moule commun !

Pomdereinette a écrit :Sur un point je ne rejoins pas l'ensemble : j'ai peu d'amies. Je le regrette. Je pense que mon incapacité sociale me fait passer à côté de belles rencontres. Mais j'ai de vraies amies. Juste on se voit à deux. On se raconte nos vies, on fait du "big talk" :D on se confie, on échange des conseils, et puis chacune poursuit sa route.
Pour ma part, je le regrette aussi ! Je regrette ET le fait de n'avoir qu'une seule amie ET le fait de rien faire pour m'en faire de nouvelles (parce que quand cela arrive, flemme et peur de l'entretenir, chouette hein ?)
Et je suis d'accord avec toi : cela donne le sentiment de passer à côté de bons moments, de la vie aussi quelque part. Ce qui ne fait qu'accentuer les regrets :/
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Pas d'échanges
StefaniaW a écrit :Bonjour,

Cela faisait des années que je n'avais pas écrit de post concernant ma tendance à la masturbation intellectuelle :lol: Si j'ai fais des progrès sur certains points, il y en a où ça bloque : les relations sociales ..

Je ne saurais par où commencer. Peut-être déjà par une entière adolescence à être phobique sociale où mon seul refuge était chez moi. Quelques copines d'écoles à l'école mais pas en dehors. Et avec les années, à chaque meilleure amie, une fin pas cool au bout de quelques années. Surtout la dernière qui a été trop fusionnelle, trop énergivore et qui n'a fait que me pousser dans mes retranchements / ma "solitude sociale" au bout de 4 ans. J'ai aujourd'hui une meilleure amie depuis 4 ans avec qui cela se passe bien car elle me connaît et sait mon côté "ourse".

Je n'ai pas de Facebook, enfin plus, cela m'a gonflée. A part ma meilleure amie qui habite un département voisin, j'ai en tout et pour tout un seul couple de potes ici.
Les moments en société (sauf les soirées entre potes, en petit comité quoi) "m'ennuient" car je ne m'y sens pas à ma place, je me sens à part, différente des autres. J'aurais donc tendance à la "personnalité évitante" où si je peux éviter j'évite, reste de l'adolescence j'imagine. Parfois, je me "force" tout de même car je ne veux pas retomber dans mes travers pour autant et je ne veux pas être à l'écart, isolée, seule quoi.

Ce n'est pas que je me contente de moi-même mais je crois que mon passé a tout simplement forgé ce trait de caractère chez moi. Paradoxalement, j'aime tout de même avoir des amis car c'est important à mes yeux, mais il ne faut pas que cela soit fusionnel, cela me fait peur et m'étouffe. Je crois aussi que j'ai peur (je ne sais pas pourquoi) de m'en faire de nouveau donc si l'occasion se présente, j'aurais tendance à fuir sans le vouloir.
Rajoutez à cela que je n'ai pas encore complétement confiance en moi et cela donne de grands moments où j'ai peur de pas être appréciée, de pas savoir quoi dire (même à mes amis), de dire des choses maladroites ou idiotes, peur de les perdre aussi ... Bref la joie quoi !
Mon homme dans tout ça est pire, il est un ours assumé, il n'a pas d'amis mais aurait tendance à plus facilement "sociabiliser" plus que moi, sauf qu'il n'en a pas envie.

Bref, je ne sais pourquoi, j'ai ce sentiment que je ne suis pas adaptée socialement. D'un côté, cela aurait tendance à me convenir mais je ne voudrais pas pour autant que cela m'isole du reste du monde et ne plus avoir d'amis ..

Oups, désolée pour le pavé :oops:
Je ne sais pas ce que j'attends à travers ce post, peut-être des échanges d'expériences de personnes comme moi ou des avis extérieurs.


C'est ton message qui fait du bien
Merci de m'avoir lu, cela fait du bien de poser tout cela
Inadaptée socialement, handicapée sociale, ce sont des termes que je me suis attribués depuis déjà trop d'années.
Depuis ma prise de poids en fait.
Je me sentais mal dans ma peau et cela a provoqué tout un tas de réactions en chaîne. Bon, le harcèlement scolaire et l'entente infernale dans ma famille ont dû jouer aussi mais bon...
Le constat est là. Aujourd'hui, la moindre sortie est une montagne à gravir. Je dois m'apprêter longtemps avant de sortir car j'ai constamment peur de l'image que je renvois, d'ailleurs, je ne sors jamais seule, j'y arrive pas.
Bientôt, je vais devoir reprendre les démarches de recherche d'emploi et ça me terrifie, je ne sais pas m'adapter à la société, à un groupe, à un patron, l'idée même de retourner bosser me tétanise...
Et dans mes relations sociales, c'est la même. Soit je m'investis trop et je suis déçue, soit je n'ose plus m'investir et du coup, je n'ai que des "amies" mais pas de vraies relations fortes. Je crois que je ne sais plus faire. Je ne sais plus me comporter en société. Même passer un coup de fil devient difficile, je me prépare, je prépare ce que je dois dire, etc.
Là, je reprends doucement le sport et le rééquilibre alimentaire parce que j'ai bon espoir de me sentir mieux dans ma peau grâce à ça et de reprendre confiance en moi.
Je suis presque heureuse de voir que d'autres vivent sensiblement les mêmes choses, je me sens moins seule. Mais depuis quelques semaines, j'ai vraiment décidé de consacrer mon temps libre à ce soucis, de le prendre en main et de m'en débarrasser car honnêtement, je n'en peux plus...
Ah ben voui, j'étais pas bien loin dans ce que je te disais sur le post sur FB ;)

Le sentiment de montagne à gravir ... C'est vrai que quand on met le doigt sur un problème, souvent, un autre est pas loin derrière, et ça n'en fini pas. Ne panique pas, ne te mets pas dans une espèce d'urgence à vouloir tout résoudre d'un coup. Procède par étape.
Tu n'es pas plus bête, laide ou mal aimable qu'une autre.

Mon psychanalyste a dit un truc tout con y'a pas longtemps sur le fait que dès que je reçois un sms pour une invit', sur le moment je me sens "dérangée" et mon cerveau se met direct à réfléchir direct au "pourquoi ça te fait ça". Ben il m'a dit "et si, pour une fois, vous arrêtiez de chercher la cause ? Pourquoi ne pas accepter simplement le fait que vous ne soyez pas sociable ?" Effectivement, le fait de se triturer la tête à se demander pourquoi on est comme ça est finalement peut-être plus douloureux, handicapant et anxiogène que de se dire "je suis associable, ok, j'y peux rien, je fais avec". Ca permet de se libérer d'un poids et de commencer à s'accepter tel que l'on est :)
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Pas d'échanges
Hier, je discutais avec une nana et elle me parlais de la fête surprise que son chéri lui avait organisée pour son anniversaire, avec plein d'amis, etc.
Et je me suis dis que moi, à ma fête, j'aurai personne à inviter.
Et, plus loin, je me suis dis que si je disparaissais, je ne manquerais finalement à pas grand monde.
Et cette idée m'a terrifiée.
Je ne crois pas être heureuse en tant que solitaire, le manque d'échanges, de liens, de partages, m'attriste...
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