Bonjour,

Voilà je voudrais savoir quel a été le déclic chez vous ?

Je pense que je devrai aller consulter mais voilà je ne bouge pas j'attend que " mon problème" s'envole comme par magie et de toute façon je me dis que comparé a certaines moi à côté c'est de la nioniotte.

Je suis hypersensible je pleure quand y'a un truc qui va pas .. pire des fois les larmes montent et je ne sais même pas pourquoi.

Mais faut passer par le médecin pour aller voir un psy ou l'on prend direct rdv chez le psy ?
mais surtout croyez vous qu'un psy peut m'aider ou je suis juste qqn de super méga sensible ?

merci
Pour moi, le déclic, ça a été quand je me suis posé exactement la même question que toi : est-ce que je n'aurais pas besoin d'aller voir un psy? Je me suis rendue compte que je n'arrivais pas à me sortir seule de mes problèmes, que j'avais besoin d'aide, et c'est à ce moment-là que j'ai pris RV. Donc pour moi, si tu crois qu'un psy pourrait t'aider, alors c'est sans doute le bon moment pour consulter.
Le fait que certains aient des problèmes pires que les tiens, c'est tout à fait possible, mais en quoi ça te fait avancer toi que certains aillent encore plus mal? Aller voir un psy, c'est une démarche que tu fais pour toi, parce que toi tu en as besoin. Les autres, tu les oublies! ;) Quant à savoir si le psy peut t'aider, ça peut être un bon questionnement pour ton premier rendez-vous...
Moi j'avais demandé conseil à mon médecin traitant, qui m'avait suggéré quelqu'un, mais tu n'es pas obligée de passer par ton médecin, tu peux aller voir quelqu'un directement.
En pause VLR longue durée.

Les régimes, ça ne marche pas, c''est dangereux et ça fait grossir:
https://www.anses.fr/fr/content/r%C3%A9 ... igrissants
http://www.huffingtonpost.co.uk/sue-tho ... 56126.html
Alors moi, vers 20-21 ans je ne me sentais pas bien, j'avais un mal-être indéfinissable qui ne devait pas être plus grave que le tien, mais dont je n'arrivais pas à me débarrasser. Et un beau jour j'ai vu une pub pour la consultation psy gratuite pour étudiants. Je me suis dit "tiens, ça me ferait peut-être du bien", et j'ai pris rdv illico. Effectivement, ça m'a fait du bien.

Je suis d'accord avec Sarnia, si tu sens que tu en as besoin, c'est que c'est le cas!
Parce que j'en pouvais plus, je dormais de plus en plus mal, je ne voulais rien...


j'ai mis plusieurs jours à me décider, je ne sais pas pourquoi...
PHOTOGRAPHIA

Une nouvelle aventure, en route pour l'adoption.
Le tout premier, on m'y a envoyée après ma tentative de suicide à 17 ans. J'étais hypersensible, mais je pensais que les autres avaient des problèmes plus importants que les miens.... (on y avait d'autres trucs sympatoches genre anorexie dans le lot mais ce qui m'a fait avaler les cachets, c'est une dispute avec mon père au sujet d'un rouleau de scotch noir !!!)


Je sais pas, miss, mais tu constaterais des traces de gangrène sur une de tes jambes, tu ne te poserais pas de questions, tu irais voir un medecin. Pourquoi te poser la question pour ton état d'esprit ? si cela dure, si tu ne te sens pas de remonter cela toute seule, le vrai courage c'est de te faire aider pour en sortir. Y a pas de honte à voir un psy. Pour tous les autres trucs de la vie on consulte des spécialistes, pourquoi pas pour celui là ?
Je parle moins maintenant. Je terrasse plus mes ennemis par l'éloquence. Plus je vieillis, plus je ferme ma gueule.

"J'tabassse les vieux, ça m'dérange pas" Tony Stark à Captain America.
Il m'a fallu 5 ans pour me rendre compte que ça ne gazait pas bien dans ma tête. Pour moi, le psy c'était pour les gens "anormaux", alors que je me sentais "normale". Il n'y a pas eu de déclic, mais une évolution continue pour arriver à la conclusion que j'en avais besoin. Ensuite, j'ai mis 5 autres années à mettre la machine en route : j'ai entamé la démarche de voir quelqu'un à plusieurs reprises sans jamais donner suite. Et puis je me suis sentie vraiment prête et à ce moment, j'ai justement trouvé la bonne personne. Et enfin, je suis sortie du labyrinthe infernal.
Parfois, il faut un temps assez long de maturation/macération pour se décider et se sentir réellement prêt (parce que voir un psy n'est pas toujours une partie de plaisir).
Origine avatar : Blog de poso-7-poso

"So put your grasses on,
nothing will be wrong...."
+1 avec les filles! si tu ne te sens pas bien et que tu es isolée,mieux vaut aller voir un psy qui,avec son avis extérieur,peut t'aider à trouver ce qui cloche.
Bon courage! ;)
Ex leeloo30

Elle commence bien l'année 2012!Les hommes sont d'un compliqué!je vais rester maman célibattante!ça vaut mieux!
+1 avec les filles! si tu ne te sens pas bien et que tu es isolée,mieux vaut aller voir un psy qui,avec son avis extérieur,peut t'aider à trouver ce qui cloche.
Bon courage! ;)
Ex leeloo30

Elle commence bien l'année 2012!Les hommes sont d'un compliqué!je vais rester maman célibattante!ça vaut mieux!
Peut être que je l'aurais un jour ce déclic, pour le moment la seule fois où j'ai vu un psy c'était contre mon gré (quand mon père s'est aperçu que j'avais arrêté d'aller au lycée). Ce psy là me l'a dit, et je l'ai appris aussi quand j'étudiais la psycho, ça ne sert strictement à rien de faire une thérapie avec quelqu'un qui n'est pas prêt à coopérer.
Personnellement, après de longues années à cogiter toute seule dans mon coin, à emmerder mes ami(e)s avec mes idées noires, j'ai rencontré un garçon. Et avec ce garçon, j'ai pris conscience, réellement, que j'avais besoin d'aide, que ressasser mes pensées n'était pas constructif et que j'avais surtout besoin d'un point de vue extérieur. Le déclic en gros, ça a été que j'en avais marre d'être malheureuse et donc de le rendre malheureux. J'ai eu envie d'être heureuse, avant tout pour moi mais aussi pour être heureuse avec lui, envie de donner toutes les chances à notre relation.

Je suis passée par CMP, c'est gratuit, tu les appelles, ils te donnent rendez-vous d'abord avec un(e) infirmier(e) psy qui va "évaluer" ce dont tu as besoin (un psychologue, un psychiatre, autre chose) et en fonction, on te donne un rdv avec le praticien "adapté". Après, à voir si tu continues avec ou pas mais ça te donne au moins une première approche.

Dans mon cas, le travail est loin d'être fini mais le peu de séances que j'ai pu faire (c'est en stand-by pour le moment) m'a beaucoup aidé.
Merci a toutes pour vos témoignages
Quand j'allais tellement mal que j'en devenais infecte avec mon entourage ...

Faire du mal aux personnes que j'aime, avoir peur qu'ils s'eloignent de moi, qu'ils ne m'aiment plus ... ca a été ça le declic ...
"Pendant que le monde est monde et que chacun refait ses comptes, j'emmène au creux de mon ombre ... des poussières de toi !"
Salut

Pour moi le déclic a u lieu quand je n'arrivé plus a me reconnaitre dans mes réaction trop a fleur de peau avec de ce sentiment du je sait pas ce que j'ai mais je me sens mal et rien a faire pour ce débarrasser ou plutôt remplir ce vide qui est plus présent la nuit dans le lit sous la couette avec la tv allumé pour empêcher ton esprit de partir trop loin

Bref le problème c'est que même si j'avais eu ce déclic j'ai beaucoup de temps avant de consulter

Un jour j'ai craquer au bureau les larmes monté tout seul j'ai vite imprimer la liste des psy prés de chez moi, pris mon tel me suis isolé au toilette et j'ai appeler en pleure le psy
Donc sa repend a ta question pas besoin de voir ton médecin traitant de plus tu as des centres d'écoute avec consultation gratuit avec des psy
Voila j'espère t'avoir un peu renseigné.
D'une larme, j'ai sortie ma lame.
mon âme est dans cette arme
Le drame c'est que mes larmes attise les flâmme qui crâme mon âme
Que la nuit est douce et que le parfum des cerisé est agréable, je me couche au pied de cette arbre et enfin pour moi je trouve le repos
Bonjour, après lecture de vos réponses, je pense que je devrait aller voir un psy puisque je me pose la question depuis quelques temps. Mais c'est difficile pour moi de me dire cela... De plus, l'idée de confier mes problèmes, ma vie à quelqu'un autre qu'une personne proche est dure.
Qu'en pensez-vous ?
del00 a écrit :Bonjour, après lecture de vos réponses, je pense que je devrait aller voir un psy puisque je me pose la question depuis quelques temps. Mais c'est difficile pour moi de me dire cela... De plus, l'idée de confier mes problèmes, ma vie à quelqu'un autre qu'une personne proche est dure.
Qu'en pensez-vous ?

C’est pas facile, il y a tout un travail à faire sur soit avant d'arriver devant le psy et encore ce n’est pas gagner car il arrive souvent que lorsque le psy met le doigt sur une plaie on est tendance à prendre la tangente
Mais il faut se mettre dans l’eau pour apprendre à nager
D'une larme, j'ai sortie ma lame.
mon âme est dans cette arme
Le drame c'est que mes larmes attise les flâmme qui crâme mon âme
Que la nuit est douce et que le parfum des cerisé est agréable, je me couche au pied de cette arbre et enfin pour moi je trouve le repos
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