bonsoir Nath
effectivement, choisis un truc qui te branche, sinon ça ne va pas faire long feu.
On trouve aujourd'hui des salles très bon marché.
Il y a dix ans (j'en ai 45) je m'étais mise à la course à pied avec ferveur, trop de ferveur, évidemment j'ai fini blessée (surentraînement et tendinite, rien à voir avec mon surpoids, d'ailleurs je n'ai rapidement plus eu de surpoids vu l'intensité de ma pratique).
Aujourd'hui, ça fait trois ans et demi que j'ai poussé la porte d'une salle de sport, mais le cardio ça me disait rien, j'en avais tellement fait pour maigrir que je m'en était trop dégoûtée, ça marche d'ailleurs à haute dose, mais on devient fine et molle ce qui n'était pas mon but. Donc je me suis mise à la muscu, la vraie avec des barres olympiques, des gros disques de fonte, des haltères et tout et tout. Ce qu'on sait peu, c'est que la muscu augmente le métabolisme au repos. Du coup, j'ai perdu mais je suis super tonique, contrairement à la course à pied + cardio d'il y a dix ans (pour donner un point de repère, je fais trois kilos de moins que mon point le plus bas y'a dix ans MAIS deux tailles de vêtements en moins, donc j'ai une répartition masse musculaire/masse grasse bien différente). Bon mais le plus beau c'est pas ça, c'est que je m'éclate, que j'ai une super bande de potes avec qui je m'entraîne 5 fois par semaine, et j'envisage même très sérieusement de tenter le Crossfit et de tester la Pole Dance dans un an environ (et là mon chéri commence à vraiment me prendre pour une furie et commence légèrement à craquer devant mes achats compulsifs de leggings, brassières et baskets de toutes les couleurs, ahem). Tu m'aurais dit ça y'a 4 ans, je t'aurais éclaté de rire au nez. Tout ça pour dire qu'il n'y a pas d'âge pour s'y mettre et s'éclater !
NB la zumba j'ai des copines d'à peine 60 kg et sportives qui y ont laissé leurs genoux, ça n'a pas l'air si facile que ça...
Si vraiment c'est un dieu qui a créé ce cloaque d'horreur et de désespoir avec la mort au bout, alors c'est un tel salaud qu'il vaut mieux qu'il n'y en ait pas.
F. Cavanna