Bonjour,
J'ai découvert dans "Le Monde" des 14-15 janvier une chronique intéressante écrite par Jean-Michel Dumay et ayant pour sujet le poids et la manière dont est vu le surpoids.
Il est impossible de copier l'intégralité de cette chronique. Donc, je vous en livre quelques éléments.
On y apprend que 70 % des Français avouent surveiller leur poids alors que le surpoids ne touche que 30 % de la population.
On y découvre aussi la folie des Américains. Je cite : "En Pennsylvanie, on s'émeut maintenant que les écoles glissent dans les bulletins scolaires une lettre comportant des notes d'un genre particulier : l'indice de masse corporelle de chaque élève d'une part (...) ; et la place de l'élève, en conséquence, dans la répartition de sa classe d'âge, d'autre part, selon son genre (féminin ou masculin). De jeunes têtes auraient développé dans ce rapprochement entre notes scolaires et statistiques personnelles un fort sentiment de culpabilité."
J'ai aussi beaucoup aimé les propos de Jean-Paul Poulain, spécialiste de la sociologie de l'alimentation : "On peut se demander pourquoi, dans notre société d'abondance, on utilise la minceur pour affirmer sa position sociale, en s'appuyant sur un discours médical. En effet, c'est moins à une épidémie d'obésité que nous assistons aujourd'hui qu'à une épidémie de mise au régime".
J'ai découvert dans "Le Monde" des 14-15 janvier une chronique intéressante écrite par Jean-Michel Dumay et ayant pour sujet le poids et la manière dont est vu le surpoids.
Il est impossible de copier l'intégralité de cette chronique. Donc, je vous en livre quelques éléments.
On y apprend que 70 % des Français avouent surveiller leur poids alors que le surpoids ne touche que 30 % de la population.
On y découvre aussi la folie des Américains. Je cite : "En Pennsylvanie, on s'émeut maintenant que les écoles glissent dans les bulletins scolaires une lettre comportant des notes d'un genre particulier : l'indice de masse corporelle de chaque élève d'une part (...) ; et la place de l'élève, en conséquence, dans la répartition de sa classe d'âge, d'autre part, selon son genre (féminin ou masculin). De jeunes têtes auraient développé dans ce rapprochement entre notes scolaires et statistiques personnelles un fort sentiment de culpabilité."
J'ai aussi beaucoup aimé les propos de Jean-Paul Poulain, spécialiste de la sociologie de l'alimentation : "On peut se demander pourquoi, dans notre société d'abondance, on utilise la minceur pour affirmer sa position sociale, en s'appuyant sur un discours médical. En effet, c'est moins à une épidémie d'obésité que nous assistons aujourd'hui qu'à une épidémie de mise au régime".