S
Sur le principe aussi, je suis d'accord. Sa chambre, c'est son espace mais je ne veux pas lâcher l'affaire. Cela fait partie des règles instaurées à la maison. Chacun range ses affaires et chacun participe.
Lâcher l'affaire se serait comme si, au final, je lui disais: "c'est bon, tu as gagné!" Et ça c'est hors de question pour moi. Je suis sa mère et mon rôle est aussi d'imposer des limites pour son bien à elle. Je ne pense pas que de reculer sur ce point soit une bonne chose car tel que je la connais, elle trouverait le moyen de porter ce "conflit mère/fille" sur d'autres terrains comme sa scolarité par exemple et ça, c'est encore une fois impensable pour moi.
Parce que si j'arrive à me contenir et à prendre sur moi bien que cette situation me fasse terriblement souffrir, là, je crois que je pourrai devenir vraiment méchante. Voir même envisager une mise en pension pure et simple. C'est dur, certains diront que ce n'est pas la solution mais si le domaine scolaire devait être touché je l'envisagerai...reste à savoir si j'aurai le courage de le faire et ça c'est une toute autre histoire.... d'ailleurs en me relisant j'en doute....:roll:
Mais finalement ce n'est pas ça le problème car tout est source de conflit avec elle. Tout!
La communication, il n'y en a que très peu finalement. Elle s'enferme dans son monde et me rejette tout simplement. Elle me provoque, elle a des vélléités d'indépendance que je ne peux pas accorder à une ado de 12 ans! Alors que faire à part essayer de lui expliquer calmement et de hausser le ton quand, comme d'habitude, elle se braque.
Pour l'instant, je trouve un peu de répit parce que c'est mon mari, son père qui a pris le relais. Mais même lui, avoue que ce n'est pas facile avec elle... Il commence à comprendre donc. ;)
Ca me permet au moins d'évacuer un peu, d'analyser la situation et d'essayer, pourquoi pas, de trouver une solution.
La lettre, je vais y penser, ça peut être le premier pas vers une meilleure communication, donc de meilleures relations entre nous.
Lâcher l'affaire se serait comme si, au final, je lui disais: "c'est bon, tu as gagné!" Et ça c'est hors de question pour moi. Je suis sa mère et mon rôle est aussi d'imposer des limites pour son bien à elle. Je ne pense pas que de reculer sur ce point soit une bonne chose car tel que je la connais, elle trouverait le moyen de porter ce "conflit mère/fille" sur d'autres terrains comme sa scolarité par exemple et ça, c'est encore une fois impensable pour moi.
Parce que si j'arrive à me contenir et à prendre sur moi bien que cette situation me fasse terriblement souffrir, là, je crois que je pourrai devenir vraiment méchante. Voir même envisager une mise en pension pure et simple. C'est dur, certains diront que ce n'est pas la solution mais si le domaine scolaire devait être touché je l'envisagerai...reste à savoir si j'aurai le courage de le faire et ça c'est une toute autre histoire.... d'ailleurs en me relisant j'en doute....:roll:
Mais finalement ce n'est pas ça le problème car tout est source de conflit avec elle. Tout!
La communication, il n'y en a que très peu finalement. Elle s'enferme dans son monde et me rejette tout simplement. Elle me provoque, elle a des vélléités d'indépendance que je ne peux pas accorder à une ado de 12 ans! Alors que faire à part essayer de lui expliquer calmement et de hausser le ton quand, comme d'habitude, elle se braque.
Pour l'instant, je trouve un peu de répit parce que c'est mon mari, son père qui a pris le relais. Mais même lui, avoue que ce n'est pas facile avec elle... Il commence à comprendre donc. ;)
Ca me permet au moins d'évacuer un peu, d'analyser la situation et d'essayer, pourquoi pas, de trouver une solution.
La lettre, je vais y penser, ça peut être le premier pas vers une meilleure communication, donc de meilleures relations entre nous.