60 ans
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Tout d'abord, il faut que tu vérifies si la législation belge a mis en place des procédures liées à cette intervention, comme c'est le cas en France.
Ici, la procédure est encadrée par l'article L2123-1 du Code de la Santé Publique :
Citation:
Comme tu le constates, un médecin n'est pas obligé de pratiquer l'intervention.
Les motifs de refus les plus fréquents sont les suivants :
- âge de la femme (femme ayant déjà des enfants et pouvant encore procréer pendant plusieurs années. La limite est variable selon les médecins, mais souvent en dessous de 38 ans, c'est le refus);
- femme n'ayant pas eu d'enfant et encore en âge de procréer (encore plus de réticences...).
En fait c'est assez difficile de subir cette intervention en France, il faut souvent avoir eu au moins 3 enfants et avoir des problèmes qui rendraient une nouvelle grossesse dangereuse ou ne pas supporter un autre mode de contraception.
Après chaque médecin apprécie au cas par cas.
Qu'est ce qui te fait penser à cette intervention ? As tu bien conscience de son caractère quasi définitif ? (on peut tenter une reperméabilisation des trompes, mais ça ne marche pas à tous les coups. Les statistiques actuelles donnent un taux de réussite de 50% environ). Pour le moment tu ne souhaites pas d'enfant, mais plus tard ?
Ici, la procédure est encadrée par l'article L2123-1 du Code de la Santé Publique :
Citation:
Art. L. 2123-1. - La ligature des trompes ou des canaux déférents à visée contraceptive ne peut être pratiquée sur une personne mineure. Elle ne peut être pratiquée que si la personne majeure intéressée a exprimé une volonté libre, motivée et délibérée en considération d'une information claire et complète sur ses conséquences.
« Cet acte chirurgical ne peut être pratiqué que dans un établissement de santé et après une consultation auprès d'un médecin.
« Ce médecin doit au cours de la première consultation :
« - informer la personne des risques médicaux qu'elle encourt et des conséquences de l'intervention ;
« - lui remettre un dossier d'information écrit.
« Il ne peut être procédé à l'intervention qu'à l'issue d'un délai de réflexion de quatre mois après la première consultation médicale et après une confirmation écrite par la personne concernée de sa volonté de subir une intervention.
« Un médecin n'est jamais tenu de pratiquer cet acte à visée contraceptive mais il doit informer l'intéressée de son refus dès la première consultation. »
« Cet acte chirurgical ne peut être pratiqué que dans un établissement de santé et après une consultation auprès d'un médecin.
« Ce médecin doit au cours de la première consultation :
« - informer la personne des risques médicaux qu'elle encourt et des conséquences de l'intervention ;
« - lui remettre un dossier d'information écrit.
« Il ne peut être procédé à l'intervention qu'à l'issue d'un délai de réflexion de quatre mois après la première consultation médicale et après une confirmation écrite par la personne concernée de sa volonté de subir une intervention.
« Un médecin n'est jamais tenu de pratiquer cet acte à visée contraceptive mais il doit informer l'intéressée de son refus dès la première consultation. »
Comme tu le constates, un médecin n'est pas obligé de pratiquer l'intervention.
Les motifs de refus les plus fréquents sont les suivants :
- âge de la femme (femme ayant déjà des enfants et pouvant encore procréer pendant plusieurs années. La limite est variable selon les médecins, mais souvent en dessous de 38 ans, c'est le refus);
- femme n'ayant pas eu d'enfant et encore en âge de procréer (encore plus de réticences...).
En fait c'est assez difficile de subir cette intervention en France, il faut souvent avoir eu au moins 3 enfants et avoir des problèmes qui rendraient une nouvelle grossesse dangereuse ou ne pas supporter un autre mode de contraception.
Après chaque médecin apprécie au cas par cas.
Qu'est ce qui te fait penser à cette intervention ? As tu bien conscience de son caractère quasi définitif ? (on peut tenter une reperméabilisation des trompes, mais ça ne marche pas à tous les coups. Les statistiques actuelles donnent un taux de réussite de 50% environ). Pour le moment tu ne souhaites pas d'enfant, mais plus tard ?