51 ans
31
suite
Depuis ce fameux jour, passé dans la roserai
Je voyageais entre ciel et terre.
Ayant écouté avec assiduité les chants mélodieux du vent, mon enchantement était à son paroxysme.
Mais, pourtant, mon cœur était alourdi par ma mauvaise conscience,
Ayant pris conscience des lois universelles qui régisse ma vie, je ne pu cependant faire face à mon ego démesurer.
Le moi conscient, me dicte les chants de la raison,
Le moi inconscient, me rejette sur les rives du matérialisme,
Les rives du lac doré, de ce monde illusoire.
Comment puis-je faire face à cet ego si omniprésent ?
Mille excuses me viennent à l’esprit, mais aucune ne pourraient être recevables par les déités.
Les faiblesses de l’homme ne serraient excusé sa cupidité,
Triste réalité, je fais parti de ceux là !
Dés lors je du faire abstraction de ma mauvaise conscience, ce afin de garder le cœur léger. Comment pourrais-je perdurer aux seins du monde enchanté dans de telles conditions ?
Dés lors, je fis part de ma faiblesse et de mes doutes à l’esprit de la forêt (ce ne fut point une grande surprise pour lui, il connaît déjà ce don peut être capable l’être humain, que ce soit en bien ou en mal).
Et il me répondit ceci :
L’être humain cherche toujours ce que la nature peut lui donner,
En contre parti, celui-ci ne cherche nullement à savoir ce qu’il peut faire pour celle-ci.
Si elle ne peut lui donner, il lui vole, sens ce soucier des conséquences.
Respecte la nature et la nature te respectera, de là, tu pourras y puiser l’énergie que tu voudras. Sans quoi, la nature pourrait mettre fin à ton existence.
L’homme dit que la nature peut être cruel parfois, mais le n’est t’il pas vis-à-vis d’elle ?
Faire communion avec l’esprit de la forêt n’est point chose aisé, l’engagement doit être total.
Tu dois suivre la voie du cœur, faire le vide de ce que tu crois connaître et te laisser imprégner par le flue de l’univers.
Allonge toi dans l’herbe un beau soir d’été et contemple la beauté céleste de la déesse. Tu comprendras.
On ne peut libéré sa mauvaise conscience du jour au lendemain, ce défaire de son ego demande des sacrifices. Alors ne soit pas pressé et tu verras le bout du chemin.
Après avoir humblement remercié l’esprit de la forêt, je me promenais au pays de féliciter, le « cœur léger ».
Depuis ce fameux jour, passé dans la roserai
Je voyageais entre ciel et terre.
Ayant écouté avec assiduité les chants mélodieux du vent, mon enchantement était à son paroxysme.
Mais, pourtant, mon cœur était alourdi par ma mauvaise conscience,
Ayant pris conscience des lois universelles qui régisse ma vie, je ne pu cependant faire face à mon ego démesurer.
Le moi conscient, me dicte les chants de la raison,
Le moi inconscient, me rejette sur les rives du matérialisme,
Les rives du lac doré, de ce monde illusoire.
Comment puis-je faire face à cet ego si omniprésent ?
Mille excuses me viennent à l’esprit, mais aucune ne pourraient être recevables par les déités.
Les faiblesses de l’homme ne serraient excusé sa cupidité,
Triste réalité, je fais parti de ceux là !
Dés lors je du faire abstraction de ma mauvaise conscience, ce afin de garder le cœur léger. Comment pourrais-je perdurer aux seins du monde enchanté dans de telles conditions ?
Dés lors, je fis part de ma faiblesse et de mes doutes à l’esprit de la forêt (ce ne fut point une grande surprise pour lui, il connaît déjà ce don peut être capable l’être humain, que ce soit en bien ou en mal).
Et il me répondit ceci :
L’être humain cherche toujours ce que la nature peut lui donner,
En contre parti, celui-ci ne cherche nullement à savoir ce qu’il peut faire pour celle-ci.
Si elle ne peut lui donner, il lui vole, sens ce soucier des conséquences.
Respecte la nature et la nature te respectera, de là, tu pourras y puiser l’énergie que tu voudras. Sans quoi, la nature pourrait mettre fin à ton existence.
L’homme dit que la nature peut être cruel parfois, mais le n’est t’il pas vis-à-vis d’elle ?
Faire communion avec l’esprit de la forêt n’est point chose aisé, l’engagement doit être total.
Tu dois suivre la voie du cœur, faire le vide de ce que tu crois connaître et te laisser imprégner par le flue de l’univers.
Allonge toi dans l’herbe un beau soir d’été et contemple la beauté céleste de la déesse. Tu comprendras.
On ne peut libéré sa mauvaise conscience du jour au lendemain, ce défaire de son ego demande des sacrifices. Alors ne soit pas pressé et tu verras le bout du chemin.
Après avoir humblement remercié l’esprit de la forêt, je me promenais au pays de féliciter, le « cœur léger ».