48 ans
var
230
J'aurai tendance à dire que zom est trop derrière notre fils. Toujours à lui aboyer après : "fais pas ci, touche pas ça, attention, regarde où tu vas, NON...", mais je n'interviens pas quand il le punit, on en discute après, et jamais devant Quentin.
Mes beaux parents fonctionnaient comme ça : ma belle mère punissait et mon beau père, en rentrant du travail le soir, retirait la punition en disant que ce n'était pas grave. Zom aurait une facheuse tendance à faire la même chose. Et je ne suis pas d'accord du tout. Ensuite l'enfant pense que de toute façon, ce n'est pas grave s'il est puni, parce que quand papa rentrera, il pourra faire ce qu'il voudra.
Il faut respecter la decision de l'autre, mais en discuter ensuite si on trouve qu'elle n'est pas méritée ou disproportionnée. Et c'est celui qui a puni qui retire la punition.
Enfin, chez nous, ça marche comme ça. ;)
Ensuite, le rôle du père est essentiel.
Mon père n'était là que pour nous donner des fessées en cas de bétises ou mauvaises notes. Résultat, nous n'avons quasiment pas de dialogue.
J'aurai tendance à pousser zom à s'investir dans la relation père/fils, pour qu'ils aient du plaisir à être ensemble. Rien que de les voir tout les deux, ça me met automatiquement le sourire aux lèvres. :lol: Par contre, quand vraiment Quentin est difficile, je n'hésite pas à appeller zom pour qu'il prenne le relais.
Mes beaux parents fonctionnaient comme ça : ma belle mère punissait et mon beau père, en rentrant du travail le soir, retirait la punition en disant que ce n'était pas grave. Zom aurait une facheuse tendance à faire la même chose. Et je ne suis pas d'accord du tout. Ensuite l'enfant pense que de toute façon, ce n'est pas grave s'il est puni, parce que quand papa rentrera, il pourra faire ce qu'il voudra.
Il faut respecter la decision de l'autre, mais en discuter ensuite si on trouve qu'elle n'est pas méritée ou disproportionnée. Et c'est celui qui a puni qui retire la punition.
Enfin, chez nous, ça marche comme ça. ;)
Ensuite, le rôle du père est essentiel.
Mon père n'était là que pour nous donner des fessées en cas de bétises ou mauvaises notes. Résultat, nous n'avons quasiment pas de dialogue.
J'aurai tendance à pousser zom à s'investir dans la relation père/fils, pour qu'ils aient du plaisir à être ensemble. Rien que de les voir tout les deux, ça me met automatiquement le sourire aux lèvres. :lol: Par contre, quand vraiment Quentin est difficile, je n'hésite pas à appeller zom pour qu'il prenne le relais.