39 ans
Paris
242
C'est possible d'avoir plus d'info?? :?
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Juste pour dire qu'aujourd'hui il y a une page (3/4) d'article sur Julie Envy. Malheureusement, je ne trouve pas l'article sur le net!
;)
;)
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Voici un très petit résumé de l'article, je n'ai aucun don journalistique :
Julie parle d'elle, de son enfance, de ses études à Lyon et explique pourquoi "Envy". : "Un petit peu moi, mais pas tout à fait. Elle porte mon prénom et baptise ma société. Ronde, blonde et disserte, elle porte une chemise blanche sous un pull noir. Sage. Elle ne l'a pas toujours été".
Julie parle de son stage de six mois chez Gaultier. Ce jour là, elle a dû troquer ses vêtements techno pour un look parisien-vite-fait.
Puis de ses stage chez Kenzo, Morgan, Tally Weijl, et Etam (où elle assortissait des sacs à main à des vêtements).
Puis, à Paris, elle débarque au Sentier. Là, elle travaille avec deux femmes rondes, qui ne trouvaient rien à se mettre. C'est à ce moment que lui vient l'idée "d'habiller sexy et gai les filles potelées".
Julie quitte Paris, vient s'installer à Genève et sort son catalogue. Elle a fait ça, toute seule, avec trois employées au jour d'aujourd'hui.
On y apprend que le catalogue Quelle l'a sélectionnée pour deux saisons consécutives. Un page pour l'été, deux pour l'hiver. "C'est une vraie reconnaissance professionnelle".
L'article se termine par un phrase de Julie : "Je reste une fourmi dans le milieu du textile… mais pour une petite marque, je trouve qu'on se démerde bien".
Et nous on lui dit : Merci Julie :P
Source, article de la Tribune de Genève daté du 22 mars 2005.
Julie parle d'elle, de son enfance, de ses études à Lyon et explique pourquoi "Envy". : "Un petit peu moi, mais pas tout à fait. Elle porte mon prénom et baptise ma société. Ronde, blonde et disserte, elle porte une chemise blanche sous un pull noir. Sage. Elle ne l'a pas toujours été".
Julie parle de son stage de six mois chez Gaultier. Ce jour là, elle a dû troquer ses vêtements techno pour un look parisien-vite-fait.
Puis de ses stage chez Kenzo, Morgan, Tally Weijl, et Etam (où elle assortissait des sacs à main à des vêtements).
Puis, à Paris, elle débarque au Sentier. Là, elle travaille avec deux femmes rondes, qui ne trouvaient rien à se mettre. C'est à ce moment que lui vient l'idée "d'habiller sexy et gai les filles potelées".
Julie quitte Paris, vient s'installer à Genève et sort son catalogue. Elle a fait ça, toute seule, avec trois employées au jour d'aujourd'hui.
On y apprend que le catalogue Quelle l'a sélectionnée pour deux saisons consécutives. Un page pour l'été, deux pour l'hiver. "C'est une vraie reconnaissance professionnelle".
L'article se termine par un phrase de Julie : "Je reste une fourmi dans le milieu du textile… mais pour une petite marque, je trouve qu'on se démerde bien".
Et nous on lui dit : Merci Julie :P
Source, article de la Tribune de Genève daté du 22 mars 2005.