Insimination sois même à la maison???

ca a quoi d'etonnant ? c'est svt la methode employée par les homosexuelles pour etre enceinte, la fille "s'introduit la semence" de l'homme qui veut etre pere, avec une seringue.

Ladybuette,


Ta réponse n 'est pas trop gentil ma belle??? Moi ce que je veux c'est avoir des témoignages et non des leçons de morales :oops: :oops:

je ne vois pas en quoi ma reponse est mechante , bref, je me demande ce qui peux bien à ce point t'etonner dans cette methode. tu as vu où une lecon de morale ????

On quoi la reponse de Ladybugette etait un lecon de morale ? :roll:

Elle a raison ..c'est la methode la plus utilisé par les lesbiennes qui desire avoir un enfant mais qui ne veux pas avoir un relation sexuelle avec un homme

C'est aussi utilisé par les couples ou l'homme est sterile ..encore une fois ca evite un relation sexuelle de sa femme avec une autre homme

Et encore pas les femmes seules qui desire d'avoir un enfant mais qui ne veux pas elever un enfant à 2 ou qui n'ont pas de homme dans leur vie (partner)

je pense surtout aux homosexuelles effectivement.

car dans un couple hétérosexuel cela sous entend qu'il ni a pas de problème de fertilité donc ça n'a aucun intérêt!

discogrenouille a écrit:

Bin euh, les couples hétéro aussi peuvent y avoir recour en cas d'infertilité de l'homme...; non? de la même façon, il suffit de demander à une connaissance qui accepte;

Je me pose surtout la question de la "qualité de maintient en vie de spermatozoïdes"; ce genre de méthodse, où finalement on ne sait pas trop comment conserver l'échantillon, si le contact avec tel ou tel matière de substances... ne va pas dégrader leur qualité et être source de plus de risques de malformation ou autre...?

Puisque vous parlez des hommes stériles, moi je me pose surtout la question de la preservation des droits de l'enfant et des parents, quand on fait intervenir un donneur en dehors de toute reglementation.

Mon mari est stérile et jamais au grand jamais nous n'aurions pu recueillir à ce genre de don sauvage, qui n'aurait pas préserver les droits de mon mari à la paternité de l'enfant à naitre. En effet le "donneur" peut à tout moment revendiquer un droit sur son enfant biologique puisqu'il n'a pas renoncer à ses droits parentaux devant un juge (comme c'est le cas pour un don du cecos).

Je ne pense pas que ce soit non plus une bonne chose pour les couples lesbiens, sauf si elles désirent une coparentalité bien sûr.

Quand à l'efficacité de la methode si ovocytes et spermatozoides sont de bonne qualité, c'est ni plus ni moins efficace qu'un rapprot sexuel...le plaisir en moins.

Une insémination, c'est juste mettre du sperme en contact au minimum avec le col utérin.

Dans le cas des IAC et IAD on va plus loin (on fait une insémination intra-utérine) car souvent le sperme est préparé, il y en a moins que dans un rapport sexuel normal, la femme peut avoir des soucis également, donc on aide les spermatos en les déposant le plus loin possible, pour qu'ils aient le moins de chemin à faire et d'obstacles à traverser et qu'ils aient plus de chances d'arriver à bon port.

Mais si une femme sans problème d'infertilité veut un enfant sans relation sexuelle, une seringue de sperme frais suffit tout à fait pour faire une insémination correcte qui a toutes les chances de fonctionner si elle est faite au bon moment. C'est exactement le principe du rapport sexuel, sans le rapport sexuel. :lol:

Mais comme le dit Trisss, sans encadrement légal, ça peut être la porte ouverte à plein de problèmes par la suite, car le "donneur" de la seringue conserve tous ses droits, il est le père biologique de l'enfant et peut un jour le faire valoir.

Bon comme j'ai vu l'émission dont elle parle (toute une histoire: trouble sexuel). La jeune femme avait une contraction du vagin (je me rapel plus du terme médical) ce qui rendait toute pénétration impossible.
Donc elle a eu un enfant avec son homme de cette maniére car la seringue passait, elle était toujours vierge.
Aprés l'accouchement elle a eu la possibilité de faire l'amour car sa maladie était guérie.

Elle souffrait de vaginisme ?

Oui ça peut être une indication à l'insémination, même s'il vaut mieux traiter le trouble plutôt que le contourner. Enfin si ça marché, et que tout va bien pour elle maintenant, c'est l'essentiel ! ;)

Patty a écrit:

Triss, Patty,
Je comprend votre point de vue mais il me semble qu'en France par exemple, les couples homo ne peuvent avoir recours à l'insemination, non ? de même que les célib ? je me plante peut être, je ne connais pas trop le sujet mais si c'est le cas, c'est peut être la seule autre option, non ?
Par contre je me demande "où" trouvent elles le sperme ?

Oui en France les inséminations (dans le cadre d'une PMA) ne sont pas autorisées pour les couples homos (filles évidemment ;) ), ni pour les femmes seules.

Comment elles trouvent le sperme si elles ne veulent absolument pas avoir de relations sexuelles avec un homme ? Elles se rendent dans des pays où la législation n'est pas la même (comme la Belgique par exemple) et qui reconnait ce genre de don.

Ou bien elles font appel à un homme, ami ou pas, qui leur fournit ce qu'il faut. Parfois on peut même en acheter... :?

Il y a aussi des cas où un couple homosexuel hommes fournit du sperme à un couple homosexuel femmes et les 4 "parents" exercent ensemble le rôle de parents.

En effet Patty c'était du vaginisme.

Effectivement, beaucoup de couples lesbiens, ou femmes célibataires, traversent la frontière depuis des années pour aller à bruxelles, barcelone, ou d'autres villes où elles pourront bénéficier d'un don, tout en protégeant légalement leurs futurs droits parentaux. C'est préférable, à l'insémination artisanale où on prend toujours le risque de voir le donneur venir au bout de quelques années réclamer ses droits parentaux sur un enfant qu'il n'a ni voulu ni élevé.

Dans le cadre du vaginisme, je peux comprendre la methode ( ou dans un couple ou les rapports sont impossibles en général), tout comme entre 2 couples homos hommes & femmes, dans le cadre d'un projet de co-parentalité( c'est a dire que le donneur et la receveuse acceptent le partage des droits parentaux sur l'enfant a venir) mais, mis à part à ces cas particuliers, je ne la conseille pas.