Tu m'invente le jour et je t'invente la nuit. Je crains que tes efforts sois vain, tu es pour moi ce que le monde ne sera jamais pour Dieux, tu
es le fruit de la sueur de mon cœur, tu es ma lune qui frétille sans pouvoir dormir, tu es ce qui éblouis ma bouche d'une douce grimace en plein cœur de la jungle. Moi pour toi je compterais les étoiles, une par une et je te les servirais sur un plateau d'argent, immaculé de diamant et de pierre aux mille couleurs, aux mille éclats. Je tracerais un trait de Knoll sous mes yeux, pour éviter qu'ils glissent sur mes joues pour te sauter au coup, cela sera leur barrière. J'imaginerais le plus bel arbre sous le quel tu pourras te protéger du soleil dévastateur, et ou sous mille baiser tu plongeras entre ses racine de velours. De velours rose et or par ce que ton cœur est or et ton est parfum est rose. Je crierais ton nom dans les oreilles du boucher, et il me courira après pour me trancher la gorge, mais moi j'irais me cacher sous tes jupons, et ce boucher devant tant de beauté, se tranchera la gorge et tu boiras son sang. Je te dessinerais une licorne, pour que tu chevauche celle ci, et sous la tempête tout galopera dans l'herbe, envelopper de ta robe Blanche, une licorne rose et or, par ce que ton est or et ton parfum est rose. Et sur cette balançoire je te pousserais aux milieux des tournesols, ils te regarderont emplis d'admiration, t'envoler dans les nuages bleu turquoise, là ou les anges mange de la poussière d'or et des pétales de rose, par ce que ton cœur est or et ton parfum est rose.
Mais qui irait croire qu'une princesse aime une princesse ?