anijo a écrit:
et puis cet enfant , prolongement de son amour , ne va t il pas devenir un substitut a son pere qu'elle ne va pas "laisser" evoluer, "partir"
Comme je l'ai demandé dans une précédente réponse, on ne peut pas savoir à l'avance, mais ce genre de comportement se retrouve chez de nombreuses mères, et pas spécialement dans des cas particuliers comme celui-là... c'est pour ça que je donnais l'exemple du couple homo qui souhaite adopter : on part du principe que l'enfant va manquer de références de l'autre sexe, etc... mais ce n'est pas une généralité (ils sont entourés de personnes des deux sexes), et c'est par ailleurs aussi le cas dans des familles non homo (avec des tribus de femmes, des clans de mecs, ou des pères absents ou invisibles, etc... )...
DOnc pourquoi toujours partir dans le négatif d'emblée ? Pourquoi juger cette femme en lui reprochant tout un tas de trucs sans savoir si c'est effectivement ce besoin de remplacer son homme mort qui la guide ? c'est ce que je n'accepte pas dans cette histoire... qu'on la taxe de plein de choses négatives, malsaine, morbide, etc... et qu'on n'envisage les choses que de la pire des façons... C'est pour cette même raison qu'on ne laisse plus les obèses adopter, et ça provoque pourtant des levées de boucliers...
Donc si on transpose l'affaire au refus d'un couple obèse / homo, vous seriez d'accord pour dire aussi
Citation:Pour moi la justice à pris la bonne décision : on ne "joue" pas avec la vie d'un enfant. Les enfants ne sont pas là juste pour répondre aux besoins / souffrances de leurs parents
? Je sais pas, moi y a un truc qui me gène, apparement y a des exceptions qui sont plus acceptables que d'autres, à vos yeux...