50 ans
albertville
1799
Alors la déclaration de santé vaut pour l'assurance de l'emprunt.
Si je ne me trompe pas, tu dois avoir un questionnaire à remplir te demandant ton poids, ta taille, tes antécédants médicaux. Ils t'expliquent aussi que c'est confidentiel et que c'est le médecin de l'assureur qui en aura l'unique accès. Ils expliquent aussi les risques liés à la fausse déclaration, ce qui encourage généralement à être honnête.
Oui mais voilà, l'honnêteté ne paie pas avec eux puisque si, en surpoids, l'emprunt peut être accepté mais sous réserve d'une surprime, c'est à dire qu'au lieu de payer l'assurance emprunt qu'aurait payé une personne maigre, tu paies plus cher.
Et clairement pour moi c'est de la discrimination. Et je trouve même que ça va à l'encontre du principe même de l'assurance, à savoir de mutualiser les cotisations et les risques, la fameuse notion de solidarité dont les assureurs se font l'écho avec enthousiasme.
Alors ce que je vais te dire est peut-être un mauvais conseil et, au risque de faire sauter au plafond un assureur qui passe par là, je te conseille de mentir sur ton questionnaire, de ne mettre aucun antécédant médical et de mettre un poids un peu plus dans la "norme". Mais cela comporte un risque, celui de, en cas de pépin de santé, ne pas avoir la prise en charge accordée par l'assurance.
Mais comment pourraient ils savoir qu'à 40 ans tu as le même poids que tu avais à 25 ans et donc que avais falsifié les kg mentionnés?
Et la seule fois où une banque m'a demandé de faire une visite médicale (c'est à dire que c'est un médecin qui me pesait, vérifiait mes bilans de sang, etc...) j'ai eu droit à une surcôte de 50%.
Du coup j'ai dit à ma banque que je refusais de prendre leur assureur et que l'opération immobilière (c'était un investissement locatif) se ferait sans eux ou ne se ferait pas (je leur ai dit tel que). Ma banque a fini par céder et me laisser prendre un assureur indépendant de la banque, APRIL pour ne pas les citer, qui m'ont même proposé un tarif plus intéressant que le tarif de base de l'assureur de la banque (c'est à dire avant d'avoir la surprime). Donc tout bénéf.
Bref, on est souvent pris à la gorge par des banquiers qui imposent un peu les choses mais si le dossier est suffisamment solide, il ne faut pas hésiter à ne pas lacher le morceau. l'idéal est d'avoir au moins 2 propositions fermes pour montrer qu'on est prêt à claquer la porte et aller voir ailleurs. En revanche si on est limite, le banquier tiendra bon.
Si je ne me trompe pas, tu dois avoir un questionnaire à remplir te demandant ton poids, ta taille, tes antécédants médicaux. Ils t'expliquent aussi que c'est confidentiel et que c'est le médecin de l'assureur qui en aura l'unique accès. Ils expliquent aussi les risques liés à la fausse déclaration, ce qui encourage généralement à être honnête.
Oui mais voilà, l'honnêteté ne paie pas avec eux puisque si, en surpoids, l'emprunt peut être accepté mais sous réserve d'une surprime, c'est à dire qu'au lieu de payer l'assurance emprunt qu'aurait payé une personne maigre, tu paies plus cher.
Et clairement pour moi c'est de la discrimination. Et je trouve même que ça va à l'encontre du principe même de l'assurance, à savoir de mutualiser les cotisations et les risques, la fameuse notion de solidarité dont les assureurs se font l'écho avec enthousiasme.
Alors ce que je vais te dire est peut-être un mauvais conseil et, au risque de faire sauter au plafond un assureur qui passe par là, je te conseille de mentir sur ton questionnaire, de ne mettre aucun antécédant médical et de mettre un poids un peu plus dans la "norme". Mais cela comporte un risque, celui de, en cas de pépin de santé, ne pas avoir la prise en charge accordée par l'assurance.
Mais comment pourraient ils savoir qu'à 40 ans tu as le même poids que tu avais à 25 ans et donc que avais falsifié les kg mentionnés?
Et la seule fois où une banque m'a demandé de faire une visite médicale (c'est à dire que c'est un médecin qui me pesait, vérifiait mes bilans de sang, etc...) j'ai eu droit à une surcôte de 50%.
Du coup j'ai dit à ma banque que je refusais de prendre leur assureur et que l'opération immobilière (c'était un investissement locatif) se ferait sans eux ou ne se ferait pas (je leur ai dit tel que). Ma banque a fini par céder et me laisser prendre un assureur indépendant de la banque, APRIL pour ne pas les citer, qui m'ont même proposé un tarif plus intéressant que le tarif de base de l'assureur de la banque (c'est à dire avant d'avoir la surprime). Donc tout bénéf.
Bref, on est souvent pris à la gorge par des banquiers qui imposent un peu les choses mais si le dossier est suffisamment solide, il ne faut pas hésiter à ne pas lacher le morceau. l'idéal est d'avoir au moins 2 propositions fermes pour montrer qu'on est prêt à claquer la porte et aller voir ailleurs. En revanche si on est limite, le banquier tiendra bon.