44 ans
Angers
1764
Pour ma part, travailler me fait apprécier les temps de pause. Là, je suis au chômage, le week-end et la semaine, c'est quasiment pareil (quasiment parce que le we, je n'ai pas la culpabilité que je peux ressentir en semaine)
Après, travailler pour moi, ça se résume à faire mes heures, ni plus, ni moins, et une fois la journée finie, elle est vraiment finie (hors de question que je ramène du boulot chez moi). J'évite les trucs à responsabilité tant que je peux. Ça me donne une certaine liberté que je n'ai pas vraiment quand je ne travaille pas (parce que c'est bien beau d'avoir plein de temps libre mais bon.. Si on est coincé chez soi à ne pas pouvoir se faire plaisir, ce n'est pas marrant). Ça me fait me sentir 'normale', comme les autres quoi.
C'est clair qu'après une longue période d'inactivité, ça fait peur de reprendre le boulot, reprendre le rythme, on a peur de ne pas y arriver mais c'est normal finalement..
Après, travailler pour moi, ça se résume à faire mes heures, ni plus, ni moins, et une fois la journée finie, elle est vraiment finie (hors de question que je ramène du boulot chez moi). J'évite les trucs à responsabilité tant que je peux. Ça me donne une certaine liberté que je n'ai pas vraiment quand je ne travaille pas (parce que c'est bien beau d'avoir plein de temps libre mais bon.. Si on est coincé chez soi à ne pas pouvoir se faire plaisir, ce n'est pas marrant). Ça me fait me sentir 'normale', comme les autres quoi.
C'est clair qu'après une longue période d'inactivité, ça fait peur de reprendre le boulot, reprendre le rythme, on a peur de ne pas y arriver mais c'est normal finalement..