45 ans
04
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Toad a écrit:
ce sera plus conforme à l'histoire :p
Bonjour,
Depuis ce matin, j'ai une phrase issue d'une nouvelle qui me tourne dans la tête et ça m'eneeeeeeerve ! Je suis sure que c'est dans un recueil de très bonnes nouvelles, par un auteur catalogué "classique" mais impossible de remettre la main dessus :evil:
Cela se passe au début du 20ème siècle, dans un parc en Autriche. La mère d'un des enfants - on va l'appeler Mme Mustermann pour les besoins du truc - regarde les petits jouer à la guerre avec des faux fusils. Parmi eux, elle ne peut s'empêcher d'en observer un qu'elle connait bien, qu'elle voit régulièrement. Il est petit, chétif, et peu gracieux. Elle le voit se faire régulièrement bousculer par les autres. C'est bien simple : on sent que les autres enfants ne l'aiment pas et elle même, bien que honteuse de cela aussi, elle le trouve laid et se sent gênée par sa présence. Il y a une bagarre ou une bousculade et la mère de cet enfant se précipite sur lui en criant "Adolf, Adolf ! viens ici, ne traîne pas avec ces voyous". Mme Mustermann va discuter un peu avec elle pendant qu'elle remet son fils en état. Je ne sais plus ce qu'elle dit mais il y aune brève seconde où l'enfant s'illumine et devient beau, puis ce sentiment de haine, de colère contre lui revient. La nouvelle se finit par quelque chose comme "Ah ces enfants, des petits bagarreurs, mais il faut bien que jeunesse se passe. Allez, bonne journée, Madame Hitler".
Si vous avez une idée ;)
Depuis ce matin, j'ai une phrase issue d'une nouvelle qui me tourne dans la tête et ça m'eneeeeeeerve ! Je suis sure que c'est dans un recueil de très bonnes nouvelles, par un auteur catalogué "classique" mais impossible de remettre la main dessus :evil:
Cela se passe au début du 20ème siècle, dans un parc en Autriche. La mère d'un des enfants - on va l'appeler Mme Mustermann pour les besoins du truc - regarde les petits jouer à la guerre avec des faux fusils. Parmi eux, elle ne peut s'empêcher d'en observer un qu'elle connait bien, qu'elle voit régulièrement. Il est petit, chétif, et peu gracieux. Elle le voit se faire régulièrement bousculer par les autres. C'est bien simple : on sent que les autres enfants ne l'aiment pas et elle même, bien que honteuse de cela aussi, elle le trouve laid et se sent gênée par sa présence. Il y a une bagarre ou une bousculade et la mère de cet enfant se précipite sur lui en criant "Adolf, Adolf ! viens ici, ne traîne pas avec ces voyous". Mme Mustermann va discuter un peu avec elle pendant qu'elle remet son fils en état. Je ne sais plus ce qu'elle dit mais il y aune brève seconde où l'enfant s'illumine et devient beau, puis ce sentiment de haine, de colère contre lui revient. La nouvelle se finit par quelque chose comme "Ah ces enfants, des petits bagarreurs, mais il faut bien que jeunesse se passe. Allez, bonne journée, Madame Hitler".
Si vous avez une idée ;)
ce sera plus conforme à l'histoire :p