52 ans
Lorraine
4326
je comprends trés bien ce que tu ressens , je vis la meme chose depuis 15 ans.
Le fait de devoir l'aider physiquement alors qu'à priori ce n'est pas mon role, le fait qu'il beneficie de bcp d'attention et moi aucune (je retiens tjrs le coup des gens qui lui tiennent la porte dans les magasins et me la lachent quand c'est à moi de passer...) , la peur de l'avenir tjrs presente. Le fait de n'avoir aucune reconnaissance comme "aidante" de la peur de la societé (c'est lui qui touche l'allocation tierce-personne alors que c'est moi cette tierce...)
Bref, pas facile tout ca , ne culpabilise pas en tout cas , tu as le droit de ressentir tout ca. il faudrait que tu puisses en parler à quelqu'un de pas impliqué, quelqu'un de neutre , car garder tout ca en nous c'est vraiment pas bon , et ca soulage terriblement et ca requinque pour continuer .
J'espere que ton homme sortira vite de l'hopital .
des bizzz de courage
Le fait de devoir l'aider physiquement alors qu'à priori ce n'est pas mon role, le fait qu'il beneficie de bcp d'attention et moi aucune (je retiens tjrs le coup des gens qui lui tiennent la porte dans les magasins et me la lachent quand c'est à moi de passer...) , la peur de l'avenir tjrs presente. Le fait de n'avoir aucune reconnaissance comme "aidante" de la peur de la societé (c'est lui qui touche l'allocation tierce-personne alors que c'est moi cette tierce...)
Bref, pas facile tout ca , ne culpabilise pas en tout cas , tu as le droit de ressentir tout ca. il faudrait que tu puisses en parler à quelqu'un de pas impliqué, quelqu'un de neutre , car garder tout ca en nous c'est vraiment pas bon , et ca soulage terriblement et ca requinque pour continuer .
J'espere que ton homme sortira vite de l'hopital .
des bizzz de courage