J’entend un faible écho
Dans la forêt endormis
une présence dans mon dos
Me fait craindre pour ma vie
Le courage est a mes cotés
Sont visage est crasseux
Ce bâton deviens mon épée
Ses
poing la brise en deux
Son odeur ressemble a l’enfer
Mon souffle est couper
Je lutte mais mes prières
Ne sont pas exaucer
Le réveille est sale
Et ma famille me pleure
Dans cet hôpital
Ou la pitié demeures
Je ne suis plus qu’un fantôme
Avec pour seule armes, la lois
Trainant mes pauvre hématomes
A la poursuite de ma proies
J’imagine des tortures
Que Hitler m’envies
Car mon âme est sur
Meurtrit..