L
Maelle45 a écrit:
Ca leur coûte moins cher parce que moins d'opéré... ça leur coûte moins cher parce que les gens renoncent... ça leur coûte moins cher parce que quoi qu'on en dise, les économies à "court terme" (une opération) valent mieux qu'une économie à "long terme" (diminution des risques de santé). Une personne qui ne fait pas le suivi peut reprendre du poids, certes, mais elle peut aussi ne pas en reprendre (ne généralisons pas) et inversement... une personne qui reprend du poids coûtera de nouveau cher sur le "long terme", mais pire encore, elle peut oser (diantre !) devenir à nouveau cher sur le "court" terme en demandant une conversion. De qui se moque-t-on ? !
L'obèse coûte cher... certes... mais tout est mis en oeuvre pour qu'il coûte le moins cher possible ("ta gueule et bouffe"). D'ailleurs, c'est bien pour ça que les consultations obligatoires, psy et nutritionnistes, sont bizarrement celles qui ont également un taux de remboursement faible si on passe en dehors du circuit hospitalier.
Bref. Peu importe, ce sont des considérations purement politiques, ça n'a pas sa place ici.
Mais bon... c'est bien que l'aspect "santé avant-tout" fonctionne. Ca montre que les stratégies de communication n'ont pas besoin de se renouveler à ce niveau là.
Pour revenir sur la HAS, tu dis que leurs considérations sont surtout pécuniaires. Et on est d'accord, un obèse pèse plus lourd qu'un opéré qui est mince, c'est d'ailleurs pour ça que l'opération est remboursée.
S'ils préconisent un suivi si long, c'est parce que même avec ce suivi, ça leur coûte moins cher. On peut donc imaginer que les personnes qui ne font pas de suivi coûtent plus cher. Pourquoi ? Sûrement parce qu'elles reprennent du poids, et sont de nouveau coûteuses pour la sécu, ou redémarrent un autre parcours pour une autre opération.
S'ils préconisent un suivi si long, c'est parce que même avec ce suivi, ça leur coûte moins cher. On peut donc imaginer que les personnes qui ne font pas de suivi coûtent plus cher. Pourquoi ? Sûrement parce qu'elles reprennent du poids, et sont de nouveau coûteuses pour la sécu, ou redémarrent un autre parcours pour une autre opération.
Ca leur coûte moins cher parce que moins d'opéré... ça leur coûte moins cher parce que les gens renoncent... ça leur coûte moins cher parce que quoi qu'on en dise, les économies à "court terme" (une opération) valent mieux qu'une économie à "long terme" (diminution des risques de santé). Une personne qui ne fait pas le suivi peut reprendre du poids, certes, mais elle peut aussi ne pas en reprendre (ne généralisons pas) et inversement... une personne qui reprend du poids coûtera de nouveau cher sur le "long terme", mais pire encore, elle peut oser (diantre !) devenir à nouveau cher sur le "court" terme en demandant une conversion. De qui se moque-t-on ? !
L'obèse coûte cher... certes... mais tout est mis en oeuvre pour qu'il coûte le moins cher possible ("ta gueule et bouffe"). D'ailleurs, c'est bien pour ça que les consultations obligatoires, psy et nutritionnistes, sont bizarrement celles qui ont également un taux de remboursement faible si on passe en dehors du circuit hospitalier.
Bref. Peu importe, ce sont des considérations purement politiques, ça n'a pas sa place ici.
Mais bon... c'est bien que l'aspect "santé avant-tout" fonctionne. Ca montre que les stratégies de communication n'ont pas besoin de se renouveler à ce niveau là.