60 ans
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Je sais que je vais te paraitre dure. Mais tu es dans le contexte du boulot, tu n'es ni sa psy, ni son assistante sociale, ni même une amie.
Elle a des soucis et tu compatis, c'est tout à ton honneur. Mais dans le cadre du travail, ce genre de choses ne doit pas devenir envahissant. Ce matin vous avez passé "beaucoup de temps" à discuter. Ce n'est pas le lieu pour le faire.
Si tu veux vraiment l'aider, il faut justement que son lieu de travail (puisqu'apparemment ses problèmes ne viennent pas de là) reste un lieu neutre, pas un lieu pour s'épancher et raconter sa vie. C'est l'endroit où elle est là pour autre chose, où elle peut (et doit) penser à autre chose. C'est pour cela qu'elle a fait le choix de revenir travailler au lieu de prendre un arrêt maladie.
Je ne te dis pas de l'envoyer paître bien sûr, mais de n'accorder qu'une attention "raisonnable" à ses propos, c'est à dire pas de parler pendant "beaucoup de temps" de ses problèmes. Il vaut mieux la canaliser sur autre chose, son travail notamment, qui sera une façon pour elle de vivre autre choses que ses problèmes. Ils l'attendent à la sortie, pas la peine de les faire entre au boulot.
Je sais que j'ai l'air dure, amis j'ai déjà expérimenté ça. Tant que nous nous sommes montrés trop compréhensifs, les choses n'ont pas bougé et on s'est retrouvé avec du boulot en plus. Dès que nous avons remis les choses en place (genre on est là, on sait que tu as des soucis, on va t'aider à faire en sorte qu'ici tu arrives à avancer niveau boulot, mais on n'est pas là pour te soigner), on a eu des résultats spectaculaires.
Elle a des soucis et tu compatis, c'est tout à ton honneur. Mais dans le cadre du travail, ce genre de choses ne doit pas devenir envahissant. Ce matin vous avez passé "beaucoup de temps" à discuter. Ce n'est pas le lieu pour le faire.
Si tu veux vraiment l'aider, il faut justement que son lieu de travail (puisqu'apparemment ses problèmes ne viennent pas de là) reste un lieu neutre, pas un lieu pour s'épancher et raconter sa vie. C'est l'endroit où elle est là pour autre chose, où elle peut (et doit) penser à autre chose. C'est pour cela qu'elle a fait le choix de revenir travailler au lieu de prendre un arrêt maladie.
Je ne te dis pas de l'envoyer paître bien sûr, mais de n'accorder qu'une attention "raisonnable" à ses propos, c'est à dire pas de parler pendant "beaucoup de temps" de ses problèmes. Il vaut mieux la canaliser sur autre chose, son travail notamment, qui sera une façon pour elle de vivre autre choses que ses problèmes. Ils l'attendent à la sortie, pas la peine de les faire entre au boulot.
Je sais que j'ai l'air dure, amis j'ai déjà expérimenté ça. Tant que nous nous sommes montrés trop compréhensifs, les choses n'ont pas bougé et on s'est retrouvé avec du boulot en plus. Dès que nous avons remis les choses en place (genre on est là, on sait que tu as des soucis, on va t'aider à faire en sorte qu'ici tu arrives à avancer niveau boulot, mais on n'est pas là pour te soigner), on a eu des résultats spectaculaires.