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Citation: Qui sommes-nous ?
L’Ocha s’intéresse aux relations alimentation, santé, culture, société,
et s’efforce de comprendre le mangeur dans sa globalité.
Nous vous proposons d’en savoir un peu plus…
L'OCHA, 13 ANS D'ETUDES ET DE PUBLICATIONS POUR COMPRENDRE LES MANGEURS
L’Ocha travaille depuis 1992, sous l’égide d’un comité scientifique (voir ci-dessous), à un programme à long terme d’études et de publications dont l’objectif est de déchiffrer la relation que les mangeurs entretiennent avec leur alimentation. Depuis douze ans, l’Ocha s’efforce ainsi de comprendre les mangeurs dans leur globalité et dans leur complexité à travers une approche pluri-disciplinaire privilégiant les sciences humaines et sociales.
Définis dans un contexte de spécialisation croissante des savoirs et des métiers, la vocation et ses travaux de l’Ocha paraissent encore plus pertinents aujourd’hui. La triple finalité de l’alimentation – la santé, le plaisir, le lien social – fait écho au bien-être global, physique, psychologique et social que l’OMS donne comme définition de la santé. L’harmonie en quelque sorte … Ces trois volets peuvent faire l’objet de tensions et apparaître parfois contradictoires.
Pourtant, si le lien est évident entre les comportements alimentaires et la biologie des mangeurs, l’importance des comportements alimentaires comme vecteur majeur de la relation des individus à leur environnement commence à être reconnue. Et, depuis quelques années, dialogue entre nutrition et sciences humaines et sociales est engagé et perçu comme d’autant plus nécessaire du fait que nous vivons aujourd’hui une période de transition alimentaire.
Les mangeurs d’aujourd’hui gardent en effet du mangeur éternel cette relation, plus intime avec les aliments qu’avec tout autre objet, qui est la conséquence de l’incorporation. En même temps, dans les pays occidentaux, ils sont confrontés à l’abondance et à l’innovation et donc à la nécessité de choisir. Ainsi, déchiffrer la relation des mangeurs à leur alimentation, c’est découvrir ce qu’il y a chez l’être humain de plus essentiel et de plus permanent en interaction avec les mutations de son environnement.
