49 ans
Exactement à côté de sous le soleil...
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Et bien... Je chercherai d'autres sources.
On dit qu'il était "facile" de rejeter ses propres responsabilités sur les firmes. Que ce soit le tabac, l'alcool, l'agro alimentaire...
Pourtant en effet, ces firmes n'admettent qu'à demi mot, et de manière forcée, que leurs produits sont nocifs et/ou qu'ils peuvent entraîner des dépendances chez certains consommateurs. Seulement, il est utopique d'imaginer un monde dans lequel tout ce qui pourrait s'avérer néfaste et dont la consommation serait un danger potentiel serait éradiquer (plus d'alcool, de tabac, de nourriture déséquilibrée...).
On sait de nos jours que l’industrie du tabac fait en sorte de rendre ses produits additifs en enrichissant leur composition de produits conçus à cet effet. On sait que l’alcool, s’il n’est pas raisonnablement consommé, mène à une dépendance (l’alcoolisme). On sait aussi que la nourriture peut être une dépendance, mais ce n’est pas, comme l’alcool ou le tabac un effet physique (ou physiologique) remarquable, c’est une dépendance purement psychologique.
Est-ce que l’abondance de nourriture riche, grasse, sucrée peut entraîner une sur consommation, oui. Est-ce que cette sur consommation peut-être qualifiée de trouble alimentaire, oui, aussi.
Donc, dans l’absolu, on pourrait en conclure que la responsabilité des maux et des dépendances provoquées par les produits échoient aux seules firmes.
Dans un pays comme les Etats-Unis, ou il ne semble pas que l’information sur la nutrition soit très répandue, c’est en effet un cas particulier. Et c’est le gouvernement qui devrait faire pression sur les lobby agro alimentaires afin d’informer les consommateurs des risques de la malbouffe. Seulement, le trafic d’influence est permis aux Etats-Unis. Et ces mêmes firmes qui engraissent les américains, financent les campagnes des hommes politiques…
Si les consommateurs ne sont pas tenus informés des méfaits de la malbouffe, ils devraient pouvoir se retourner contre quelqu’un lorsque leur santé est mise en danger. Mais alors, contre le gouvernement, plutôt, puisque c’est lui qui ne prend pas ses responsabilités de santé publique…
En France, l’information existe. Il y a même des campagnes de « santé publique ». Donc, pour les français, le facteur « responsabilité individuelle » est bien plus important. On consomme en sachant ce à quoi on s’expose. On ne pourrait donc pas se retourner aussi « facilement » contre les firmes. Par contre, on peut reprocher au gouvernement de ne pas traiter ce sujet de santé publique dans son entier en négligeant une part importante à traiter des causes de l’obésité.
On dit qu'il était "facile" de rejeter ses propres responsabilités sur les firmes. Que ce soit le tabac, l'alcool, l'agro alimentaire...
Pourtant en effet, ces firmes n'admettent qu'à demi mot, et de manière forcée, que leurs produits sont nocifs et/ou qu'ils peuvent entraîner des dépendances chez certains consommateurs. Seulement, il est utopique d'imaginer un monde dans lequel tout ce qui pourrait s'avérer néfaste et dont la consommation serait un danger potentiel serait éradiquer (plus d'alcool, de tabac, de nourriture déséquilibrée...).
On sait de nos jours que l’industrie du tabac fait en sorte de rendre ses produits additifs en enrichissant leur composition de produits conçus à cet effet. On sait que l’alcool, s’il n’est pas raisonnablement consommé, mène à une dépendance (l’alcoolisme). On sait aussi que la nourriture peut être une dépendance, mais ce n’est pas, comme l’alcool ou le tabac un effet physique (ou physiologique) remarquable, c’est une dépendance purement psychologique.
Est-ce que l’abondance de nourriture riche, grasse, sucrée peut entraîner une sur consommation, oui. Est-ce que cette sur consommation peut-être qualifiée de trouble alimentaire, oui, aussi.
Donc, dans l’absolu, on pourrait en conclure que la responsabilité des maux et des dépendances provoquées par les produits échoient aux seules firmes.
Dans un pays comme les Etats-Unis, ou il ne semble pas que l’information sur la nutrition soit très répandue, c’est en effet un cas particulier. Et c’est le gouvernement qui devrait faire pression sur les lobby agro alimentaires afin d’informer les consommateurs des risques de la malbouffe. Seulement, le trafic d’influence est permis aux Etats-Unis. Et ces mêmes firmes qui engraissent les américains, financent les campagnes des hommes politiques…
Si les consommateurs ne sont pas tenus informés des méfaits de la malbouffe, ils devraient pouvoir se retourner contre quelqu’un lorsque leur santé est mise en danger. Mais alors, contre le gouvernement, plutôt, puisque c’est lui qui ne prend pas ses responsabilités de santé publique…
En France, l’information existe. Il y a même des campagnes de « santé publique ». Donc, pour les français, le facteur « responsabilité individuelle » est bien plus important. On consomme en sachant ce à quoi on s’expose. On ne pourrait donc pas se retourner aussi « facilement » contre les firmes. Par contre, on peut reprocher au gouvernement de ne pas traiter ce sujet de santé publique dans son entier en négligeant une part importante à traiter des causes de l’obésité.