41 ans
Bruxelles
7458
J'ai été déçue par le reportage. La question des antidépresseurs étant largement noyées sous les problèmes causés par les tranquillisants et benzodiazépines, le profane ne pouvait, selon moi, pas faire la part des choses.
Quand ils parlaient de se retrouver "comme un zombie" ou des problèmes de passage à l'acte (violence et cie), il ne s'agissait que des effets possibles d'une mauvaise utilisation des benzodiazépines. Bref, ils ont allègrement fait une bouillasse sur les psychotropes en général. Je m'attendais à plus de rigueur de leur part mais il est vrai qu'on aurait perdu le côté dramatique de la chose.
En ce qui concerne les antidépresseurs en eux-mêmes, ils n'ont soulevé que le problème de prescription abusive et d'éventuelle addiction. Problème bien réel mais nettement moins impressionnant si abordé seul.
Par contre, le reportage sur la rilatine m'a beaucoup plu! C'est également un sujet que je connaissais bien.
Quand ils parlaient de se retrouver "comme un zombie" ou des problèmes de passage à l'acte (violence et cie), il ne s'agissait que des effets possibles d'une mauvaise utilisation des benzodiazépines. Bref, ils ont allègrement fait une bouillasse sur les psychotropes en général. Je m'attendais à plus de rigueur de leur part mais il est vrai qu'on aurait perdu le côté dramatique de la chose.
En ce qui concerne les antidépresseurs en eux-mêmes, ils n'ont soulevé que le problème de prescription abusive et d'éventuelle addiction. Problème bien réel mais nettement moins impressionnant si abordé seul.
Par contre, le reportage sur la rilatine m'a beaucoup plu! C'est également un sujet que je connaissais bien.