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Pour voir l'article complet (en anglais ben vi ^^' )...
En fait, cet article parle du fait qu'il n'y a pas seulement des études qui prétendent
En fait, cet article parle du fait qu'il n'y a pas seulement des études qui prétendent
qu'en présentant un surplus de poids, on est forcément en mauvaise santé...
"Un nombre croissant d'historiens et de spécialistes des cultures étudiants la 'ronditude' soutiennent que cette obsession est moins basée sur la science que la moralité.".
On apprend, tout au long de l'article, comment les gens voyaient l'obésité de manière différente au cours de l'histoire. Comment, à une époque, le fait d'être bien en chair constituait une preuve de bonne santé...
On y apprend aussi que Paul Campos, professeur en loi à l'Université du Colorado soutient que l'obésité est utilisé comme un outil de discrimination, citant les inquiétantes similarités avec le mouvement eugénique, qui était en faveur d'une "amélioration" de l'espèce.
Il dit aussi que contrairement à tout ce que l'on peut entendre, le poids n'est pas un bon indicateur de bonne santé. Qu'en fait, une personne plus ronde mais modérément active a plus de chance d'être en bonne santé que quelqu'un plus svelte mais sédentaire.Pour confirmer son argument, il cite quelques études, comme celle publiée par l'institut Cooper, un centre de recherche privé de Dallas.
La plupart des experts médicaux parlent des dangers de la 'ronditude', mais Mr Campos n'est pas d'accord. Il écrit qu'il n'y a pas de preuves suffisantes qu'une perte de poids à long terme soit bénéfique pour la santé alors que celles-ci sont très nombreuses concernant les dangers de la reprise de poids après un régime (reprise ayant lieu pour la plupart de ceux ayant fait un régime).
On y apprend toujours que Mr Stearns dit que l'emphase sur la ligne fine des femmes n'est pas étonnante, qu'au même moment les femmes étaient pressées de perdre du poids, l'idéal de la maternité était sur le déclin and les femmes étaient pour la première fois eb droit d'exprimer un appétit sexuel. Il écrit que la diète est une manière, une fois de plus, d'exprimer la vertu et le contrôle de soi, et ce, même dans un climat sexuel changeant.
Et même s'il y a beaucoup de causes à l'obésité - la nourriture moins chère, du marketing plus aggressif, de plus grandes portions dans les restaurants et, bien sûr, l'augmentation d'habitudes sédentaires - Mr Stearns soutient que la prise de poids est toujours vu comme un problème moral, un signe que l'on est paresseux, que l'on manque de contrôle de soi.
Il note aussi que les français ont eu plus de succès dans la perte de poids que les américains, en partie, dit-il, parce que la perte de poids est basée sur l'esthétique en france, et non la moralité.
"Un nombre croissant d'historiens et de spécialistes des cultures étudiants la 'ronditude' soutiennent que cette obsession est moins basée sur la science que la moralité.".
On apprend, tout au long de l'article, comment les gens voyaient l'obésité de manière différente au cours de l'histoire. Comment, à une époque, le fait d'être bien en chair constituait une preuve de bonne santé...
On y apprend aussi que Paul Campos, professeur en loi à l'Université du Colorado soutient que l'obésité est utilisé comme un outil de discrimination, citant les inquiétantes similarités avec le mouvement eugénique, qui était en faveur d'une "amélioration" de l'espèce.
Il dit aussi que contrairement à tout ce que l'on peut entendre, le poids n'est pas un bon indicateur de bonne santé. Qu'en fait, une personne plus ronde mais modérément active a plus de chance d'être en bonne santé que quelqu'un plus svelte mais sédentaire.Pour confirmer son argument, il cite quelques études, comme celle publiée par l'institut Cooper, un centre de recherche privé de Dallas.
La plupart des experts médicaux parlent des dangers de la 'ronditude', mais Mr Campos n'est pas d'accord. Il écrit qu'il n'y a pas de preuves suffisantes qu'une perte de poids à long terme soit bénéfique pour la santé alors que celles-ci sont très nombreuses concernant les dangers de la reprise de poids après un régime (reprise ayant lieu pour la plupart de ceux ayant fait un régime).
On y apprend toujours que Mr Stearns dit que l'emphase sur la ligne fine des femmes n'est pas étonnante, qu'au même moment les femmes étaient pressées de perdre du poids, l'idéal de la maternité était sur le déclin and les femmes étaient pour la première fois eb droit d'exprimer un appétit sexuel. Il écrit que la diète est une manière, une fois de plus, d'exprimer la vertu et le contrôle de soi, et ce, même dans un climat sexuel changeant.
Et même s'il y a beaucoup de causes à l'obésité - la nourriture moins chère, du marketing plus aggressif, de plus grandes portions dans les restaurants et, bien sûr, l'augmentation d'habitudes sédentaires - Mr Stearns soutient que la prise de poids est toujours vu comme un problème moral, un signe que l'on est paresseux, que l'on manque de contrôle de soi.
Il note aussi que les français ont eu plus de succès dans la perte de poids que les américains, en partie, dit-il, parce que la perte de poids est basée sur l'esthétique en france, et non la moralité.