S
Je n'ai pas le temps de développer là car je dois partir..
Mais ça ne m'étonne pas.
Spitz avait développé la notion dhospitalisme que l'on retrouvait chez des enfants séparés de leurs parents et qui ne recevaient pas d'amour en plus des soins nécessaires (dans les orphelinats roumains entre autres à l'époque)
Ces enfant s'enfonçaient dans la dépression et se laissaient mourir, régressant dans leurs acquisitions psychomotrices.
L'enfant (et l'humain en général) a besoin de contact, de relation, d'amour, etc...
On peut retrouver l'hospitalisme de nos jours chez des enfants hospitalisés de longs mois, avec des parents absents. Heureusement, on a de quoi combattre ça de nos jours (hopitaux ouverts aux parents, aides financières, clowns à l'hopital, etc... )
bref, un peu décousu, je reviendrais en parler + longuement + tard ;)
Mais ça ne m'étonne pas.
Spitz avait développé la notion dhospitalisme que l'on retrouvait chez des enfants séparés de leurs parents et qui ne recevaient pas d'amour en plus des soins nécessaires (dans les orphelinats roumains entre autres à l'époque)
Ces enfant s'enfonçaient dans la dépression et se laissaient mourir, régressant dans leurs acquisitions psychomotrices.
L'enfant (et l'humain en général) a besoin de contact, de relation, d'amour, etc...
On peut retrouver l'hospitalisme de nos jours chez des enfants hospitalisés de longs mois, avec des parents absents. Heureusement, on a de quoi combattre ça de nos jours (hopitaux ouverts aux parents, aides financières, clowns à l'hopital, etc... )
bref, un peu décousu, je reviendrais en parler + longuement + tard ;)