Je suis sidérée par les taux de mortalité de ces techniques. Bon sang une morte sur 100 opérées pour la dérivation, 1 sur 200 pour le by-pass, c'est hallucinant !
J'avais, comme beaucoup de nous je présume, étudié la question à une époque. Quand j'ai réalisé que j'y perdrais ma liberté j'ai renoncé. C'était comme m'inoculer volontairement une maladie pour moi. Je me suis dit qu'il devait y avoir d'autres moyens, mais que même s'il n'y en avait pas, cela ne valait pas le coup de me rendre fragile juste pour éviter quelques regards et rêver d'enfin ne plus être invisible pour l'homme idéal.