41 ans
Bruxelles
7458
L'étourdissement ne garantit pas une mort sans souffrance. Outre la souffrance psychologique, l'étourdissement ne réussit pas toujours et, comme les abattages ont lieu à la chaîne, on ne s'y reprend pas à 2 fois. Seulement voilà, la pauvre bête a encore plus peur et se débat. Là, on l'égorge à moitié, la laissant agoniser plus loin sur la chaîne, au milieu de 2 de ses congénères mortes (si elles ont eu plus de chance).
Il n'existe pas de façon acceptable de tuer (l'euthanasie d'une personne souffrante sans rémission possible étant la seule exception que je vois à cette affirmation).
Après, en ce qui concerne le bio, disons que ça profite surtout au consommateur (meilleure qualité, absence de métaux lourds et d'antibiotiques). Les animaux vivent parfois (parce que "bio" ne signifie pas forcément "éthique") mieux mais leur sort reste le même. D'ailleurs, on ne les bichonne qu'en cas de nécessité pour la qualité du produit (là je repense à un reportage sur le reblochon au lait cru pour lequel les éleveurs étaient obligés de prendre soin des pis des vaches parce qu'ils ne pouvaient pas se permettre d'avoir du pus dans le lait; imaginez ce qu'il en est pour les autres fromages).
A part en allant l'acheter directement chez un éleveur en ayant le droit d'aller voir partout, je ne vois pas comment garantir que la viande consommée a autrefois été un animal à peu près bien traité de son vivant.
Ceci dit, je suis toujours ravie quand une prise de conscience se fait. Il y a un temps pour tout et se poser des questions est le premier pas vers un monde meilleur (c'que j'suis naïve).
Il n'existe pas de façon acceptable de tuer (l'euthanasie d'une personne souffrante sans rémission possible étant la seule exception que je vois à cette affirmation).
Après, en ce qui concerne le bio, disons que ça profite surtout au consommateur (meilleure qualité, absence de métaux lourds et d'antibiotiques). Les animaux vivent parfois (parce que "bio" ne signifie pas forcément "éthique") mieux mais leur sort reste le même. D'ailleurs, on ne les bichonne qu'en cas de nécessité pour la qualité du produit (là je repense à un reportage sur le reblochon au lait cru pour lequel les éleveurs étaient obligés de prendre soin des pis des vaches parce qu'ils ne pouvaient pas se permettre d'avoir du pus dans le lait; imaginez ce qu'il en est pour les autres fromages).
A part en allant l'acheter directement chez un éleveur en ayant le droit d'aller voir partout, je ne vois pas comment garantir que la viande consommée a autrefois été un animal à peu près bien traité de son vivant.
Ceci dit, je suis toujours ravie quand une prise de conscience se fait. Il y a un temps pour tout et se poser des questions est le premier pas vers un monde meilleur (c'que j'suis naïve).