G
Bonsoir les filles,
J'ai 26 ans, et j'ai eu moi-même quelques démêlés avec les médecins agréés... pour le permis de conduire (c'est une très longue histoire).
Pour info, je fais
J'ai 26 ans, et j'ai eu moi-même quelques démêlés avec les médecins agréés... pour le permis de conduire (c'est une très longue histoire).
Pour info, je fais
partie des personnes qui doivent passer une visite médicale pour le permis (maladie chronique/handicap, pour simplifier au max).
Disons que les médecins agréés n'ont pas été tendres avec moi parce qu'avec mon 1,52m pour 42kg, ils ont (lourdement) insisté, sans jamais en démordre, sur une espèce de suspicion d'anorexie mentale. En réalité, ils ont sorti cette anorexie mentale du chapeau puisque aucun médecin qui me suit n'a l'ombre d'une suspicion de trouble alimentaire (au contraire, je me fais complimenter pour mon côté gourmette qui a une relation on ne peut plus normale avec la bouffe).
Or, d'après les dires de ma généraliste, un trouble alimentaire est un schéma de pensée, non un poids. Donc, quelqu'un qui passe ne serait-ce que 20 minutes avec moi (durée d'une visite médicale du permis de conduire) et est un tant soit peu futé comprend que les troubles alimentaires est une catégorie de diagnostic qui ne colle pas avec moi.
Pour ces médecins agréés, je "fais semblant" d'avoir une relation normale avec la nourriture. Je ne sais pas d'où ils sortent ce genre d'idée, mais je ne suis qu'à moitié étonnée de ce genre d'âneries venant du corps médical (ma généraliste grimpe aux rideaux quand elle entend ça).
Certains se croient autorisés à jouer au bon Dieu, malgré leur doctorat (leur diplôme ne les immunise pas contre les pires bêtises à ce que j'ai pu voir depuis que je suis suivie, à savoir l'enfance. J'ai 26 ans, soit dit en passant...).
Je me demande donc si vous avez eu à faire à des médecins agréés qui ont des réflexions au mieux étranges, au pire destructrices.
J'entends par "médecins agréés" les médecins auxquels on a à faire en visite médicale pour le permis de conduire et les médecins agréés par l'ARS.
On peut élargir la discussion aux médecins du travail, médecins de prévention pour les fonctionnaires, médecins universitaires....
Pourrait-on développer des stratégies pour répondre à leurs bêtises ?
J'ai une petite collection de répliques, même si elles ne concernent pas la grossophobie (je n'ai pas été confrontée à la grossophobie).
Merchi les filles
Disons que les médecins agréés n'ont pas été tendres avec moi parce qu'avec mon 1,52m pour 42kg, ils ont (lourdement) insisté, sans jamais en démordre, sur une espèce de suspicion d'anorexie mentale. En réalité, ils ont sorti cette anorexie mentale du chapeau puisque aucun médecin qui me suit n'a l'ombre d'une suspicion de trouble alimentaire (au contraire, je me fais complimenter pour mon côté gourmette qui a une relation on ne peut plus normale avec la bouffe).
Or, d'après les dires de ma généraliste, un trouble alimentaire est un schéma de pensée, non un poids. Donc, quelqu'un qui passe ne serait-ce que 20 minutes avec moi (durée d'une visite médicale du permis de conduire) et est un tant soit peu futé comprend que les troubles alimentaires est une catégorie de diagnostic qui ne colle pas avec moi.
Pour ces médecins agréés, je "fais semblant" d'avoir une relation normale avec la nourriture. Je ne sais pas d'où ils sortent ce genre d'idée, mais je ne suis qu'à moitié étonnée de ce genre d'âneries venant du corps médical (ma généraliste grimpe aux rideaux quand elle entend ça).
Certains se croient autorisés à jouer au bon Dieu, malgré leur doctorat (leur diplôme ne les immunise pas contre les pires bêtises à ce que j'ai pu voir depuis que je suis suivie, à savoir l'enfance. J'ai 26 ans, soit dit en passant...).
Je me demande donc si vous avez eu à faire à des médecins agréés qui ont des réflexions au mieux étranges, au pire destructrices.
J'entends par "médecins agréés" les médecins auxquels on a à faire en visite médicale pour le permis de conduire et les médecins agréés par l'ARS.
On peut élargir la discussion aux médecins du travail, médecins de prévention pour les fonctionnaires, médecins universitaires....
Pourrait-on développer des stratégies pour répondre à leurs bêtises ?
J'ai une petite collection de répliques, même si elles ne concernent pas la grossophobie (je n'ai pas été confrontée à la grossophobie).
Merchi les filles