Plus jeune, du CE1 au CM2, j'ai été dans une école privé.
J'en garde un excellent souvenir, même quand il fallait réciter la prière le matin, même s'il y avait la croix du christ dans chaque salle de classe.

Il faudrait que je demande à ma mère, mais de mémoire, elle n'était pas très cher cette école ( moins de 200 francs il me semble), elle avait excellente réputation, on avait une salle informatique avec 10 ordinateurs (vous imaginez le truc en 98 ), et les classes n'étaient pas beaucoup bondées (ça variait entre 18 et 25 élèves). Il faut dire aussi qu'on était dans un petit village, ça y contribuait peut-être aussi ?
L'école publique était juste en face de l'école privé.

Si on était resté en Bretagne, je serais allée au collège privé qui avait aussi bonne réputation.


Par contre, dans le département où je suis actuellement, c'est plutôt le privé qui a mauvaise réputation. Comme quoi c'est vraiment variable d'un lieu à l'autre

Au collège où j'ai quand meme inscrite ma fille,pour la prochaine rentrée scolaire il y a toujours 100% de réussite donc un point positif pour ces études
Comme je l'avais mis sur un autre post, je vis dans un village, les enfants mentalité de leurs parents, ma fille n'a personne.
la meilleure, à cause de ma fille,mais bien sur, une du village a de mauvaises notes

leur mentalité

ma fille a la peau mate et les cheveux comme Rhyanna

Seraphie a écrit :on avait une salle informatique avec 10 ordinateurs (vous imaginez le truc en 98 ), et les classes n'étaient pas beaucoup bondées (ça variait entre 18 et 25 élèves). Il faut dire aussi qu'on était dans un petit village, ça y contribuait peut-être aussi ?

En 98, il ne devait pas rester beaucoup d'écoles ne disposant pas de salle informatique, si ?

J'ai été dans le privé jusqu'en 1ere, puis je suis passée au public. En primaire et au collège, des classes peu chargées, une discipline plus strictes que dans le public, des instits super et des profs plus ou moins bien (comme dans le public, quoi !).
Puis au lycée (un lycée de bourges où en plus je n'étais vraiment pas à l'aise), des profs ayant raté de nombreuses fois le CAPES ou étant encore en train de passer leur licence (ça ne se fait plus aujourd'hui heureusement). Mes parents m'avaient mis là car c'était le seul lycée de la région à faire italien en 2nde langue... sauf qu'en réalité, le cours était commun avec les "3ème langue" ! Au final, mes parents m'ont remise après deux années catastrophiques dans le lycée public proche de chez moi, mais avec mauvaise réputation... mais dans lequel j'ai retrouvé des repères...

trashrap a écrit :

Seraphie a écrit :on avait une salle informatique avec 10 ordinateurs (vous imaginez le truc en 98 ), et les classes n'étaient pas beaucoup bondées (ça variait entre 18 et 25 élèves). Il faut dire aussi qu'on était dans un petit village, ça y contribuait peut-être aussi ?

En 98, il ne devait pas rester beaucoup d'écoles ne disposant pas de salle informatique, si ?

Ah ben, en 2013, je peux t'en trouver à la pelle des écoles sans salle informatique.