Il pique dans les placard, sais plus quoi faire !

Suite à un trauma de l'enfance, j'ai grossi d'un coup en faisant pareil et ce qui a fonctionné chez moi : ma mère qui me dit que même si je devenais très ronde elle m'aimera toujours autant mais qu'elle est triste car elle sait que je ne me sens pas bien comme ça (plus ses tonnes de bisous)
Donc se sentir autant aimée sans drame ça n'a pas de prix .
Du coup même si ça l'énervait dans le fond; limite elle me "re"proposait comme les autres sans différence et ça m'a aidé qu'on ne considère pas la nourriture comme un problème.

En revanche les remarques des enfants frère et soeur, ça ça détruit pas mal mais ce sont des enfants donc bon. Ou quand un autre proche adulte s'est permis de me retirer la sauce devant eux en leur autorisant, ça a fini de m'achever sur le coup. Et petit à petit ça s'est calmé tout seul même si je gardais mon surpoids mais 5-8kilos de plus... Un peu plus emballée ensuite mais ça va je pense.

Je trouve que ce que tu fais Blueberry c'est génial parce que plus on montre à l'enfant qu'il n'y aucun problème avec la nourriture et se resservir et plus c'est simple.

2 Bonnes claques et c'est fini !!

kilani a écrit:
Dans ta face? Si seulement ça faisait taire les cons dans ton style ça se saurait...mais même pas... monde cruel.
Ah mais c'est vrai c'est encore les vacances non?
Allez vas jouer ailleurs stp, ça fera du bien à tout le monde.

kilani a écrit:

Qu'est ce qui est fini? sa joie de vie? je veux bien le croire !


2 claques :shock: :shock: :shock: Au mieux il sera en colère, au pire suicidaire de voir que ce monde est horrible avec des personnes pensant comme toi :roll:

Non seulement il n'aura pas résolu son problème mais en plus il est maltraité !! superbe conseil !
:evil: :evil: :evil: :evil:

kilani a écrit:

2 claques c'est tout ?
Nan, le plus simple ça reste quand même de lui couper les 2 bras. C'est connu d'ailleurs : pas de bras, pas de chocolat.

Bon la faut que j'aille taper mon fils, il a encore fait une faute d'orthographe à sa dictée de ce matin et après je m'occupe de ma fille qui n'a pas encore rangé sa chambre ('tain, il est où le martinet clouté ?) :drinking:

Ou l'enfermer à clef dans un placard, c'est moins violent.
(C'est un troll kilani non ?)

Skela a écrit:

espérons, sinon c'est qu'il manque quelques neurones à force de se prendre des baffes

:roll: je viens à peine de voir le post "1er Regles"

A part ça je suis contente, il s'est calmé. Je pense qu'en venant parler ici avec vous ça a fait retomber la pression chez moi et du coup, chez lui aussi.

Enfin ça s'est arrangé pour la nourriture mais par contre il met le bazar à l'école. La maitresse craque. Mais là pour le coup la psy a réussi à me donner des conseil. J'espère que ça va marcher.

En tout cas merci d'avoir échangé avec moi sur ce sujet.

Bonne semaine ;)

L'avantage pour l'école est que tu n'est pas seule pour gérer ça.

Sauf que la maitresse craque complétement ...

Bon, contente de voir que ça s'arrange un peu côté perso :)
Pour le reste, je pose peut être une question bête, mais tu n'as jamais pensé à l'internat? Peut être que ça le recadrerait un peu et que ça faciliterait les relations avec tout le monde?
Bon après je sais que certains parents sont très contre l'internat mais c'est juste une piste comme ça...

7 ans, c'est un peu jeune pour l'internat. Surtout que pour un enfant qui a besoin qu'on lui prouve son amour, je ne suis pas convaincue que ce soit l'idéal.

trashrap a écrit:

Je ne me rends pas trop compte, n'ayant pas d'enfants, et n'ayant pas été en internat... ma maman y est allée très jeune (vers 5 ans) et en a gardé de très bons souvenirs... Et puis souvent ceux que j'ai côtoyé et qui étaient en internat m'ont dit que les relations avec les parents étaient bcp plus cool quand ils les retrouvaient le week-end, qu'ils avaient l'impression de partager plus de choses...bon après là c'était plus tard en effet...

Nenufar a écrit:

J'ai été à l'internat au lycée. Je n'en garde pas spécialement un mauvais ou un bon souvenir, mais je n'avais pas de meilleures relations avec mes parents pendant cette période (je dirais même : au contraire !).