38 ans
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Je plussoie Saralou.
Pourquoi les mamans angoissent-t-elles tant sur le poids ? Est-ce que notre vécu de "ronde" nous sensibilise plus sur la question ? Les enfants changent tellement... Le frère de mon homme était énorme bébé, ses parents l'appelait le gros. Il s'est affiné avec l'âge, et s'est calé sur le modèle familial : grand et mince. Le tout sans angoisse. Chez eux, le rapport à la nourriture et au corps est hyper sain, tu sens que ce genre de préoccupations ne les effleure même pas.
Evidemment, je ne peux pas m'empêcher de me demander comment sera notre fils, entre son père "tige" et sa mère en surpoids. Mais il me semble que le surpoids n'est pas forcément dans ma nature (pas d'antécédents d'obésité), et qu'il est lié à une alimentation mal maîtrisée depuis l'enfance (hyperphagie devenue "familiale", malbouffe).
Et c'est ce dernier point qui me semble capital : Zermati explique qu'à la base que les gens sont programmés pour être plus ou moins fins (ou plus ou moins épais). Après, je crois qu'il faut simplement laisser faire les choses, tout en aidant l'enfant à se construire un rapport sain à la nourriture et son corps.
Le maigre peut être stigmatisé autant que le gros, surtout chez les garçons. D'où, je crois, l'importance de leur donner les outils pour avoir confiance en eux car, de toute façon, personne n'est dans la norme (et est-il souhaitable d'être "dans la norme" au final ?)
Désolée pour le pavé !
Pourquoi les mamans angoissent-t-elles tant sur le poids ? Est-ce que notre vécu de "ronde" nous sensibilise plus sur la question ? Les enfants changent tellement... Le frère de mon homme était énorme bébé, ses parents l'appelait le gros. Il s'est affiné avec l'âge, et s'est calé sur le modèle familial : grand et mince. Le tout sans angoisse. Chez eux, le rapport à la nourriture et au corps est hyper sain, tu sens que ce genre de préoccupations ne les effleure même pas.
Evidemment, je ne peux pas m'empêcher de me demander comment sera notre fils, entre son père "tige" et sa mère en surpoids. Mais il me semble que le surpoids n'est pas forcément dans ma nature (pas d'antécédents d'obésité), et qu'il est lié à une alimentation mal maîtrisée depuis l'enfance (hyperphagie devenue "familiale", malbouffe).
Et c'est ce dernier point qui me semble capital : Zermati explique qu'à la base que les gens sont programmés pour être plus ou moins fins (ou plus ou moins épais). Après, je crois qu'il faut simplement laisser faire les choses, tout en aidant l'enfant à se construire un rapport sain à la nourriture et son corps.
Le maigre peut être stigmatisé autant que le gros, surtout chez les garçons. D'où, je crois, l'importance de leur donner les outils pour avoir confiance en eux car, de toute façon, personne n'est dans la norme (et est-il souhaitable d'être "dans la norme" au final ?)
Désolée pour le pavé !