Salut à toutes !
Tout d'abord félicitations aux futures mamans :p
Je me permets de venir m'ajouter à la discution pour raconter ici mon petit bout de chemin, car en ce moment pour cela et pour d'autres raisons c'est assez dur psychologiquement donc besoin de parler à des personnes qui peuvent comprendre la douleur et l'attente que cela peut représenter de vouloir un enfant...
Je n'ai pas d'ami à qui en parler et dans la famille hormis les "alors ça vient ?"....
J'ai 24 ans et nous commençons à dépasser les un an d’essai (ce fameux cap…) pour un premier bébé, j'ai des cycles très réguliers (sauf ce jour-ci avec deux jours d'avance mais c'est la première fois, peut-être dû à mon premier mois sous Clomid).
J'ai eu une première fausse couche en Janvier, et une seconde en Mai, à la seconde on m'a prescrit Duphaston, et j'ai commencé le Clomid en premier cycle pour mon cycle qui vient de se terminer, j'ai bien, bien senti le travail de l'ovulation pour le coup :p j'ai toujours assez bien sentie mon ovulation mais LA ça m'a donné un point de côté assez fort pendant deux jours.
J'ai toujours des règles ultra douloureuses, j'ai été sous pilule de 13 à 22 ans pour cela. Sinon voilà je ne sais que dire de plus, l'attente est très dure, chaque mois ça me déprime sur le coup, et j'essaye de me remotiver. Je ne suis certainement pas la seule ici à psychoter pour un rien, même au bout de plus d'un an (on apprend pas la leçon :silly: )
Heureusement il y a mon mari, qui est en plus est scientifique donc comprend le corps de la femme (ce qui aide énormément dans les périodes de « crise » comme les fortes douleurs pendant les vilaines ou pendant les fausses couche à me tenir la main face à une douleur autant physique que psychologique), et il a aussi une envie très forte de paternité depuis tout jeune, donc il compati à ma tristesse à chaque arrivée des vilaines !
Je vous envoie toutes mes pensées à celles qui sont en essais depuis un bon moment, je sais qu'un an ce n’est pas non plus très long quand on compare à des couples qui en sont à compter les années ou qui font face à l'infertilité, mais en ce moment j'ai du mal à regarder chez le voisin, d'autant plus avec les deux fausses couches.