C'est surtout qu'elle (l'EN) est sur ce coup d'une mauvaise foi...
Parce que quand j'ai postulé à l'époque, déjà il y avait un malentendu sur primaire et secondaire. Je pige que ça va être pour du primaire et donc je vois de fait le souci "AVS-EVS".
Je pose des questions précises et on me répond que c'est lors de l'entretien que j'aurais mes réponses. J'insiste. Néant. Que dalle.
A l'entretien, un des mecs me demande pour quel poste je suis là...
Je dégaine l'offre en pointant bien "secrétaire".
Ils essaient de me "vendre" (c'est comme ça que je l'ai perçu) de l'AVS. J'explique que oui mais non. Je motive ma réponse.
Je repars avec le sentiment qu'ils ont compris, mais que du coup je vais dire bye au poste.
Ils m'appellent et me disent que c'est OK. Je remets une couche :
- secrétaire, on est bien d'accord ?
- oui m'dame
Entre temps je découvre aussi qu'ils ont pris ma mobilité au pied de la lettre, mais bon (cf ce que je disais plus haut).
Mais l'expérience me dit que je vais me faire avoir et je repasse des coups de fil, demande un délai de réflexion, suis "menacée" de perdre le poste (2 fois).
Et je finis par accepter d'aller signer le contrat vu que c'était la seule façon de savoir jusqu'à quel point j'allais me faire avoir.
Le moins qu'on puisse dire c'est que je n'ai pas été déçue... La secrétaire n'en revenait pas que je ne signe pas. Sauf que j'aime pas être prise pour un lapin de 6 semaines...
Pour le coup Reinette, je sais bien que à toutes les strates de la fonction publique, EN ou pas, Etat, hospitalière et FPT, on trouve des cas étranges (notamment au niveau des contrats). Vu le contexte crise + chômage + pouvoir d'achat, ils savent que de toute façon "1 de perdu, 10 de retrouvés".