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Questions autour de l'entretien d'embauche

115 ans 2413
Euh, en me relisant je réalise qu'on pourrait croire que je présume que Orfees est enceinte, or non, je pose juste une comparaison en terme d'arrêt et de "lachage" plus  
ou moins apprécié par les employeurs.
36 ans 1064
Merci les filles.

Bon, je me dis "comment gâcher sa vie avec des hypothèses", parce qu'en fait, ce n'est que ça. Mais pour le moment ça me bouffe, donc je partage !

Non, je ne suis pas enceinte Grrrrrognonne mais je vois bien l'idée de ton parallèle. Et oui, vu la structure, si il me font une "mauvaise pub" ça peut avoir des conséquences assez largement !! Après comme tu le dis, ce n'est pas le monde des Bisounours, mais ...je crois que je me sentirais trop coupable.

Au final, je me rends compte, avant toute chose, qu'il faudrait déjà que j'arrête de penser que mon "super projet :? " n'est pas une erreur. Et ça, en fait c'est pas gagné. Mais on dérive du sujet.
En fait, je bout (du verbe bouillir, que je ne sais apparemment pas conjuguer :-k :lol: ) d'avoir ce sentiment d'être coincé par la situation, vu que je ne trouve pas de boulot avant mai, et que je ne projette absolument pas après les quelques mois de ré-éduc. .
Je crois que j'aurais du intituler le poste "santé et boulot" plutôt, mais bon tant pis !!
115 ans 2413
Quand j'ai programmé ma 1er inter de chir réparatrice, il devait y en avoir 2 espacées de 6 mois.
J'avais un taf, et quelques soucis pro, tellement que j'avais encore plus hâte de ces opé.

Et puis suite à la 1ere, j'ai eu un arrêt de travail, et mon chef a commencé (continué en fait) à me harceler. Il m'appelait pour me demander ma démission.
Je passe les détails mais du coup, de 1 mois d'arrêt post chir, me suis retrouvée en arrêt par le généraliste, puis le médecin du travail (une perle çui-là) pour harcèlement moral (des fois que je voudrais porter plainte). Ca a duré dans les 4 mois.

Bref, chapitre suivant, j'ai été licenciée (ouf paradoxal) à 3 semaines de la 2ème opé.
Donc à ce moment là, chir des seins, pas d'arrêt de travail, ça tombait bien et mal puisque en phase inscription ANPE donc totale dispo, mais en post chir et impossible de prendre un taf "manuel".

Suite à quoi j'ai enchainé les opé et des galères familiales.
Je me disais, bon, cherche pas du taf maintenant tu rentres à l'hosto dans 1 mois.
Mais les réalités du monde du travail me sont vite revenues comme un boomerang.
Alors je cherchais, je trouvais ou pas, mais quand j'en trouvais, des CDD hein, ben je prenais, si l'inter était dans plus d'un mois.
ET parfois aussi j'ai pas fait valoir d'arrêt post op pour prendre un taf pas trop fatiguant (avec accord de mon chir).

Bref, ce racontage de live pour dire que chaque situation est particulière et aussi fonction de la conjoncture du moment. 8)
On passe par plein de sentiments pas tous sympas dans ces situations.

Alors oui, si ça peut te griller profesionnellement, fait gaffe (j'en sais un rayon).
36 ans 1064
Excusez moi pour mon message précédent, bourré de faute (que j'aurais pu éviter, d'autre pas!) et pas clair du tout (qui résume bien mon état d'esprit du moment. En bordel ... :crazyeyes:


Grrr, c'est rassurant (et pas réjouissant) de voir qu'on est pas toute seule à ce trouver dans des situations inconfortables, même si on le sait très vaguement.

Je suis un peu dans le cas que ça:
Citation:
... ça tombait bien et mal puisque en phase inscription ANPE donc totale dispo, mais en post chir et impossible de prendre un taf "manuel".


Dans le sens où, j'ai du temps, je suis dispo, mais que je ne peux pas m'engager dans un boulot de plus de quelques semaines, et pas n'importe lequel. Et forcément pas loin de chez moi, pour éviter de partir à l'autre bout de la France, ce qui ne serait pas tenable financièrement. Tous ça, réduit nettement les offres disponible, si on enlève aussi celles pour lesquelles je n'ai strictement aucune compétences. Et pourtant ce n'est pas l'envie qui manque de bosser (pour les finances aussi !)

D'un autre côté, il y à aussi, le fait qu'une fois l'opération passé, je pourrais (si tous ce passe bien, croisons fort les doigts) je pourrais continuer à travailler dans ce qui me passionne, autrement, et bien plus proche de ce que je veux vraiment faire, moyennant le passage d'un concours, et donc un poste de "transition". Je me demande si ça ne me fait pas un peu peur. Oui, c'est profondément débile comme sentiment, mais c'est une piste pas idiote.
Désolée, je m'éloigne fortement du sujet de base.
36 ans 1064
Pour clore un chapitre de ce post (mais si d'autre en on besoins il est là !!), je n'ai plus de questions à me poser puisque que je n'ai pas été retenue pour le poste. Et comme il n'est pas évident de trouver un poste pour un petit mois...je crois que je suis un peu obliger d'attendre sagement fin mai...
B I U