551
Se sentir si mal à vouloir s'en arracher le coeur, se sentir perdue dans les méandres d'un inconscient trop difficile à garder secret, se sentir prisonnière de sa tête et de son corps, prisonnière toujours quoi qu'on fasse.
J'ai coupé court, laissant derrière moi qui j’étais, mon passé, mes racines, ma vie, mes souffrances pour bâtir ce nouveau moi, ce vrai moi pas celui qu'on modèle, pas celui qu'on attend. Et pourtant ce mal de vivre est toujours là. Chaque seconde qui passe me rapproche inexorablement de la fin et me rappelle chaque douleur, chaque doute, chaque abysse où je retombe quand je perds le contrôle.
Serais je un jour guérie ? Mes démons cesseront ils un jour de me tourmenter ?
Je me raccroche a de fols espoirs, illusions éphémères d'un bonheur qui me fuit, d'un amour illusoire auquel je m'accroche pour ne pas sombrer.
Chaque jour je te retrouve, chaque jour je te parle, chaque jour je te vis toi l'espoir d'une vie que je souhaiterai réelle. Et pourtant au fond de moi je sais qu'il n'en est rien que tout cela est tellement fou que je me demande parfois comment l'on peut y croire.
Tu es celle que j'attendais, tu es celle qui me sauve, celle qui m’éclaire telle un ange descendu du paradis pour me tirer des flammes d'un enfer que j'ai moi même attisé.
Les doutes m'assaillent, en proie à mes désillusions, à la douleur, une douleur si forte que je ne sais comment te la décrire et tu es là, tu la sens, tu la devines et moi je n'arrive pas à te le dire.
Qu'attends tu donc de moi ? et moi qu'est ce que j'attends de moi même ?
Ne t'en fais pas je me bats, je me battrais encore, pour toi, pour moi, pour nous, pour cette vie dont je rêve.
Je ne lacherai pas, je t'ai promis, mais pardonnes moi si parfois je défaille, si parfois je ne sais pas comment te dire ce qui me ronge, ca n'est pas pour te faire du mal, pas par manque de confiance en toi, juste que parfois la douleur et la peine sont si grandes que même les mots ne sont pas à la mesure .
Tu me manques mon bel ange, n'oublies jamais que où que tu sois, où que je sois, je pense à toi .
J'ai coupé court, laissant derrière moi qui j’étais, mon passé, mes racines, ma vie, mes souffrances pour bâtir ce nouveau moi, ce vrai moi pas celui qu'on modèle, pas celui qu'on attend. Et pourtant ce mal de vivre est toujours là. Chaque seconde qui passe me rapproche inexorablement de la fin et me rappelle chaque douleur, chaque doute, chaque abysse où je retombe quand je perds le contrôle.
Serais je un jour guérie ? Mes démons cesseront ils un jour de me tourmenter ?
Je me raccroche a de fols espoirs, illusions éphémères d'un bonheur qui me fuit, d'un amour illusoire auquel je m'accroche pour ne pas sombrer.
Chaque jour je te retrouve, chaque jour je te parle, chaque jour je te vis toi l'espoir d'une vie que je souhaiterai réelle. Et pourtant au fond de moi je sais qu'il n'en est rien que tout cela est tellement fou que je me demande parfois comment l'on peut y croire.
Tu es celle que j'attendais, tu es celle qui me sauve, celle qui m’éclaire telle un ange descendu du paradis pour me tirer des flammes d'un enfer que j'ai moi même attisé.
Les doutes m'assaillent, en proie à mes désillusions, à la douleur, une douleur si forte que je ne sais comment te la décrire et tu es là, tu la sens, tu la devines et moi je n'arrive pas à te le dire.
Qu'attends tu donc de moi ? et moi qu'est ce que j'attends de moi même ?
Ne t'en fais pas je me bats, je me battrais encore, pour toi, pour moi, pour nous, pour cette vie dont je rêve.
Je ne lacherai pas, je t'ai promis, mais pardonnes moi si parfois je défaille, si parfois je ne sais pas comment te dire ce qui me ronge, ca n'est pas pour te faire du mal, pas par manque de confiance en toi, juste que parfois la douleur et la peine sont si grandes que même les mots ne sont pas à la mesure .
Tu me manques mon bel ange, n'oublies jamais que où que tu sois, où que je sois, je pense à toi .