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Bonjour à tous,
Je suis un homme à peu près bien dans sa tête maintenant (il y a toujours quelques doutes). Il n'en a pas toujours été ainsi. Il y a
Je suis un homme à peu près bien dans sa tête maintenant (il y a toujours quelques doutes). Il n'en a pas toujours été ainsi. Il y a
encore quelques années, j'étais un chasseur. Un de ces dragueurs du net, un prédateur qui courait derrière n'importe quelle paire de fesses, pourvu qu'elle dépasse le 42.
J'ai toujours été attiré par les femmes au physique pulpeux. Gros seins, gros cul, ventre moelleux, petits bourrelets typiquement féminins...depuis que je me suis éveillé à la sexualité, les rondeurs m'ont toujours attiré.
Il y a une quinzaine d'années environ, j'ai fait la connaissance de sites "spécialisés".
D'abord en Belgique, via Rondinet (RIP) qui m'a également permis de découvrir le monde du libertinage,ensuite sur Pulpeclub.
J'ai tâté de ronde et jolie, mais étant plus localisé sur la France, les contacts étaient moins faciles.
Pour ceux qui s'en souviennent, les premiers sites de rondes étaient très ouverts, et la nouveauté du phénomène faisait que les contacts se nouaient très vite.
Alors oui, j''en ai vu défiler dans mon lit, des belles. Un nombre conséquent. Et dans ma tête, c'était clair : je ne cherchais que du cul. Je me présentais dailleurs en tant quel. A ce niveau , j'ai la conscience tranquille.
Là où se situait mon erreur, c'est que je louvoyais entre la relation amicale/câline et le plan cul. De façon plus ou moins consciente, j'entretenais le flou entre les 2; j'avais remarqué que la plupart des femmes préfèrent qu'on leur mente en leur montant un roman à l'eau de rose plutôt que d'affronter la vérité et d'en profiter sans se poser de questions.
Ne dites pas non, mesdames, vous savez de quoi je parle. La plupart du temps, vous préférez relier une coucherie d'un soir à de pseudos-sentiments, même sans aucune base concrète, plutôt que d'assumer que vous avez couché avec un homme simplement parce qu'il vous plaisait physiquement, sans en espérer quoi que ce soit.Bref, j'ai passé quelques années bien remplies, à explorer les moindres recoins des dames qui partageaient mon édredon.
Aujourd'hui, avec le recul, je me dis que j'aurais sans doute mieux fait d'explorer leur psyché, plutôt que leurs orifices. En étais-je seulement capable? Je ne pense pas. Tellement obsédé par la nécessité de me rassurer: en tant que chasseur, en tant qu'amant, en tant que séducteur...c'était en vérité surtout mes propres doutes que je refusais d'affronter.
Tellement peur qu'on ne puisse pas s'attacher à moi que je faisais tout pour provoquer les départs. Histoire après de dire que les femmes étaient stupides, parce qu'elles lâchaient la proie pour l'ombre.
Aujourd'hui, à 40 ans bien sonnés, je n'ai plus rien ME prouver.
Je resterai amateur de femmes rondes, probablement libertin également, si plus tellement dans les faits, au moins dans l'esprit. Mais ma période de chasse à courre est derrière moi, et c'est très bien ainsi.
J'ai toujours été attiré par les femmes au physique pulpeux. Gros seins, gros cul, ventre moelleux, petits bourrelets typiquement féminins...depuis que je me suis éveillé à la sexualité, les rondeurs m'ont toujours attiré.
Il y a une quinzaine d'années environ, j'ai fait la connaissance de sites "spécialisés".
D'abord en Belgique, via Rondinet (RIP) qui m'a également permis de découvrir le monde du libertinage,ensuite sur Pulpeclub.
J'ai tâté de ronde et jolie, mais étant plus localisé sur la France, les contacts étaient moins faciles.
Pour ceux qui s'en souviennent, les premiers sites de rondes étaient très ouverts, et la nouveauté du phénomène faisait que les contacts se nouaient très vite.
Alors oui, j''en ai vu défiler dans mon lit, des belles. Un nombre conséquent. Et dans ma tête, c'était clair : je ne cherchais que du cul. Je me présentais dailleurs en tant quel. A ce niveau , j'ai la conscience tranquille.
Là où se situait mon erreur, c'est que je louvoyais entre la relation amicale/câline et le plan cul. De façon plus ou moins consciente, j'entretenais le flou entre les 2; j'avais remarqué que la plupart des femmes préfèrent qu'on leur mente en leur montant un roman à l'eau de rose plutôt que d'affronter la vérité et d'en profiter sans se poser de questions.
Ne dites pas non, mesdames, vous savez de quoi je parle. La plupart du temps, vous préférez relier une coucherie d'un soir à de pseudos-sentiments, même sans aucune base concrète, plutôt que d'assumer que vous avez couché avec un homme simplement parce qu'il vous plaisait physiquement, sans en espérer quoi que ce soit.Bref, j'ai passé quelques années bien remplies, à explorer les moindres recoins des dames qui partageaient mon édredon.
Aujourd'hui, avec le recul, je me dis que j'aurais sans doute mieux fait d'explorer leur psyché, plutôt que leurs orifices. En étais-je seulement capable? Je ne pense pas. Tellement obsédé par la nécessité de me rassurer: en tant que chasseur, en tant qu'amant, en tant que séducteur...c'était en vérité surtout mes propres doutes que je refusais d'affronter.
Tellement peur qu'on ne puisse pas s'attacher à moi que je faisais tout pour provoquer les départs. Histoire après de dire que les femmes étaient stupides, parce qu'elles lâchaient la proie pour l'ombre.
Aujourd'hui, à 40 ans bien sonnés, je n'ai plus rien ME prouver.
Je resterai amateur de femmes rondes, probablement libertin également, si plus tellement dans les faits, au moins dans l'esprit. Mais ma période de chasse à courre est derrière moi, et c'est très bien ainsi.