J'ai remplacé une instit, un mi temps, sur 6 mois, et j'ai connu la période de Noël, et effectivement ça fait plaisir :D
J'ai eu des chocolats, et un superbe centre de table fait main, par la mamie d'un des élèves (ancienne instit) qui accompagnait souvent en sortie.
Pas besoin de grand chose, ni de dépenser des fortunes, juste une carte, qqs fleurs ou qqs chocolats... et ben oui, ça fait plaisir, et je ne me sentais aucunement achetée, ou obligée de changer ma façon d'être avec l'enfant en question. Je n'en voulais pas non plus à l'enfant, parce qu'il ne m'avait rien donné! Si qq'un veut faire qq chose, ça doit être spontanée, venir du coeur...et aucunement être assimilé à une obligation...sinon il n'y a plus aucun plaisir, d'un côté comme de l'autre! Et je le répète ce n'est pas une obligation, et n'influence aucunement le rapport entre l'enseignant et l'élève!
;)
HS on
Sinon, pour revenir à la polémique sur le sujet instit/prof des écoles :lol:
Je comprends l'envie d'affirmer ce nouveau statut, on en ch** tellement pour y arriver....! Les années d'études, le concours de plus en plus dur, le peu de reconnaissance du métier.(comme c'est le cas pour bcq d'autres professions d'ailleurs...), le nombre de fois où j'entends "oh ben de ttes façons, vous passez votre temps en vacances, vous faites des mini journées, et puis "garder" des enfants...c'est pas bien compliqué :evil: Venez, venez essayer une semaine, avec une 30aine d'élèves...vous m'en direz des nouvelles :lol: Sans compter qu'on fait un peu plus que les garder.... :roll:
Enfin bref, je crois qu'il y a derrière ce "problème" d'appellation, un besoin de reconnaissance....
HS of