38 ans
abonnée absente
829
Pas encore vue mais ça ne saurait tarder tant cette expo me tente!! :)
Et merci pour le résumé la miss ;)
Et merci pour le résumé la miss ;)
38 ans
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Expo au musée de Cluny
(source : musée de cluny)
Vous l'avez vu ?
VOus comptez y aller ?
Sinon, tant pis, je ferai mon résume quand même :D :lol:
"18 octobre
(source : musée de cluny)
Vous l'avez vu ?
VOus comptez y aller ?
Sinon, tant pis, je ferai mon résume quand même :D :lol:
"18 octobre
2006 - 15 janvier 2007
Organisée par la Réunion des musées nationaux et le musée national du Moyen Âge - thermes et hôtel de Cluny grâce au soutien de la Fondation d'entreprise Gaz de France et en partenariat média avec La Vie et France Bleu Ile-de-France.
Commissaire de l'exposition : Sophie Lagabrielle, conservateur en chef au musée
Le musée national du Moyen Âge possède la plus riche collection de vitraux en France (230 panneaux, médaillons ou fragments de vitraux, couvrant une période du XIIe jusqu'au début du XVIe siècle). De 2000 à la fin de l'année 2004, grâce au soutien de la Fondation d'entreprise Gaz de France, cette collection a bénéficié d'une exceptionnelle campagne de restauration dont cette exposition marque l'aboutissement.
L'art du vitrail apparaît probablement dès le VIe siècle, il est présent à l'époque carolingienne. Mais c'est au XIIe siècle, avec le développement de l'architecture gothique, que le vitrail connaît un véritable essor. Pendant quatre siècles, il occupera une place privilégiée dans l'art.
La mise en oeuvre du vitrail revient au peintre-verrier. Il détient un savoir-faire particulier : après avoir découpé les morceaux de verre, il les peignait et les assemblait en recherchant les plus belles harmonies de couleurs. Pour les figures et les motifs, il s'inspirait d'enluminures, de peintures ou de gravures d'artistes de son temps.
L'exposition, à laquelle se sont associées de grandes institutions françaises et étrangères, s'attache à montrer les liens étroits qui existent entre les peintres-verriers et les enlumineurs, dessinateurs, graveurs, du XIIe au XVIe siècle.
Son parcours comprend trois parties :
- XIIe - XIVe siècle. Vitraux et enluminures d'origine prestigieuse (roi, princes haut clergé lié à la couronne)
Les vitraux des XIIe - XIVe siècles conservés dans les collections du musée sont le reflet d'un milieu artistique de très haute qualité, celui de la cour du comte de Champagne à la fin du XIIe siècle, celui du roi et de son entourage au XIIIe siècle et au début du XIVe (abbaye de Gercy, château royal de Rouen, chapelle de Saint-Denis).
- XVe siècle . Vitraux et interprétation des modèles enluminés puis gravés
Les panneaux du XVe siècle présentés proviennent de deux grandes régions où s'épanouit l'art du vitrail : la Normandie, où prévalut l'influence des enluminures parisiennes, et l'Alsace, terre d'élection des graveurs.
- Fin du XVe - début du XVIe siècle. Les rondels : multiplication des modèles et production en série
L'art du vitrail ne pénètre que tardivement les salles les plus riches demeures nobles ou bourgeoises. L'exposition présente des rondels : taillés dans une seule pièce de verre, ces petits médaillons délicatement peints en jaune d'argent s'inspirent des dessins des Pays-Bas du sud, des gravures allemandes et vers 1500, de livres imprimés. Ils répondent au goût d'une clientèle nouvelle.
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Organisée par la Réunion des musées nationaux et le musée national du Moyen Âge - thermes et hôtel de Cluny grâce au soutien de la Fondation d'entreprise Gaz de France et en partenariat média avec La Vie et France Bleu Ile-de-France.
Commissaire de l'exposition : Sophie Lagabrielle, conservateur en chef au musée
Le musée national du Moyen Âge possède la plus riche collection de vitraux en France (230 panneaux, médaillons ou fragments de vitraux, couvrant une période du XIIe jusqu'au début du XVIe siècle). De 2000 à la fin de l'année 2004, grâce au soutien de la Fondation d'entreprise Gaz de France, cette collection a bénéficié d'une exceptionnelle campagne de restauration dont cette exposition marque l'aboutissement.
L'art du vitrail apparaît probablement dès le VIe siècle, il est présent à l'époque carolingienne. Mais c'est au XIIe siècle, avec le développement de l'architecture gothique, que le vitrail connaît un véritable essor. Pendant quatre siècles, il occupera une place privilégiée dans l'art.
La mise en oeuvre du vitrail revient au peintre-verrier. Il détient un savoir-faire particulier : après avoir découpé les morceaux de verre, il les peignait et les assemblait en recherchant les plus belles harmonies de couleurs. Pour les figures et les motifs, il s'inspirait d'enluminures, de peintures ou de gravures d'artistes de son temps.
L'exposition, à laquelle se sont associées de grandes institutions françaises et étrangères, s'attache à montrer les liens étroits qui existent entre les peintres-verriers et les enlumineurs, dessinateurs, graveurs, du XIIe au XVIe siècle.
Son parcours comprend trois parties :
- XIIe - XIVe siècle. Vitraux et enluminures d'origine prestigieuse (roi, princes haut clergé lié à la couronne)
Les vitraux des XIIe - XIVe siècles conservés dans les collections du musée sont le reflet d'un milieu artistique de très haute qualité, celui de la cour du comte de Champagne à la fin du XIIe siècle, celui du roi et de son entourage au XIIIe siècle et au début du XIVe (abbaye de Gercy, château royal de Rouen, chapelle de Saint-Denis).
- XVe siècle . Vitraux et interprétation des modèles enluminés puis gravés
Les panneaux du XVe siècle présentés proviennent de deux grandes régions où s'épanouit l'art du vitrail : la Normandie, où prévalut l'influence des enluminures parisiennes, et l'Alsace, terre d'élection des graveurs.
- Fin du XVe - début du XVIe siècle. Les rondels : multiplication des modèles et production en série
L'art du vitrail ne pénètre que tardivement les salles les plus riches demeures nobles ou bourgeoises. L'exposition présente des rondels : taillés dans une seule pièce de verre, ces petits médaillons délicatement peints en jaune d'argent s'inspirent des dessins des Pays-Bas du sud, des gravures allemandes et vers 1500, de livres imprimés. Ils répondent au goût d'une clientèle nouvelle.
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