M
Coucou
Merci beaucoup le monde, vos réponses m'aident bien et je rassure celles qui avaient peur d'être trop directe : ce qui se comprend bien s'énonce clairement (ou un truc comme ça) :)
J'en ai parlé avec mon mari, nous en avons reparlé à trois au téléphone, et nous referons le tour du problème ce W.E.
J'ai l'impression qu'elle avait surtout besoin qu'on la rassure sur le fait de nous savoir fâchés ou non si elle abandonne.
Et maintenant que je la sens rassurée sur ce point, j'espère réussir à la convaincre de continuer au moins jusqu'à Pâques..... (et plus si affinités??)
Ce n'est pas la formation qui ne lui plaît pas, au contraire, c'est ce qu'elle a toujours voulu faire, c'est le SCOLAIRE en général. C'est difficile à expliquer mais quand on la connaît on comprend ce qu'elle veut dire. Elle est très individualiste, le reconnaît, se dit souvent : faut que je change et me dit aussi souvent : mince, pourquoi c'est moi qui changerait....
Je pense qu'il y a un problème bien plus profond que l'école et le plus difficile va être de le faire ressortir et lui faire admettre.
En attendant, il y a quand même le côté matériel de la chose à ne pas négliger même si ça fait un peu terre-à-terre, j'y pense quand même car côté administratif, je sens que c'est moi qui vais m'y coller.
Et pour terminer, une réponse à Coffexe :
Non, ce n'est pas dur d'être parents de jeunes adultes. Il paraît qu'on dit : petits enfants, petits soucis, grands enfants, grands soucis.
Pour ma part, ce genre de souci me prouve que mon mari et moi n'avons pas passé 19 ans à causer dans le vide puisque notre fille aînée nous fait assez confiance pour nous parler de ses doutes et de ses galères.
Une autre à Oarystis : tu as donné en plein dans le mille, mais t'inquiètes pas pour l'enrobage, j'ai ce qu'il faut si besoin :)
Je vous bizz et à + si suite il y a.
Merci beaucoup le monde, vos réponses m'aident bien et je rassure celles qui avaient peur d'être trop directe : ce qui se comprend bien s'énonce clairement (ou un truc comme ça) :)
J'en ai parlé avec mon mari, nous en avons reparlé à trois au téléphone, et nous referons le tour du problème ce W.E.
J'ai l'impression qu'elle avait surtout besoin qu'on la rassure sur le fait de nous savoir fâchés ou non si elle abandonne.
Et maintenant que je la sens rassurée sur ce point, j'espère réussir à la convaincre de continuer au moins jusqu'à Pâques..... (et plus si affinités??)
Ce n'est pas la formation qui ne lui plaît pas, au contraire, c'est ce qu'elle a toujours voulu faire, c'est le SCOLAIRE en général. C'est difficile à expliquer mais quand on la connaît on comprend ce qu'elle veut dire. Elle est très individualiste, le reconnaît, se dit souvent : faut que je change et me dit aussi souvent : mince, pourquoi c'est moi qui changerait....
Je pense qu'il y a un problème bien plus profond que l'école et le plus difficile va être de le faire ressortir et lui faire admettre.
En attendant, il y a quand même le côté matériel de la chose à ne pas négliger même si ça fait un peu terre-à-terre, j'y pense quand même car côté administratif, je sens que c'est moi qui vais m'y coller.
Et pour terminer, une réponse à Coffexe :
Non, ce n'est pas dur d'être parents de jeunes adultes. Il paraît qu'on dit : petits enfants, petits soucis, grands enfants, grands soucis.
Pour ma part, ce genre de souci me prouve que mon mari et moi n'avons pas passé 19 ans à causer dans le vide puisque notre fille aînée nous fait assez confiance pour nous parler de ses doutes et de ses galères.
Une autre à Oarystis : tu as donné en plein dans le mille, mais t'inquiètes pas pour l'enrobage, j'ai ce qu'il faut si besoin :)
Je vous bizz et à + si suite il y a.