45 ans
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Je suis la reine des rêves bizarres, hehe, parce que non seulement je réve, mais en plus, je me souviens aprés, hihi.
Par contre, c'est amusant parce que dans tes rêves, il y a un début et une fin, moi souvent, je suis catapultée dedans, et il n'y a pas vraiment de début ni de fin.
J'étais enceinte, et j'étais dans un paysage desertique, une sorte de terre/sable rouge par terre (genre paysages d'Arizona, etc). Le ciel était dans des tons terre de sienne/gris, un temps orageux. Il y avait des vieilles barrières en bois, une sorte de patio (un toit, deux murs en coin, et des poutrelles en bois), et j'étais suspendue par les pieds et les mains à une des poutrelles parce qu'un taureau noir immense tournait autour du patio avec les narines fumantes, et que je savais que si je descendais de là il tenterait de m'encorner.
Mais ça va, j'étais cool, c'était pas super confortable avec mon gros bidon, mais j'avais pas trop trop peur.
Et puis je sais pas comment j'ai fait, j'ai accouché dans cette position d'un bébé grimaçant qui était vert pomme, sans douleur, mais en descendant parfois de la poutrelle quand le taureau s'éloignait, en remontant quand il revenait, etc.
Aprés, me suis réveillée.
j'ai révé aussi que j'étais dans mon ancien collège/lycée, (3 étages de longs couloirs). Y'avait des gens qui se baladaient, je poussais un caddie de supermarché (et pas facile dans les escaliers entre étages), et il fallait constamment avancer et bouger parce qu'il y avait une "chose" qui était avec nous dans le batiment et qui parfois choppait les gens et on entendait des hurlements atroces parfois.
Et je papotais avec un de mes ex, tranquilou, on avançait et on flirtait à moitié tout en se cachant et en évitant les autres gens et la chose.
Un autre rêve qui m'a beaucoup marquée: je n'étais pas réllement physiquement un personnage dans le rêve. Il y avait une équipe de police, d'enquéteurs, type "les experts", des scientifiques. On était dans une forêt de bambous, dans laquelle on nous avait signalé une bête étrange. Une des enquétrices était une femme, et j'avais l'impression qu'elle était un peu moi. On était tous armés, et on avançait doucement dans la forêt, il y avait de plus en plus comme un sentier se dessinant par terre, qu'on suivait. et puis on a entendu comme des petits bruits bizarres. On s'est avancés, et là, il y avait comme une sorte de "terrier", d'igloo à moitié enterré à moitié recouvert de feuilles et paille formant un petit dôme. La terre était retournée, bien marron et humide limite rouge devant l'entrée, et il y avait plein de petits os, de déchets de saletés par terre. Je me suis baissée, pendant que les autres montaient la garde pour regarder dedans, et là, assis sur les ossements, il y avait un gros bébé jouflu, tout nu, rose presque blanc, sans cheveux. Pour moi, c'était un enfant de 3 ou 4 ans, mais il avait l'air incapable de tenir sur ses jambes, il était trés potelé, obése, et en état de choc: il avait les yeux grands ouverts, sans me voir, les larmes coulaient doucement de ses yeux, et il murmurait tout bas. C'était une petite fille. Je me suis penchée complétement pour la prendre dans mes bras, en lui disant "ça va Agnés, c'est fini, voila, ne pleure plus, Agnesita, ma puce, on va te sortir de là", et la gamine avait l'air terrifiée et reticente à venir avec moi et disait d'une petite voie plaintive mais claire "non, maman ne va pas être contente, j'avais dit à papa de ne pas facher maman, mais il ne m'a pas écoutée, et là, maman ne va pas être contente que je parte, maman m'aime, elle ne va pas être contente, elle va se facher trés fort, et j'ai peur quand maman se fache", etc, etc. La gamine parlait plus ou moins dans le vide. ça puait le fauve, une odeur prenant à la gorge dans cette hutte, et il y avait des os rongés et des restes de viande, de petits animaux sur le monticule où était assis le bébé. Il y avait aussi des morceaux de vêtements, des déchets type sac de macdo hyper sales et déchirés, vieux papiers.
Et puis j'avais peur, on ne savait pas avec le reste de l'équipe où était la bête. le bébé parlait, et de ce que je comprenais, apparemment, elle croyait que la "bête" qu'on recherchait était sa mère. Et apparemment, il y avait eu un homme vivant avec le bébé dans la hutte, un homme blessé à la jambe. Sauf que cet homme avait essayé de s'échapper, n'avait pas perdu l'esprit comme le bébé, et que la bête en avait eu marre et l'avait tué et dévoré en partie.
Et là, ça devenait évident que les disparitions qu'on avait eu dans les environs étaient l'oeuvre de cette bête: des enfants jusqu'à 50km de là, qui avaient disparus alors que jouant dans leur jardin tous seuls, des personnes agées attendant à l'arrêt de bus, mais surtout beaucoup de disparitions d'enfants... La bête les enlevait et les dévorait. Concernant Agnés, je pense que la bête l'avait enlevée, mais que voyant que l'enfant ne s'enfuyait pas, ou peut être parce qu'elle avait un comportement anormal avec la bête, ou peut être par hasard, elle l'avait laissée vivante, dans la tannière, en se disant que ça faisait toujours un garde manger vivant en cas de pénurie? ou bien peut être qu'elle l'avait adopté comme son petit, par jeu, en attendant d'en avoir marre et de la dévorer?
elle avait peut être gardé l'homme aussi parce qu'il ne pouvait s'enfuir avec sa jambe, et ensuite l'avait dévoré parce qu'elle en avait marre?
En tout cas, la gamine continuait de pleurer et de murmurer, je l'ai prise dans mes bras complétement, me suis redressée, et là, mes collègues m'ont dit "vite vite, elle revient!!...", j'ai senti l'angoisse dans leur voix.
Je me suis avancée sur le chemin. Plus loin, je voyais les herbes bouger, et puis j'ai vu la bête: une sorte d'ours à poil trés trés court, brun luisant comme les loutres, trés musculeuse. Ses cuisses étaient énormes, ça donnait l'impression qu'elle pouvait marcher sur des deux pattes arrières sans problème, mais là, elle marchait à 4 pattes, courait plutot, en faisant des bruits comme ceux des sangliers, des grognements. Elle n'avait pas de queue, et elle avait une sorte de museau allongé. ça n'était pas un ours du tout, mais le même gabarit, et l'impression de muscles et puissance qui se dégageait de la bête donnait l'impression de voir un bloc massif qui se déplaçait rapidement. A voir la bête, on ne pouvait s'empécher de frissonner, il y avait quelque chose d'humain malsain qui se dégageait d'elle, une sorte de comprehension, de reflexion, je ne voulais pas croiser son regard, ni de toute façon rester sur son chemin.
Je me suis jetée hors du sentier avec la petite, juste à temps avant que la bête ne puisse me voir, et je me suis mise à courrir comme une dératée. On a ramené la gamine à nos bureaux, et personne n'a pu tirer sur l'animal tellement mes collègues avaient peur et se sentaient mal en face de cette chose.
Et puis aprés, en réfléchissant, et en interrogeant la petite, on a compris que ça faisait plusieurs semaines qu'elle était la dedans avec la bête, et qu'en fait, la petite aussi avait du manger de l'homme et des personnes ramenées par la bête dans la tannière, pour survivre, vu que la bête ne mangeait que ça, ce qui lui avait complétement fait perdre l'esprit...
Mais c'était bizarre, je n'arrivait pas à savoir si la bête était juste une sorte d'ours qui en dévorant des ête humains avait petit à petit acquis une sorte d'esprit humain malsain, ou si c'était un être humain, une femme peut-être qui était devenue une bête immonde en sombrant dans la folie? ou une espèce animale à mi-chemin entre l'homme et l'animal, méconnue?
brrr... faut que j'arrete de regarder les experts et ces séries tordues :)
Par contre, c'est amusant parce que dans tes rêves, il y a un début et une fin, moi souvent, je suis catapultée dedans, et il n'y a pas vraiment de début ni de fin.
J'étais enceinte, et j'étais dans un paysage desertique, une sorte de terre/sable rouge par terre (genre paysages d'Arizona, etc). Le ciel était dans des tons terre de sienne/gris, un temps orageux. Il y avait des vieilles barrières en bois, une sorte de patio (un toit, deux murs en coin, et des poutrelles en bois), et j'étais suspendue par les pieds et les mains à une des poutrelles parce qu'un taureau noir immense tournait autour du patio avec les narines fumantes, et que je savais que si je descendais de là il tenterait de m'encorner.
Mais ça va, j'étais cool, c'était pas super confortable avec mon gros bidon, mais j'avais pas trop trop peur.
Et puis je sais pas comment j'ai fait, j'ai accouché dans cette position d'un bébé grimaçant qui était vert pomme, sans douleur, mais en descendant parfois de la poutrelle quand le taureau s'éloignait, en remontant quand il revenait, etc.
Aprés, me suis réveillée.
j'ai révé aussi que j'étais dans mon ancien collège/lycée, (3 étages de longs couloirs). Y'avait des gens qui se baladaient, je poussais un caddie de supermarché (et pas facile dans les escaliers entre étages), et il fallait constamment avancer et bouger parce qu'il y avait une "chose" qui était avec nous dans le batiment et qui parfois choppait les gens et on entendait des hurlements atroces parfois.
Et je papotais avec un de mes ex, tranquilou, on avançait et on flirtait à moitié tout en se cachant et en évitant les autres gens et la chose.
Un autre rêve qui m'a beaucoup marquée: je n'étais pas réllement physiquement un personnage dans le rêve. Il y avait une équipe de police, d'enquéteurs, type "les experts", des scientifiques. On était dans une forêt de bambous, dans laquelle on nous avait signalé une bête étrange. Une des enquétrices était une femme, et j'avais l'impression qu'elle était un peu moi. On était tous armés, et on avançait doucement dans la forêt, il y avait de plus en plus comme un sentier se dessinant par terre, qu'on suivait. et puis on a entendu comme des petits bruits bizarres. On s'est avancés, et là, il y avait comme une sorte de "terrier", d'igloo à moitié enterré à moitié recouvert de feuilles et paille formant un petit dôme. La terre était retournée, bien marron et humide limite rouge devant l'entrée, et il y avait plein de petits os, de déchets de saletés par terre. Je me suis baissée, pendant que les autres montaient la garde pour regarder dedans, et là, assis sur les ossements, il y avait un gros bébé jouflu, tout nu, rose presque blanc, sans cheveux. Pour moi, c'était un enfant de 3 ou 4 ans, mais il avait l'air incapable de tenir sur ses jambes, il était trés potelé, obése, et en état de choc: il avait les yeux grands ouverts, sans me voir, les larmes coulaient doucement de ses yeux, et il murmurait tout bas. C'était une petite fille. Je me suis penchée complétement pour la prendre dans mes bras, en lui disant "ça va Agnés, c'est fini, voila, ne pleure plus, Agnesita, ma puce, on va te sortir de là", et la gamine avait l'air terrifiée et reticente à venir avec moi et disait d'une petite voie plaintive mais claire "non, maman ne va pas être contente, j'avais dit à papa de ne pas facher maman, mais il ne m'a pas écoutée, et là, maman ne va pas être contente que je parte, maman m'aime, elle ne va pas être contente, elle va se facher trés fort, et j'ai peur quand maman se fache", etc, etc. La gamine parlait plus ou moins dans le vide. ça puait le fauve, une odeur prenant à la gorge dans cette hutte, et il y avait des os rongés et des restes de viande, de petits animaux sur le monticule où était assis le bébé. Il y avait aussi des morceaux de vêtements, des déchets type sac de macdo hyper sales et déchirés, vieux papiers.
Et puis j'avais peur, on ne savait pas avec le reste de l'équipe où était la bête. le bébé parlait, et de ce que je comprenais, apparemment, elle croyait que la "bête" qu'on recherchait était sa mère. Et apparemment, il y avait eu un homme vivant avec le bébé dans la hutte, un homme blessé à la jambe. Sauf que cet homme avait essayé de s'échapper, n'avait pas perdu l'esprit comme le bébé, et que la bête en avait eu marre et l'avait tué et dévoré en partie.
Et là, ça devenait évident que les disparitions qu'on avait eu dans les environs étaient l'oeuvre de cette bête: des enfants jusqu'à 50km de là, qui avaient disparus alors que jouant dans leur jardin tous seuls, des personnes agées attendant à l'arrêt de bus, mais surtout beaucoup de disparitions d'enfants... La bête les enlevait et les dévorait. Concernant Agnés, je pense que la bête l'avait enlevée, mais que voyant que l'enfant ne s'enfuyait pas, ou peut être parce qu'elle avait un comportement anormal avec la bête, ou peut être par hasard, elle l'avait laissée vivante, dans la tannière, en se disant que ça faisait toujours un garde manger vivant en cas de pénurie? ou bien peut être qu'elle l'avait adopté comme son petit, par jeu, en attendant d'en avoir marre et de la dévorer?
elle avait peut être gardé l'homme aussi parce qu'il ne pouvait s'enfuir avec sa jambe, et ensuite l'avait dévoré parce qu'elle en avait marre?
En tout cas, la gamine continuait de pleurer et de murmurer, je l'ai prise dans mes bras complétement, me suis redressée, et là, mes collègues m'ont dit "vite vite, elle revient!!...", j'ai senti l'angoisse dans leur voix.
Je me suis avancée sur le chemin. Plus loin, je voyais les herbes bouger, et puis j'ai vu la bête: une sorte d'ours à poil trés trés court, brun luisant comme les loutres, trés musculeuse. Ses cuisses étaient énormes, ça donnait l'impression qu'elle pouvait marcher sur des deux pattes arrières sans problème, mais là, elle marchait à 4 pattes, courait plutot, en faisant des bruits comme ceux des sangliers, des grognements. Elle n'avait pas de queue, et elle avait une sorte de museau allongé. ça n'était pas un ours du tout, mais le même gabarit, et l'impression de muscles et puissance qui se dégageait de la bête donnait l'impression de voir un bloc massif qui se déplaçait rapidement. A voir la bête, on ne pouvait s'empécher de frissonner, il y avait quelque chose d'humain malsain qui se dégageait d'elle, une sorte de comprehension, de reflexion, je ne voulais pas croiser son regard, ni de toute façon rester sur son chemin.
Je me suis jetée hors du sentier avec la petite, juste à temps avant que la bête ne puisse me voir, et je me suis mise à courrir comme une dératée. On a ramené la gamine à nos bureaux, et personne n'a pu tirer sur l'animal tellement mes collègues avaient peur et se sentaient mal en face de cette chose.
Et puis aprés, en réfléchissant, et en interrogeant la petite, on a compris que ça faisait plusieurs semaines qu'elle était la dedans avec la bête, et qu'en fait, la petite aussi avait du manger de l'homme et des personnes ramenées par la bête dans la tannière, pour survivre, vu que la bête ne mangeait que ça, ce qui lui avait complétement fait perdre l'esprit...
Mais c'était bizarre, je n'arrivait pas à savoir si la bête était juste une sorte d'ours qui en dévorant des ête humains avait petit à petit acquis une sorte d'esprit humain malsain, ou si c'était un être humain, une femme peut-être qui était devenue une bête immonde en sombrant dans la folie? ou une espèce animale à mi-chemin entre l'homme et l'animal, méconnue?
brrr... faut que j'arrete de regarder les experts et ces séries tordues :)