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Je vais te conter une histoire aux milles frissons de désir. Une histoire que tu peux écouter les yeux fermés. Une histoire où ton imagination est ton seul moyen de
transport.
Viens là contre moi. Les histoires sont meilleures quand elles sont contées dans un murmure. Je vais poser mes lèvres contre ta peau brûlante. Qui a dit que mon histoire était construite avec des mots ? Je pensais te la dicter en caresses, comme une histoire en braille dessinée avec passion sur ton corps. Veux-tu être mon livre ?
Laisse ma main tracer l’introduction sur ton visage. Il sera le décor, le lieu de rêves. Je trouverai sur tes lèvres la chaleur humide dans laquelle débutera mon récit. Car tout commence par un baiser. Un baiser perdu dans un labyrinthe de sentiments confus. Avait-il seulement une raison d’être excepté notre seule envie d’étreinte ? A l’aurore nous savions que nos routes se sépareraient. Je m’en irais sans oser me retourner, les poings serrés dans mes poches, les yeux inondés de larmes. Comme si rien n’avait atteint mon cœur en cette nuit…
A présent ma main descend sur tes épaules et glisse vers ton torse. J’y entends la musique de ton cœur. Cette mélodie…Je voudrais qu’elle ne s’arrête plus jamais. La magie doit garder son côté mystérieux. Nous ne saurons jamais qui a ensorcelé le cœur de l’autre. Ni qui a été chef d’orchestre de nos sentiments accordés. Après tout, aucune importance. Moi je crois en la magie. Nos bouches se sont désirées de nouveau. Cette fois pourtant ton baiser avait une nouvelle saveur…J’y ai bu ta douceur, ta tendresse, ta volupté… J’ai recueilli une goutte de bonheur à la commissure de tes lèvres. Mon palais s’est senti enflammé de plaisir. J’avais peur d’ouvrir à nouveau les yeux et de découvrir l’onirisme de nos bouches embrasées.
Mes doigts se font coquins. Ils s’insinuent avec adresse sous tes vêtements. Ils effleurent ton bas ventre pour sentir l’envie monter en toi. L’histoire ne peut continuer sans parler de ballets de nos deux langues. Nos chaleurs mélangées, notre fougue naturelle, notre ardeur souveraine… Le conte se poursuit en étreintes langoureuses et en amour farouche. Sous nos airs d’enfants sages se cache une autre histoire entièrement bâtie sur le plaisir de n’être qu’un seul individu…un être de passion, un être de fusion… Ce monde-là n’existe que par l’harmonie de nos désirs. Il est un secret dont nous seuls avons la clé… Il se révèle dès que nos baisers se font insistants, dès que nos caresses deviennent provocantes…Il ne s’assouvit que par l’extase de nos deux corps entremêlés.
Je glisse mes doigts dans l’interstice des tiens. Je presse doucement ta main, comme pour te dire que jamais je ne délaisserai notre symbiose. En réalité, l’histoire ne connaît pas de fin. Elle est aussi éternelle que la flamme qui brûle en nous. Pour toujours je laisse mes mains galoper sur ton corps. Elles écriront encore de nombreuses histoires de passion sur ta peau imbibée de feu
....
Viens là contre moi. Les histoires sont meilleures quand elles sont contées dans un murmure. Je vais poser mes lèvres contre ta peau brûlante. Qui a dit que mon histoire était construite avec des mots ? Je pensais te la dicter en caresses, comme une histoire en braille dessinée avec passion sur ton corps. Veux-tu être mon livre ?
Laisse ma main tracer l’introduction sur ton visage. Il sera le décor, le lieu de rêves. Je trouverai sur tes lèvres la chaleur humide dans laquelle débutera mon récit. Car tout commence par un baiser. Un baiser perdu dans un labyrinthe de sentiments confus. Avait-il seulement une raison d’être excepté notre seule envie d’étreinte ? A l’aurore nous savions que nos routes se sépareraient. Je m’en irais sans oser me retourner, les poings serrés dans mes poches, les yeux inondés de larmes. Comme si rien n’avait atteint mon cœur en cette nuit…
A présent ma main descend sur tes épaules et glisse vers ton torse. J’y entends la musique de ton cœur. Cette mélodie…Je voudrais qu’elle ne s’arrête plus jamais. La magie doit garder son côté mystérieux. Nous ne saurons jamais qui a ensorcelé le cœur de l’autre. Ni qui a été chef d’orchestre de nos sentiments accordés. Après tout, aucune importance. Moi je crois en la magie. Nos bouches se sont désirées de nouveau. Cette fois pourtant ton baiser avait une nouvelle saveur…J’y ai bu ta douceur, ta tendresse, ta volupté… J’ai recueilli une goutte de bonheur à la commissure de tes lèvres. Mon palais s’est senti enflammé de plaisir. J’avais peur d’ouvrir à nouveau les yeux et de découvrir l’onirisme de nos bouches embrasées.
Mes doigts se font coquins. Ils s’insinuent avec adresse sous tes vêtements. Ils effleurent ton bas ventre pour sentir l’envie monter en toi. L’histoire ne peut continuer sans parler de ballets de nos deux langues. Nos chaleurs mélangées, notre fougue naturelle, notre ardeur souveraine… Le conte se poursuit en étreintes langoureuses et en amour farouche. Sous nos airs d’enfants sages se cache une autre histoire entièrement bâtie sur le plaisir de n’être qu’un seul individu…un être de passion, un être de fusion… Ce monde-là n’existe que par l’harmonie de nos désirs. Il est un secret dont nous seuls avons la clé… Il se révèle dès que nos baisers se font insistants, dès que nos caresses deviennent provocantes…Il ne s’assouvit que par l’extase de nos deux corps entremêlés.
Je glisse mes doigts dans l’interstice des tiens. Je presse doucement ta main, comme pour te dire que jamais je ne délaisserai notre symbiose. En réalité, l’histoire ne connaît pas de fin. Elle est aussi éternelle que la flamme qui brûle en nous. Pour toujours je laisse mes mains galoper sur ton corps. Elles écriront encore de nombreuses histoires de passion sur ta peau imbibée de feu
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